Télécharger mémoire online analyse des critères permettant à un médecin généraliste d’utiliser les conclusions d’une échographie, tutoriel Rapport PDF.
INTRODUCTION
I. HYPOTHESES
II. RAPPEL
1. Epidémiologie
2. Histoire naturelle du nodule thyroïdien
3. Critères de qualité d’une échographie
4. Les différents aspects échographiques des nodules
4.1. Critères de suspicion de malignité :
4.2. Critères plus en faveur de la bénignité :
5. Indication de la ponction :
III. MATERIEL ET METHODE
IV. RESULTATS
1. Premier entretien
2. Deuxième entretien
3. Troisième entretien
4. Quatrième entretien
5. Cinquième entretien
6. Sixième entretien
7. Septième entretien
8. Huitième entretien
9. Neuvième entretien
10. Dixième entretien
V. DISCUSSION
1. Discussion des résultats des entretiens
1.1. Découverte du ou des nodules
1.2. Lecture et interprétation du compte-rendu
1.3. Prise en charge au décours de l’échographie
1.4. Critères de qualité des comptes rendus
2. Réponses aux hypothèses
3. Place du schéma dans le compte-rendu
CONCLUSION
BIBLIOGRAPHIE
Résumé sur les conclusions d’une échographie
I. HYPOTHESES
Nous avons posé plusieurs hypothèses. La revue de la littérature et nos premières impressions nous ont aidé à les formuler.
Les critères de qualité d’une échographie thyroïdienne ne sont pas ou mal connus des médecins généralistes. D’autant que leur diffusion s’est plutôt faite en direction des opérateurs.
Malgré les imperfections des comptes-rendus l’ensemble des médecins généralistes s’accommode de cette insuffisance sans préjudice sur leur stratégie.
Nous pensons enfin qu’un grand nombre de nodule est découvert fortuitement, en particulier lors d’examens vasculaires cervicaux.
II. RAPPEL
1. Epidémiologie
Les nodules thyroïdiens sont très fréquents et le plus souvent bénins. La revue de la littérature révèle une prévalence variant de 8 à 65% sur des données autopsiques alors que la prévalence des nodules thyroïdiens à la palpation n’est que de 2 à 6% [13].
L’incidence du cancer thyroïdien varie selon les pays entre 0.5 et 10 cas pour 100 000. Il est deux à quatre fois plus fréquent chez la femme que chez l’homme. Le cancer thyroïdien cliniquement décelable ne représente qu’un pour cent de tous les cancers.
On assiste en France depuis 30 ans à une augmentation nette et régulière de la fréquence des cancers papillaires. Cette constatation s’explique par une meilleure approche diagnostique.
Compte tenu de l’excellent pronostic de ces cancers, les formes non diagnostiquées n’étaient souvent pas repérées. On comprend ainsi pourquoi on retrouve dans les séries autopsiques une incidence des micros cancers papillaires (tumeurs inférieures ou égale à 1 cm de plus grand diamètre) variant de 5 à 35% [2].
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