CLARRIFICATION DES CONCEPTS
La communication
La définition banale de la communication
La « communication » est le processus de transmission d‟informations. Ce terme provient du latin « communicare » qui signifie « mettre en commun». La communication peut donc être considérée comme un processus pour la mise en commun d‟informationset de connaissances.
Si nous prenons la définition donnée par le dictionnaire Larousse : la « communication »est un ensemble de phénomènes concernant la possibilité pour un sujet de transmettre une information à un autre sujet par le langage articulé ou d’autre code.
Pour le petit Robert, elle vient du verbe « communiquer » qui consiste à transmettre, recevoir et échanger des informations. C`est l’action d’établir une relation avec autrui, de transmettre quelque chose à quelqu’un.
La définition selon les pensées sociales
La communication est un acte de la vie propre à l’homme appelé communication humaine. Elle met en évidence des signes, lesquelles sont des manifestations extérieures d’un sentiment, des signaux. Elle engage et ne s’opère qu’au niveau de l’esprit, de la volonté et du cœur et implique une interaction entre deux ou plusieurs personnes.
La communication et les relations humaines
La communication et la relation interpersonnelle sont deux termes proches. La relation désigne la forme et la nature du lien (familial, de voisinage, professionnel…) qui unit deux personnes. La communication est le rapport d’interaction qui s’établit lorsque les partenaires sont en présence. Ce rapport s’analyse sur trois niveaux: intrapsychique (les dimensions de la personnalité de chacun des protagonistes), interactionnel (la structure relationnelle et sa dynamique) et social (le contexte culturel avec ses normes, ses valeurs et ses rituels dans lequel il se place).
La communication institutionnelle
Ce type de communication peut être définie comme une communication englobant reposant deux niveaux, l‟interne (actionnaires, dirigeants, salariés,), et l‟externe (client, fournisseur, pouvoir public, médias).Elle passe par la promotion publicitaire mais peut se résumer à cela et se joint à toutes les actions de l‟organisation. Elle s‟applique tout autant aux entreprises privées qu‟aux institutions publiques.
La communication de proximité
Elle est centrée vers le local, à la recherche des relations en face, des valeurs du terroir, et des racines. Elle est opérationnelle à long terme et s‟opère au plus proche du public et de ses attentes. Le communicant local peut intervenir sur tous les domaines. De ce fait, il doit entre réactif et souple, professionnel et avoir une solide en culture générale.
Les trois « P »de la communication locale ;
– le Professionnalisme : c‟est-à-dire avoir une formation adoptée ou tout au mois avoir suivre des stages professionnels dans le but de maitriser la forte technicité de la communication locale.
– la Personnalité : le chargé de communication possède davantage d‟une fonction de représentation et d‟organisation des relations directes avec les interlocuteurs. Le goût de contact est indispensable.
– la Proximité : il s‟agit de la distance vis -a- vis des dirigeants des entreprises. Pour être efficace, la communication doit reposer sur une dynamique de l‟établissement et sur une volonté de l‟état-major de l‟entreprise.
La communication interpersonnelle qui est basée sur l’échange, de l’émetteur et le récepteur
Entre humains, c’est la base de la vie en société. C’est là en général que la compréhension est la meilleure, mais le nombre de récepteurs est limité à une seule personne.
La rétroaction est quasi systématique. Il y a notamment le téléphone, la conversation orale … Mais la communication n’est pas qu’orale, elle est aussi non verbale.
La communication passe donc aussi par le corps. Ainsi elle sera non verbale ou plutôt non verbalisée. La communication non verbale peut-être para verbale c’est-à-dire qui accompagne la vocalisation. Ainsi lorsque le locuteur explique qu’il faut aller à droite et qu’il bouge sa main dans cette direction, c’est un cas de communication para verbale. Croiser les bras dans un signe de protection est aussi une communication non verbale. D‟ailleurs, nous pouvons dire parfois que la communication est holistique c’est-à-dire qu’elle fait intervenir le tout de l‟homme, pour souligner l’importance de l’environnement, des interférences environnementales dans la communication. Pour Muchielli , « on ne peut pas ne pas communiquer ». Que l’on se taise ou que l’on parle, tout est communication. Nos gestes, notre posture, nos mimiques, notre façon d’être, notre façon de dire, notre façon de ne pas dire, toutes ces choses « parlent » à notre récepteur.
La communication est aussi une forme de manipulation. En effet, nous communiquons souvent pour manipuler, modifier l’environnement ou le comportement d’autrui.
La communication de masse
C‟est un émetteur (ou un ensemble d’émetteurs liés entre eux) s’adressant à tous les récepteurs disponibles. Là, la compréhension est considérée comme la moins bonne, car le bruit est fort, mais les récepteurs bien plus nombreux. Elle dispose rarement d’une rétroaction ou alors très lente.
La communication de groupe
Elle part de plus d’un émetteur s’adressant à une catégorie d’individus bien définis, par un message (communication)ciblé sur leur compréhension et leur culturepropre. C’est celle qui est apparue avec les formes modernes de culture, souvent axées sur la culture de masse (société de consommation), dont la publicité ciblée est la plus récente et la plus manifeste. Les effets de la communication de groupe se situent entre ceux de la communication interpersonnelle et ceux de la communication de masse. La communication de groupe est aussi complexe et multiple car elle est liée à la taille du groupe, la fonction du groupe, et la personnalité des membres qui le compose. On peut également intégrer cette notion dans la communication interne à une entité. Les groupes peuvent alors être des catégories de personnel, des individus au sein d’un même service, etc. On peut aussi intégrer cette notion à une communication externe ciblée vers certains partenaires ou parties prenantes de l’entité.
Notion de stratégie de communication pour le développement
Plusieurs théories et modèles ont été développés au fil des années dans le but d’expliquer comment les gens modifient leurs comportements et d’identifier les principaux facteurs qui favorisent ce changement. Pris comme un vecteur de succès en vue d’un changement et d’un développement social susceptible de créer les conditions d’un avenir meilleur et durable, l’on associe souvent aux stratégies de changement de comportement le terme de communication pour le développement.
En communication pour le développement, la stratégie est un plan cadre comprenant une combinaison d’interventions de communication capable de susciter les changements nécessaires en matière de connaissances, d’opinions, d’attitudes, de croyances ou de comportements au niveau de la population visée en vue de résoudre un problème de développement, selon un calendrier donné (souvent à moyen terme) et compte tenu des ressources disponibles.
Communication pour le Changement de Comportement
Le contexte
Parler de changement de comportement suppose une vue nette de l‟amélioration d‟un comportement considère comme déviant, mal éduqué… C‟est une volonté affichée d‟une vision d‟améliorations des conditions dans un domaine donné. Tout de même, il faut reconnaître que des récentes études et travaux dans le domaine de changement de comportement, s‟inscrit alors une logique d‟un processus long et même difficile. Il sera inopportun de s‟attendre à un changement dans l‟immédiat, ou à chercher, à saisir les étapes rigoureuses du changement de comportement des individus.
CCC
La CCC se définit comme un processus intégré dans un programme global, qui fait appel à la participation de la communauté, et produits des messages et approches personnalisés en utilisant une variété de moyen de communication directe afin de définir des comportements positifs favorisants un changement durable de comportement. La CCC aide à créer un climat propice dans un esprit de responsabilité et de solidarité des individus. Selon Awa SECK , la CCC permet à une amélioration des connaissances, une stimulation des dialogues au sein des communautés, une promotion de changement d‟attitude indispensable, une diminution de la discrimination.
L’ordure ménagère
Avant tout, il est préférable de définir le ménage.
Le ménage
Le ménage est un groupe d‟individu qui vivent sous le même toit et font quotidiennement des repas en commun. Les membres du ménage sont le même famille ou non. Généralement, un ménage est formé d‟une famille restreinte (père, mère, enfant) et d‟une famille étendue (comprend tous les membres unis par un lien de parenté ou un lien d‟alliance). La taille du ménage varie selon les types de sociétés et donc de culture. Si elle est aujourd‟hui bien délimitée dans des sociétés occidentales, elle demeure assez grande dans les sociétés africaines, notamment les sociétés malagasy. Déjà, le nombre de naissances se trouve limité dans les sociétés occidentales, ce qui n‟est pas encore la tendance générale dans notre société.
L’ordure ménagère
On appelle ordure ménagère, les déchets produits quotidiennement par les ménages pour le besoin de la vie, notamment les débris de verre ou de vaisselle, les feuilles mortes, les poussières, les cendres, les ordures en provenance des écoles et bureau, etc. Généralement, un déchet désigne, tout produit que son propriétaire abandonné, tels que les vieux vêtements, les rebuts de construction, les médicaments dont la date d‟utilisations est échue, les débris alimentaires de la cuisine, etc.
La quantité des ordures ménagères
La quantité d’ordures ménagères produite par une municipalité est variable en fonction de plusieurs éléments. Elle dépend essentiellement : du niveau de vie de la population, du mode de vie des habitants, du climat et de la saison.
La classification des ordures ménagères
Selon leur nature, les ordures ménagères peuvent être classées en deux catégories : déchets dégradables (biodégradables) et les déchets non dégradables (non biodégradables).
Déchets biodégradables
Ce sont les déchets pour lesquels les facteurs abiotiques assurent seuls leur décomposition ; dans le cas où la décomposition est assurée par les micro-organismes (bactéries ou champignons), on parle des déchets biodégradables. Exemple la matière organique.
La collecte
D’après BINZANGI (2008) , la collecte est le fait de ramasser les déchets qui se trouvent à un endroit pour les mettre dans une poubelle ou dépotoir publique. Autrement dit, c‟est l‟opération de transport des déchets ménagers, des points de regroupement jusqu‟au point de décharge final.
La Gestion des ordures ménagères (GOM)
La gestion des ordures ou des déchets désigne l’ensemble des opérations et moyens mis en œuvre pour limiter, recycler, valoriser ou éliminer les déchets. C’est-à-dire des opérations de prévention, de pré-collecte, collecte, transport et toute opération de tri et de traitement, afin de réduire leurs effets sur la santé humaine et sur l’environnement.
Le problème de la gestion des déchets doit être analysé selon une démarche fondée sur la bonne gouvernance pour KOFFI Attahi (1996) dans son article « le problème des déchets et son fondement historique ». Pour lui, il serait donc peine perdue d’analyser le problème des déchets en se concentrant sur la description des structures et des moyens. Il faut une analyse politique des enjeux, des rapports et des stratégies des différents acteurs.
Dans le même ordre, DOKA Marcelle (1990) fait une analyse de la situation des ordures en Afrique. Selon elle, il faut adapter les moyens matériels et humains des sociétés gestionnaires (de ramassage) au rythme de croissance de la population. Ensuite, il faut une organisation de la décharge pour palier au problème de saturation de celle-ci et enfin, il faut une revalorisation des ordures.
Dans notre devoir, le terme « Gestion de déchets» signifie l‟ensemble des opérations mises en œuvre pour limiter les déchets afin de réduire leurs effets sur la santé humaine et l‟environnement.
La Mission de la CUA
La commune Urbaine d‟Antananarivo (CUA), capitale de la République de Madagascar, est aujourd‟hui une ville surpeuplée. Faisant face à d‟immenses défis, que ce soit sur le plan économique et financier, démographique et social ou environnemental. Antananarivo aujourd‟hui s‟organise en six arrondissements et repartis en 192 Fokontany. Il est à noter qu‟il existe une collaboration entre la CUA et les Fokontany. Pour mieux aborder la commune urbaine est chargée d‟étudiera et de réaliser les projets de développements émanant du Fokontany. Pour une meilleure réalisation des projets, une nouvelle approche a été mise en œuvre pour inciter les entités non étatique.
Les objectifs de la CUA
Semblable à toute différente organisme, la CUA dispose son propre objectif. Le président de la délégation spéciale propose une approche nouvelle et par étapes. Au centre de cette approche est la participation citoyenne des entreprises privés et des entités non-étatiques de tous genres association et ONG, en tant que partenaires. Cela s‟ajoute aux efforts du secteur public, pour relever les défis auxquels les habitants de la capitale font face. En se référent à cette nouvelle approche, l‟objectif de la CUA consiste à renforcer les capacités financières et humaines des Fokontany et de la commune avec l‟aide du secteur privé ou non étatique, dans une atmosphère d‟ouverture et de coopération, toute en améliorant la vie en société de ses habitants et des entreprises. Puisque notre stage s‟est déroulé au sein de la Direction de la Communication (DIRCOMM) de la Commune Urbaine d‟Antananarivo, il est important de savoir une esquisse rétrospective de ce département.
La Direction de la Communication (DIRCOMM)
La présentation générale de la direction de la communication (DIRCOMM)
Reconnaissant que les problèmes d‟Antananarivo nécessitent, d‟une part, de grands projets de développement urbain, et, d‟autre part, une amélioration urgente et immédiate du service public de proximité. Le président de la délégation spéciale (PDS) d‟Antananarivo, Edgard Razafindravahy, propose une approche nouvelles et par étapes. Cette nouvelle approche consiste à mettre en place la gestion de la communication de la capitale pour une meilleur identité et image de la ville en générale, allant progressivement des actions de proximité dans les différents Fokontany d‟Antananarivo aux actions d‟envergure grandissante des arrondissements, de la ville et de ses zones périphériques. C‟est la raison pour laquelle le département « Dircomm» a été créé en 2009, ce département au sein du CUA est placé sous l‟autorité du président de la délégation spéciale siégé à l‟Hôtel de ville Analakely au 3eme étage. Faisant partie des directions de la CUA, elle tient une place importante dans le bon fonctionnement de chaque service.
La mission du département Dircomm
Comme son l‟indique, le «Dircomm » c’est-à-dire, la direction de la communication, elle est un contrat global de longue durée, conclu entre une harmonieuse collaboration publique avec le privé pour faciliter la circulation des informations concernant la commune par intermédiaire des diverses médias comme station télévisée ou radiophonique. Dans ce cas, la délégation spéciale prend à sa charge la conception en toute ou partie. La Dircomm a pour mission de faciliter les contacts avec les journalistes du secteur privé et les entités non étatiques de tout genre. Elle procède également à des levées de fonds destinées aux financements des projets de développement urbain de la ville d‟Antananarivo. Elle est également chargée de la supervision technique et financière de toutes les coopérations existantes. Elle devra assurer de manière transparente la gestion des banques d‟images et les informations reçues. Son rôle est de s‟occuper généralement le développement et la gestion de la communication de la capitale, en plus, elle joue un rôle de rapprochement ou de jumelage entre les médias et les autres partenaires qui sont en collaboration avec la Commune Urbaine d‟Antananarivo. Elle possède sa propre philosophie telle que les actions sont simultanément orientées vers les « Fokontany », arrondissements, commune urbaine d‟Antananarivo, communes avoisinantes. Son objectif c‟est de tenir une ville constamment propre, organisée et sécurisée.
Le Service Autonome de Maintien de la Ville d’Antananarivo(SAMVA)
La brève présentation du SAMVA
Le SAMVA est un Etablissement Public à caractère industriel et commercial placé sous l‟autorité du Maire de la Commune Urbaine d‟Antananarivo, créé par la loi n° 95 035 du 30 octobre 1995 autorisant la création des organismes urbain et fixant les redevances pour l‟assainissement urbain, et le décret le décret N° 2009 –1166 du 15 septembre 2009 portant refonte et réorganisation du Service Autonome de Maintenance de la Ville d‟Antananarivo.
La mission ou l’objectif du SAMVA
Sa mission ou son objectif global est l‟assainissement urbain sur la commune urbaine d‟Antananarivo, l‟exploitation et de la maintenance des ouvrages et équipements d‟assainissement de la ville d‟Antananarivo, incluant notamment les trois volets : eaux usées, ordures ménagères, produits de vidange (le troisième volet est actuellement au stade de l‟étude de faisabilité.)
La présentation des aspects relatifs aux problèmes de la mauvaise gestion des ordures ménagères.
Nous allons entamer dans la présentation des lieux de décharge, des quantités, de l‟état, de mode de gestion, des personnes volontaires pour l‟évacuation des déchets ménagers, la distance parcourue du dépotoir public, du non-participation de la population au système de pré collecte « MAHATEHOTIA ».
Nous allons voir dans un tableau ci-dessous la répartition des lieux de décharges et les quantités des déchets ménagers des enquêtés.
DISCUSSIONS DES RESULTATS
Les discussions que nous avons entreprises sont portées sur le sens même des résultats et sur les corrélations existant entre les différentes portées obtenues lors des enquêtes menées. D‟abord, nous allons analyser les tenues selon les aspects socio démographiques et socioprofessionnels, ensuite nous allons aborder sur les tournures correspondantes aux aspects face à l‟insalubrité des quartiers.
Les discussions des portées selon les aspects socio démographies et socioprofessionnels
Du sexe
Nous avons constaté que les problèmes de déchets concernent plus les femmes (83,87%).
En effet, lors de notre enquête, dans plusieurs ménages que nous avions visités, les hommes nous renvoyaient plus auprès de leurs épouses pour répondre à nos préoccupations. Ils se disent ne pas être concernés par la GOM et de ce qui se passe à la cuisine. Peu d’hommes, comme les résultats indiquent se sont préoccupés de nous répondre aux questions posées.
Nous constatons ici que les hommes abandonnent leurs responsabilités au sein des ménages, car ils laissent tout entre les mains des femmes et les enfants. Nous assistons donc à une démission des hommes vis-à-vis de leurs responsabilités, c’est eux qui devraient être plus clairvoyants et sévère envers leurs femmes qui gèrent mal les déchets en complicité avec leurs enfants.
Bref, ce que nous devons retenir, c’est que le problème d’insalubrité ne concerne pas seulement les femmes, mais c’est l’affaire de tout le monde.
De l’âge
Par rapport à l’âge des enquêtés, Il y a lieu de faire remarquer que le pourcentage des adolescents de]15-17[ans (2,15%) est faible, mais significatif, car ils jouent un rôle important en matière de concours qu’ils apportent à leurs mamans. Ils viennent au secours de leurs mères quand il s’agit d’aller jeter les déchets dans les endroits imprécis. Comme il n’existe que d‟un seul dépotoir public, les jeunes de moins de 21 ans jettent les déchets ménagers même sur les ruelles, dans les caniveaux… selon leur degré.
Les adultes quant à eux, leur âge en principe devrait les prédisposer à une gestion rationnelle des déchets ménagers. Malheureusement ce n’est pas le cas. Cette attitude est liée à plusieurs facteurs dont le manque d’éducation relative à l’environnement, la démission de l’Etat, la culture du prêt à jeter… quelque soient les lieux, si celles-ci se trouvent proche de la maison.
D’où, l’âge n’est pas un facteur qui justifie l’état de la médiocrité environnementale à Manjakamiadana, mais c’est plutôt une question d’éducation. Car les personnes qui salissent le quartier sont non seulement les enfants, mais également les adultes.
De la profession
Ence qui concerne les professions, il convient de faire remarquer que les ménages, les commerçants et les épiciers sont les grands pollueurs du Fokontany de Manjakamiadana. Ces derniers, à cause de leurs activités professionnelles de ventes, produisent de quantités importantes de déchets de différente nature, mais pour lesquels ils ne prennent pas les dispositions qui s’imposent en matière d’hygiène, de salubrité : les restes de préparation d’aliments, les restes des emballages, les boîtes vides, les sachets et autres sortes. Alors qu’en réalité, lorsque nous exerçons ce genre de métiers ou d’autres, nous devrions être éco-citoyen. Dans cette catégorie, nous classons également les vendeurs ambulants qui, tout au long de leur parcourt produisent les déchets (sachets, boîtes et autres débris) jamais gérés.
Table des matières
Première Partie : L’OUTILLAGE CONCEPTUEL ET L’ETUDE DU MILIEU OBSERVE
Chapitre I: L‟OUTILLAGE CONCEPTUEL
Chapitre II : LA PRESENTATION DU MILIEU D‟ETUDE
Deuxième Partie : L’ANALYSE DES RESULTATS
Chapitre III : LA PRESENTATION DES ENQUETES ET LES DISCUSSIONS DES RESULTATS
Chapitre IV : L‟ANALYSE DES COMPORTEMENTS DES INDIVIDUS PAR RAPPORT A LA MAUVAISE GESTION DES ORDURES MENAGERES
Troisième Partie : LA COMMUNICATION POUR LE CHANGEMENT DE COMPORTEMENT ET
LES SUGGESTIONS D’AMELIORATIONDE LA GESTION DES ORDURES MENAGERES
Chapitre V: LES STRATEGIES DE LA COMMUNICATION POUR LECHANGEMENT DE COMPORTEMENT
Chapitre VI : LES SUGGESTIONS D‟AMELIORATION DE LA GESTION DES ORDURES
MENAGERES