Sommaire: Etude de l’activité biologique des extraits du fruit de Crataegus azarolus L
Liste des tableaux
Liste des figures
Liste des abréviations
Introduction générale
Chapitre I : Etude bibliographique
I. Revue sur l’espèce crataegus azarolus L
1. Généralités
2. Composition chimique
3. Propriétés pharmacologiques
4. Autres utilisations
II. Les métabolites secondaires
1. Les flavonoïdes
1.1. Structure chimique et classification
1.2. Localisation et distribution
1.3. Activités biologiques des flavonoïdes
2. les tanins
1.1. Structure chimique et classification
1.2. Localisation et distribution
2.3. Activités biologiques et thérapeutiques des tanins
III. Stress oxydatif et antioxydants
1. Les radicaux libres
2. Stress oxydatif
3. les antioxydants
IV. Les antimicrobiens
1. Définition
2. Les agents chimiothérapeutiques
3. Mécanismes de résistances microbiennes
Chapitre II: Partie expérimentale
I. Matériel et méthodes
1. Matériel végétal
2. Méthodes
2.1. Conservation du fruit
2.2. Paramètres physiques du fruit
2.3. Détermination du taux d’humidité
2.4. Détermination du taux de matière organique
2.5. Procédés d’extraction
2.6. Analyse des extraits
2.6.1. Tests préliminaires
2.6.2. Chromatographie sur couches minces CCM
2.6.3. Chromatographie liquide à haute performance HPLC
2.6.4. Spectrophotométrie UV-Visible
2.6.4.1. Dosage des polyphénols totaux
2.6.4.2. Dosage des flavonoïdes
2.6.4.3. Dosage des tanins
2.7. Test de l’activité antimicrobienne
2.8. Test de l’activité antioxydante
2.8.1. Méthode chromatographique CCM (au DPPH)
2.8.2. Méthode spectrophotométrique
2.8.2.1. Test antiradicalaire au DPPH
2.8.2.2. Test de blanchissement du β-carotène
2.9. Analyses statistiques
II. Résultats et discussions
1. Paramètre physique
2. Détermination du taux d’humidité
3. Détermination du taux de matière organique
4. Procédés d’extraction
5. Analyse des extraits
5.1. Tests préliminaires
5.2. Chromatographie sur couche mince CCM
5.3. Chromatographie à haute performance HPLC–RP-C18
5.4. Dosage des différentes substances phénoliques
6. Test de l’activité antimicrobienne
7. Test de l’activité antioxydante
7.1. Méthode chromatographique CCM (test au DPPH)
7.2. Test au radical DPPH
7.3. Test de blanchissement du β-carotène
Conclusion générale
Annexes
Références bibliographiques
Extrait du mémoire étude de l’activité biologique des extraits du fruit de Crataegus azarolus L
Chapitre I : Etude bibliographique I. Revue sur l’espèce Crataegus azarolus L.
I. Revue sur l’espèce crataegus azarolus L.
1. Généralités
1.1. Etymologie
Crataegus azarolus L.: Azérolier ou Epine d’Espagne, en arabe Zaaroura, nommé par les anglophones Azarole Hawthorne.
Crataegus : nom générique des Aubépines de la famille des Rosacées, désignant en latin « Crataegon » ou « Crataegos », l’Azerolier (Crataegus azarolus L.) peut être du grec (kratos) par allusion à la dureté du bois (Couplan, 2000).
Le nom botanique des aubépines est dérivé d’un terme qui chez Théophraste, désigne l’azerolier (Brosse, 2000). D’ailleurs son nom du genre « Krataigos », veut dire, fort résistant (Aymonin, 1993).
azarolus : de l’espagnol « acerola » qui désigne le fruit, lui-même emprunté à l’arabe « az-zou’rour »; ce sont donc probablement les arabes qui ont introduit l’Azérolier en Afrique du nord, puis en Espagne (épine d’Espagne), d’où il passa ensuite en France (Mazzocchi, 1999; Brosse, 2000).
L.: l’abréviation du nom du botaniste qui à été le premier à décrire la plante «Karl Van LINNE », (1707-1778) du Suède, qui a décrit plus de 8000 espèces et affecte à chacune d’elles un nom binominale. La plupart de ces espèces, appelées espèces linnéennes, restent valables de nos jours (Messaili, 1995).
1.2. Origine et Répartition
D’après Mazzocchi (1999) et Brosse (2000), l’azérolier est originaire de la méditerranée orientale, sud de l’Europe, Afrique du nord et de l’Asie mineure (de la Crète au Turkestan). L’aubépine, comprend plus de 200 espèces, répandue dans les zones tempérées de l’hémisphère nord (Ozcan et al., 2005).
L’azerolier est présent à l’état sauvage dans tous les pays méditerranéens (Bignami et al., 2000). Il est aussi cultivé en Europe, notamment en France surtout pour ses variétés à gros fruits (poletti, 1987; Brosse, 2000). Naturalisé en Amérique du nord et cultivé en région méditerranéen (Grieve, 2003).
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