Télécharger mémoire online parcours de soins du patient douloureux chronique avant sa prise en charge en structure spécialisée, tutoriel rapport PDF.
I. INTRODUCTION
II. GENERALITES
2.1. Définition de la douleur chronique
2.1.1. Définition de la douleur chronique par l’IASP
2.1.2. Finalité biologique de la douleur
2.1.3. Identification de la douleur chronique en ville
2.2. Épidémiologie
2.3. Retentissement de la douleur chronique
2.4. Prise en charge de la douleur chronique
2.4.1. Introduction
2.4.2. Interrogatoire
2.4.2.1. L’ancienneté de la douleur
2.4.2.2. Le mode de début
2.4.2.3. Le mode évolutif
2.4.2.4. Description de la douleur actuelle
2.4.2.4.1. La topologie de la douleur
2.4.2.4.2. Le type de la douleur ou le type de sensation ressentie comme douloureuse
2.4.2.4.3. L’intensité de la douleur
2.4.2.5. Les signes d’accompagnement
2.4.2.6. Les facteurs d’influence de la douleur ou facteurs d’aggravation et de soulagement de la douleur
2.4.2.7. L’impact de la douleur sur la qualité de vie
2.4.2.8. Traitements antérieurs et actuels
2.4.2.9. Antécédents et pathologies associées
2.4.2.10. Le contexte familial, psychosocial, médico-légal et incidences
2.4.2.11. Les facteurs cognitifs
2.4.2.12. Les facteurs comportementaux
2.4.2.13. L’analyse de la demande
2.4.3. Examen clinique
2.4.4. Examens complémentaires
2.4.5. Le suivi du patient douloureux chronique
2.4.6. Orientation vers une structure spécialisée
2.4.7. Traitements
2.4.7.1. Les traitements médicamenteux
2.4.7.1.1. Les antalgiques non opioïdes
2.4.7.1.2. Les antalgiques opioïdes
2.4.7.1.2.1. Les opioïdes agonistes faibles
2.4.7.1.2.2. Les opioïdes agonistes-antagonistes
2.4.7.1.2.3. Les opioïdes forts
2.4.7.1.3. Les autres traitements antalgiques
2.4.7.2. Les traitements non médicamenteux
2.4.7.2.1. La neurostimulation électrique transcutanée ou TENS
2.4.7.2.2. La chirurgie de la douleur
2.4.7.2.3. La rééducation et réadaptation
2.4.7.2.4. Les prises en charge psychologiques et autres thérapeutiques complémentaires
III. MATERIEL ET METHODES
3.1. Principes généraux
3.2. Objectifs de l’étude
3.3. Le CETD de l’Hôpital Saint Antoine
3.4. Le questionnaire d’enquête
3.5. Saisie et analyse des données
IV. RESULTATS
4.1. Données générales
4.1.1. Nombre de questionnaires analysés
4.1.2. Les patients
4.2. La douleur
4.2.1. Durée de la douleur
4.2.2. Les événements de vie reliés à la douleur
4.2.3. Accident de travail – maladie professionnelle – invalidité
4.3. Le parcours de soin
4.3.1. Entrée dans le parcours de soin
4.3.2. Les professionnels de santé consultés pendant le parcours de soin
4.3.3. L’orientation vers le CETD
4.3.3.1. Qui a informé les patients sur le CETD ?
4.3.3.2. Quel médecin envoie les patients au CETD ?
4.3.3.3. Quel médecin a fait la lettre d’introduction pour le CETD ?
4.4. La prise en charge des patients
4.4.1. Pose du diagnostic
4.4.2. Les examens complémentaires
4.4.3. Les traitements médicamenteux
4.4.4. Estimation de la prise en charge
4.4.5. Rupture de la prise en charge
V. DISCUSSION
5.1. Données générales
5.1.1. Nombre de questionnaires analysés
5.1.2. Les patients
5.1.2.1. « Sur-représentation » des femmes
5.1.2.2. L’âge des patients
5.1.2.3. Le niveau d’étude des patients
5.1.2.4. Les différentes situations professionnelles
5.2. La douleur
5.2.1. Ancienneté de la douleur
5.2.2. Les événements de vie reliés à la douleur
5.2.3. Accident de travail – maladie professionnelle – invalidité
5.3. Le parcours de soin
5.3.1. Entrée dans le parcours de soin
5.3.2. Les professionnels de santé consultés pendant le parcours de soin
5.3.2.1. Consultation pour la douleur en ville
5.3.2.2. Consultation au sein d’une structure spécialisée dans la prise en charge de la douleur
5.3.2.3. Hospitalisation pour la douleur
5.3.3. L’orientation vers le CETD
5.3.3.1. Qui a informé les patients sur le CETD ?
5.3.3.2. Quel médecin envoie les patients au CETD ?
5.3.3.3. Quel médecin rédige la lettre d’envoi vers le CETD ?
5.3.3.4. Le médecin généraliste
5.4. La prise en charge des patients
5.4.1. Pose du diagnostic
5.4.2. Les examens complémentaires
5.4.3. Les traitements médicamenteux
5.4.4. Estimation de la prise en charge
5.4.5. Rupture de la prise en charge de la douleur en ambulatoire
5.5. Limites de l’étude
5.5.1. Les biais de recrutement
5.5.2. Les biais de mémorisation
5.6. Perspectives
5.6.1. Améliorer la formation des soignants
5.6.2. Sensibiliser le public sur la douleur chronique
5.6.3. Développer l’éducation thérapeutique du patient
5.6.4. Les possibilités offertes par les CETD
5.6.5. Les possibilités offertes par les réseaux
5.6.6. Améliorer la recherche sur la douleur chronique
VI. CONCLUSION
BIBLIOGRAPHIE
ANNEXES
SERMENT D’HIPPOCRATE
RESUME
Résumé sur soins du patient douloureux
INTRODUCTION
La douleur est une expérience sensorielle et émotionnelle que chaque individu ressent au moins une fois dans sa vie.
Les douleurs les plus fréquentes sont le plus souvent brèves et dues à une pathologie bénigne comme une céphalée de tension, un mal de gorge.
La perception d’une douleur aiguë est un facteur de protection de l’organisme car en ayant une fonction de signal d’alarme, elle a pour finalité d’avertir l’individu que l’intégrité de son organisme est menacée ; elle l’informe d’un dysfonctionnement potentiel ou réel.
On connaît le sort des enfants victimes d’une insensibilité congénitale à la douleur, d’origine génétique; ces enfants sont victimes de nombreuses blessures (à répétition). Non avertis de la gravité de leur état par la douleur, ces enfants meurent souvent à un âge précoce. La perception de la douleur, signal d’alarme, est donc indispensable à la survie de l’individu.
Chaque personne ressent la douleur de manière singulière. En effet en plus de sa composante physique, la douleur a une composante psychologique qui varie en fonction de l’époque, de la culture, de l’éducation et de l’histoire de vie personnelle.
De plus, la signification, consciente ou inconsciente, donnée à une douleur est importante.
La douleur subie peut être destructrice alors qu’une douleur consécutive à un acte héroïque, par exemple, peut ne pas l’être.
La douleur devient chronique quand elle dure plus de trois mois. Elle est dès lors considérée comme une maladie chronique à part entière, évoluant pour son propre compte, indépendamment de sa cause. La douleur chronique devient alors délétère, inutile et destructrice, avec un retentissement physique et psychologique sur l’individu avec un handicap fonctionnel et une altération de la qualité de vie.
Il s’agit d’une notion médicale récente, de moins de cinquante ans qui a débouché sur une sensibilisation et une prise de conscience.
Du point de vue des personnels de santé, la douleur étant un symptôme subjectif, elle reste difficile à appréhender. Il existe différents moyens pour les patients d’exprimer leur douleur, cela va du discours élaboré à des cris ou une agitation. Ainsi dans certaines conditions, soulager la douleur peut s’avérer compliqué.
Les professionnels de santé ont donc besoin de connaissances théoriques solides sur les pathologies causales, sur l’évaluation et la prise en charge spécifique de la douleur chronique, maladie à part entière qui nécessite, en outre, une écoute attentive et empathique des patients, afin de mieux répondre à leurs attentes.
C’est à l’occasion de mon passage en Centre d’Évaluation et de Traitement de la Douleur (CETD), que j’ai été frappée par l’arrivée tardive des patients douloureux en consultation, avec l’impression forte d’une mauvaise information et d’une errance des patients, avant leur prise en charge au CETD. J’ai alors décidé de prendre comme sujet de Thèse, le parcours de soins du patient douloureux chronique, avant sa prise en charge en structure spécialisée.
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