Sommaire: Cours Java – Syntaxe de base un abrégé
1 CONVENTIONS D’ÉCRITURE
2 INSTRUCTION D’AFFECTATION
3 OPÉRATEURS«++» ET«–»
4 OPÉRATEURS D’AFFECTATION COMPOSÉE«+=» «-=» «*=» …
5 OPÉRATEURS D’ÉGALITÉ«==»
6 AUTRES OPÉRATEURS LOGIQUES
7 OPÉRATEURS ARITHMÉTIQUES
8 OPÉRATEURS DE MANIPULATION DE BITS
9 OPÉRATEUR«IF ARITHMÉTIQUE»: «?:»
10 OPÉRATEUR«INSTANCEOF»
11 INSTRUCTION COMPOSITE: LE«BLOC»
12 LA RÈGLE DU POINT-VIRGULE
13 L’INSTRUCTION«IF»
14 LA PSEUDO CLAUSE«ELSE IF»
15 L’INSTRUCTION«SWITCH»
16 LES BOUCLESTANTQUE ETREPETER
17 LA BOUCLE«FOR»
18 CONTRÔLER L’EXÉCUTION D’UNE BOUCLE: BREAK ET CONTINUE
19 LES TYPES DE DONNÉES: OBJETS ET PRIMITIFS
19.1 PRIMITIFS
19.2 OBJETS
20 CYCLE DE VIE D’UN OBJET
21 LES TABLEAUX
21.1 DÉCLARATION D’UN TABLEAU
21.2 CRÉATION DYNAMIQUE DES OBJETS« TABLEAU»
21.3 ACCÈS AUX ÉLÉMENTS D’UN TABLEAU
21.4 LA TAILLE D’UN TABLEAU
21.5 UN TABLEAU COMME ARGUMENT DE MÉTHODE
21.6 UN TABLEAU COMME TYPE DE RETOUR
21.7 TABLEAUX À DIMENSIONS MULTIPLES
22 LES CHAÎNES DE CARACTÈRES(STRING)
23 LES ARTICLES(«RECORDS»)
24 LE TYPE INTERVALLE
25 LE TYPE ÉNUMÉRÉ
26 CONVERSIONS DE TYPES
26.1 PRIMITIFS- PRIMITIFS
26.2 PRIMITIFS NUMÉRIQUES- STRINGS
26.3 CHAR- STRING
26.4 BOOLEAN- STRING
26.5 PRIMITIFS- OBJET
26.6 OBJET- OBJET
27 PROCÉDURES, FONCTIONS ET ENVOI DE MESSAGE
28 POUR S’ENVOYER UN MESSAGE: «THIS»
29 MÉTHODES D’INSTANCE ET MÉTHODES DE CLASSE
30 DÉCLARATION D’UNE MÉTHODE
30.1 DÉCLARATION D’UNE FONCTION
30.2 DÉCLARATION D’UNE PROCÉDURE
31 INVOQUER UNE FONCTION
32 INVOQUER UNE PROCÉDURE
33 MÉCANISME DE PASSAGE DES PARAMÈTRES
33.1 POUR LES PRIMITIFS, IL S’AGIT D’UN PASSAGE PAR VALEUR(MODE«IN»)
33.2 POUR LES OBJETS, IL S’AGIT D’UN PASSAGE PAR RÉFÉRENCE
(MODE«IN OUT»)35
34 IMBRICATION DES MÉTHODES
35 RÉCURSIVITÉ
36 SURCHARGE DES MÉTHODES
36.1 SURCHAGE DES OPÉRATEURS
36.2 LA SURCHARGE DES MÉTHODES EST UN VILAIN DÉFAUT
37 TRAITEMENT DES EXCEPTIONS
37.1 CLASSIFICATION DES EXCEPTIONS
37.2 PROPAGER UNE EXCEPTION
37.3 RÉCUPÉRER UNE EXCEPTION
37.4 DIFFÉRENCIER LES TYPES D’EXCEPTIONS(CASCADE DE«CATCH»)
37.5 LA CLAUSE«FINALLY»
37.6 CAS PARTICULIER: LES EXCEPTIONS DE TYPERUNTIMEEXCEPTION
37.7 LEVER UNE EXCEPTION
37.8 CRÉER SON PROPRE TYPE D’EXCEPTION
38 LES PAQUETAGES
38.1 DÉFINITION ET UTILISATION D’UN PAQUETAGE
38.2 UTILISATION ET IMPORTATION D’UN PAQUETAGE
38.3 LES HIÉRARCHIES DE PAQUETAGES
38.4 RELATIONS AVEC LE SYSTÈME DE GESTION DE FICHIERS
39 STRUCTURE D’UNE APPLICATIONJAVA
39.1 COMPOSITION D’UN PAQUETAGE
39.2 COMPOSITION D’UN FICHIER
39.3 AMORCE DE L’APPLICATION: LA CLASSE PRINCIPALE(main)
39.4 FONCTION main, PARAMÈTRES EN LIGNE DE COMMANDE
40 LOCALISATION DES CLASSES ET COMPILATION
40.1 COMPILATION DU PROGRAMME
40.2 EXÉCUTION DU PROGRAMME PAR LA MACHINE VIRTUELLE
40.3 LES FICHIERS D’ARCHIVESJAR
40.4 STRUCTURE D’UNE CLASSE
40.5 LES MODIFICATEURS DE CLASSE
40.6 «EXTENDS»: HÉRITAGE
40.7 «IMPLEMENTS»: IMPLÉMENTATION D’INTERFACE
41 VISIBILITÉ DES ENTITÉS AU SEIN D’UNE CLASSE
42 LES CONSTRUCTEURS
42.1 RÔLE DÉTAILLÉ D’UN CONSTRUCTEUR
42.2 ENCHAÎNEMENT DES CONSTRUCTEURS
42.3 LE CONSTRUCTEUR PAR DÉFAUT
42.4 LE CONSTRUCTEUR DE CLASSE
43 LES DESTRUCTEURS
44 VARIABLES DE CLASSES ET VARIABLES D’INSTANCE
44.1 INITIALISATION D’UNE VARIABLE DE CLASSE
44.2 ACCÉDER AUX VARIABLES DE CLASSE ET AUX VARIABLES D’INSTANCES
44.3 LE CONSTRUCTEUR DE CLASSE
45 DÉCLARER DES CONSTANTES SYMBOLIQUES: FINAL
46 PARTAGE D’OBJETS, COPIE SUPERFICIELLE ET COPIE PROFONDE
46.1 RETOUR SUR L’AFFECTATION
46.2 COPIE D’OBJETS
46.3 LA MÉTHODE«CLONE»: COPIE SUPERFICIELLE
47 ANNEXEA – LESAPPLETS
47.1 UN BREF APERÇU
47.2 LE CYCLE DE VIE D’UNE APPLET
47.3 DESSINER DANS UNE APPLET, AJOUT DE COMPOSANTS« GUI »
47.4 LES THREADS ET LES APPLETS
47.5 LA SÉCURITÉ ET LE DROIT DES APPLETS
47.6 CE QUI EST INTERDIT AUX APPLETS
47.7 CE QUI EST PERMIS AUX APPLETS
47.8 COMMENT MANIPULER LES RESSOURCESWEB DANS UNE APPLET?
47.9 LA BALISE<APPLET> ET LES PARAMÈTRES
47.10 POINTS DIVERS
48 ANNEXEB – LISTE DES OPÉRATEURS AVEC PRIORITÉ
49 ANNEXEC – CRÉATION D’ARCHIVESJAR
49.1 QUELQUES CONSIDÉRATIONS SUR LE TEMPS DE CHARGEMENT DES APPLET
49.2 COMPRESSER ET AGGLOMÉRER LES FICHIERS À TÉLÉCHARGER
49.3 LE FORMATJAR
49.4 COMMENT UTILISER UN JAR DANS UNE APPLET?
49.5 SYNTAXE DE LA COMMANDE JAR
49.6 LES“JAR EXÉCUTABLES”
49.7 SIGNATURE D’UN FICHIER D’ARCHIVE
50 ANNEXED – LES PRINCIPAUX PAQUETAGES
Extrait du cours cours Java – Syntaxe de base un abrégé
1 Conventions d’écriture Java
• On utilise plutôt des minuscules
• Les noms commencent par des minuscules, sauf :identificateurs de classe : Frame, Button, String, ..constantes symboliques : static final double PI= 3.14 ;
• Noms composés : getBack, taxMan, comeTogether, ..
• Les chaînes de caractèresdoivent être écrites sur une seule ligne System.out.println (« CouCou »); // Refusé !!
• Concaténation de textes: symbole «+ »
System.out.println (« Cou » + »Cou »);// OK
int age = 20;
System.out.println (« J’ai » +20 + »ans »);
• Les caractères sont codés sur 16 bits !
Il s’agit du jeux de caractères UNICODEqui comprend la plupart des alphabets du monde. Ainsi, il est possible d’écrire les identificateurs avec des lettres accentuées : ouvrirFenêtre, commencerLaFête, ..
2 Instruction d’affectation
Exemple:
ada Æa := b := c := 3 ; Æ INCORRECT
java Æa = b = c =3 ; Æ CORRECT
En Java, l’opérateur d’affectation a une « associativité » de type « R » (voir [Annexe
A]) : cet opérateur s’exécute donc dela droite (Right) vers la gauche.
a = 3
Opérateur d’affectation
1) donne une nouvelle valeur à la variable,
2) retourne la valeur affectée
3 Opérateurs «++» et «–»
A l’évaluation de ces opérateurs, deux actions sont réalisées :
1/ ils modifient la valeur de la variable,
2/ ils retournent une valeur
Exemples :
a = 1 ;
b = a++ ;
c = ++a ;
c = a++ + ++a + b + c;
Que vaut a? F 5
Que vaut c? F 12
Pour déterminer les nouvelles valeurs de «a» et de «c», il nous faut connaître
les règles de priorité des opérateurs (voir [Annexe A]):
++a
a++
Augmente «a » de «1 »
–a
a–
Diminue «a » de «1 »
++a
–a
retournent la nouvellevaleur de «a»
a++
a–
retournent l’anciennevaleur de «a»
(avant l’opération)
4 Opérateurs d’affectation composée «+=» «-=» «*=»
…
Exemples
a *=2 Ùa = a * 2
a +=4 Ùa = a + 4
Forme générale
a op=b Ùa = a opb
où «op» peut valoir «+» «-» «*» «/» «%» etc..
Ces opérateurs retournent la nouvellevaleur de la variable affectée.
5 Opérateurs d’égalité «==»
Exemple : if (x==0) …..
Cet opérateur retourne un bouléen : «true» ou «false» .
Notons qu’à la différence de Java, le type booléen n’existe pas en C++
En C++, l’opérateur d’égalité retourne 0(Ù«false ») ou 1(Ù«true»).
6 Autres opérateurs logiques
Tous les opérateurs qui suivant retournent le bouléen «true» ou «false»:
9 Opérateur « if arithmétique » : «?: »
Cet opérateur permet d’éviter une instruction ifdans certains cas..
Exemple : une fonction qui retourne le maximum de deux entiers
public int max (int a, int b) {
if (a>b) {
return a;
}
else {
return b;
}
}
donnera avec un “if arithmétique”
public int max (int a, int b) {
return a > b ? a :b;
}
Syntaxe : test ? valeurRetournéeSiVrai : valeurRetournéeSiFaux
……..
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Cours Java – Syntaxe de base un abrégé (1263 KO) (Cours PDF)