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Sommaire: Perspectives d’utilisation des SDDS pour l’implémentation du niveau physique d’une base de données relationnelle
Liste des figures
Liste des tableaux
Liste des acronymes
Résumé
Introduction générale
Chapitre I
Introduction
I. Notion d’une base de données
II. Notion d’un système de gestion de base de données (SGBD)
II.1. Objectifs d’un SGBD
II.2. Architecture des SGBD
II.2.1. Architecture générale des SGBD
II.2.1.1. Les niveaux d’abstraction d’un SGBD
II.2.2. Architecture opérationnelle des SGBD
II.2.3. Architecture fonctionnelle des SGBD
II.2.3.1- Architecture à trois niveaux de l’ ANSI/X3/SPARC
II.2.3.2- Une Architecture fonctionnelle de référence
II.3. Le modèle relationnel
II.4. Structures physiques d’une BDR
A. Notion de fichier
B. Structure d’une page
C. L’adressage Relatif d’un fichier
II.5. Architecture d’un SGF
II.6. Organisation et méthodes d’accès à un fichier
II.6.1. Organisation et méthodes d’accès par hachage
II.6.1.1. hachage statiqu
II.6.1.2. hachage dynamique
A. le hachage extensible
B. le hachage linéaire
II.6.1.3. Comparaison entre les méthodes d’accès par hachage
II.6.2. Organisation et méthodes d’accès indexées
A. Notion d’index
B. Types d’index
II.6.2.1. Arbres B
II.6.2.2. Arbres B+
II.6.2.3. l’organisation indexée IS3
II.6.2.4. L’organisation séquentielle indexée ISAM
II.6.2.5. L’organisation séquentielle indexée régulière VSAM
II.6.3. Méthodes d’accès multi-attributs
II.6.3.1. hachage multi-attributs
II.6.3.2. index bitmap
Conclusion
Chapitre II
Introduction
I. Les systèmes informatiques
I.1. Systèmes distribués
I.1.1. Les machines fortement couplées
I.1.2. Les machines faiblement couplées
II. Les multiordinateurs
III. Les réseaux informatiques
III.1. Les systèmes client-serveur
III.2. Evolution vers le peer to peer
III.2.1. Objectifs des réseaux peer to peer
III.2.2. Caractéristiques des systèmes p2p
III.2.3. Topologies et architectures des p2p
III.2.3.1. Classification selon le degré de centralisation
A. L’architecture centralisée
B. L’architecture décentralisée
C. L’architecture hybride
III.2.3.2. Classification selon l’organisation
A. Les réseaux p2p structurés
B. Les réseaux p2p non structurés
C. Les réseaux p2p hybrides
III.2.4. Applications des technologies p2p
III.2.4.1. Le calcul distribué
III.2.4.2. Communication et collaboration
III.2.4.3. Les services Internet
III.2.4.4. Diffusion de contenu
III.2.4.5. Bases de données distribuées
III.2.4.6. Plates-formes
Conclusion
Chapitre III
Introduction
I. Les systèmes de fichiers distribués
II. Les structures de données distribuées et scalables (SDDS)
II.1. Règles de base des SDDS
II.2. Les contraintes des SDDS
II.3. Les caractéristiques des SDDS
II.3.1. la scalabilité
II.3.2. la distribution
II.3.3. la disponibilité
II.4. Classification des SDDS
II.5. Les stratégies de distribution des données
II.5.1. La distribution par donneur de cartes
II.5.2. La distribution par hachage
II.5.3. la distribution par intervalle
II.6. Les SDDS basées sur le hachage
II.6.1. Rappel sur le hachage linéaire
II.6.2. Présentation des SDDS LH*
II.6.3. Les principes des SDDS
II.6.4. Les variantes des LH*
II.6.4.2. LH*m
II.6.4.3. LH*g
II.6.4.4. LH*s
II.6.4.5. LH* SA
II.6.4.6. LH* RS
II.6.4.1. LH*LH
II.7. Les SDDS basées sur la distribution par intervalle
II.7.1. Présentation des SDDS RP*
II.7.2. Les principes des SDDS R*
II.7.3. Les variantes des RP*
II.7.3.1. RP*n
II.7.3.2. RP*c
II.7.3.3. RP*s
II.7.3.4. RP*ha
Conclusion
Chapitre IV:
Introduction
I. État de l’art sur les BD P2P
I.1. Définition d’une BD P2P
I.2. Projets de recherches sur les BD P2P
I.3. Dimensions de conception de BD P2P
I.3.1. La topologie
I.3.2. L’autonomie
I.3.3. La disponibilité des données
I.3.4. La possession des données
I.3.5. La réplication des données
I.3.6. La capacité des requêtes
I.3.7. La politique de mise à jour
I.3.8. Contenu des réseaux homogène .vs. Hétérogènes
I.3.9. La découverte des ressources, des données et des services
I.3.10. Les garanties possibles
I.4. Les fonctionnalités requises
I.4.1. Le modèle de données
I.4.2. Le langage de requêtes
I.4.3. L’interface BD
I.4.4. La découverte des ressources et des services
I.4.5. Les transactions distribuées
I.5. Classes d’applications des BD P2P
I.5.1. Cross-organizational workflow (organigramme de
mouvement inter-organisationnel)
I.5.2. Les dépôts scientifiques
I.5.3. Index multimédia collaboratif
I.5.4. Archives web
II. Utilisation des SDDS dans une configuration peer to peer
III. Utilisation des SDDS avec les SGBD
Conclusion
Chapitre V:
Introduction
I. Le passage des structures de données classiques aux SDDS
I.1. Structures basées sur le hachage
I.2. structures basées sur les arbres (structures ordonnées)
II. Remplacement du fichier classique de la BDR par un fichier SDDS
II.1. Répercussion des SDDS sur l’architecture fonctionnelle
d’un SGBDR
II.2. L’utilisation des SDDS dans le traitement et l’optimisation des requêtes relationnelles
A. Optimisation logique des requêtes (réécriture)
B. Optimisation physique
II.3. Exemples d’opérations de manipulation des données
II.3.1. La recherche
II.3.2. La mise à jour
II.3.3. Le calcul des agrégats
II.3.4. Utilisation d’index
II.3.5. Les requêtes imbriquées
II.3.6. L’optimisation des requêtes
Conclusion
Conclusion générale et perspective
Bibliographie
Extrait du mémoire Perspectives d’utilisation des SDDS pour l’implémentation du niveau physique d’une base de données relationnelle
Chapitre 1 : BD & SGBD relationnels
Introduction
Les bases de données ont pris aujourd’hui une place essentielle dans l’informatique, plus particulièrement en gestion. Au cours de ces dernières années, des concepts, des méthodes et des algorithmes ont été développés pour gérer les différents types de données. Ainsi plusieurs systèmes de gestion de bases de données ont été proposés comme par exemple, les Systèmes de Gestion de Bases de Données : hiérarchiques, réseaux, relationnels, objets, objets-relationnels, déductives,….etc.
Perspectives d’utilisation des SDDS
Généralement un Système de Gestion de Base de Données inclut en son cœur une gestion de fichiers, pour définir la politique de stockage ainsi que le placement des données, dans le modèle relationnel par exemple, la base de données est implantée simplement de la manière suivante : à chaque relation correspond une zone de stockage appelée « fichier » et à chaque entité d’une relation correspond un enregistrement du fichier. L’avantage de cette méthode de stockage est l’élimination des pointeurs pour stocker les associations entre plusieurs entités de relations différentes, ce qui est sans doute une source d’allègement de la BD, d’une augmentation de son efficacité et de sa sûreté.
Perspectives d’utilisation des SDDS
Aujourd’hui, des méthodes d’accès de plus en plus performantes ont été élaborées afin d’augmenter les performances des SGBD en terme de traitement et de stockage.
Dans le présent chapitre, nous abordons les BD (particulièrement celles du modèle relationnel), leurs systèmes de Gestion ainsi que leur niveau interne tout en passant par l’explication des notions liées aux fichiers et aux organisations et méthodes d’accès à ces fichiers.
Perspectives d’utilisation des SDDS
I. Notion d’une base de données
Plusieurs définitions ont été proposées pour désigner une base de données, on trouve par exemple qu’une base de données est :
« un ensemble de données modélisant les objets d’une partie du monde réel et servant de support à une application informatique » [5].
« Un ensemble d’informations structurées permettant la mise en place d’une série d’applications informatiques destinées à une grande variété d’utilisateurs possible » [46].
« une collection de données inter-reliées, stockées ensemble pour servir une ou plusieurs applications, en parallèle, de façon optimale » [47].
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