L’agriculture et les Classiques
A part la théorie physiocratique, les classiques nous parlent aussi de l’agriculture, ils la considèrent comme secteur d’activité parmi les autres secteurs. La théorie comme suit est préconisé David Ricardo. Il a inventé la théorie de répartition et les avantages comparatifs(1846).Nous verrons en premier la théorie de répartition.
Théorie de Répartition de David Ricardo
Ricardo analyse la théorie de répartition afin de dégager le phénomène de la rente foncière. La rente se définit comme étant le loyer ou le revenu payé au propriétaire du sol.
Pour Ricardo, le véritable problème c’est la détermination de la loi réglant la distribution de revenu entre les classes sociales: les propriétaires fonciers, le travailleur et les capitalistes. De plus, il existe trois types de revenu: la rente, le salaire, et le profit. Tout d’abord la rente du sol rémunère les propriétaires, ensuite le salaire rémunère le travailleur et le profit pour les capitalistes.
A la faveur de l’analyse de répartition qu’on a la notion de rente différentielle. Cette dernière résulte de la différence de fertilité des terres. Par conséquent, plus la fertilité du sol est élevée, plus la rente est forte. Comme la terre a aussi des limites les nouvelles terres à exploiter seront donc de moins en moins fertiles, d’où l’explication du principe de la loidifférentielle.
Les rendements décroissants dans l’agriculture entrainent une hausse du coût de production et les prix des denrées agricoles. Pour le profit, il est déterminé par la différence entre le produit de la vente et les salaires. Alors les propriétaires des terres le plus fertiles sont les bénéficiaires d’une part importante de rente. La rente différentielle conduit à la fixation du prix sur la base du coût marginal. En outre, la théorie ricardienne de la rente justifie que le prix des produits agricoles dépendra du coût en travail sur les terrains moins fertiles. Or la valeur des produits dépend de la qualité de travail effectué dans les situations les plus difficiles. L’auteur aboutit qu’un produit ne sera jamais vendu à un coût inférieur à sa production d’où le prix de chaque denrée se fixe sur les sols à faible fertilité. Ricardo constate dans la théorie de la rente que les capitalistes qui investissent dans l’agriculture gardent toujours un profit au taux normal.
Avantages Comparatifs
Selon David Ricardo, sur le plan international du travail est appelé l’avantage comparatif « Chaque pays doit se spécialiser dans la production des biens pour laquelle il possède un avantage comparatifs »De ce fait, le développement d’un pays peut être par la spécialisation dans l’agriculture ou d’autres secteurs.
En général, les pays développés se spécialisent dans l’industrialisation tandis que, les PED se spécialisent dans la production des matières premières. L’ensemble de ces spécialisations constituent un accès au marché international. Or, l’avantage comparatif est du à l’avantage venant de l’exportation. N’importe qu’elle pays peut augmenter son bien-être à la faveur au commerce, dans la même où le marché mondiale permet d’acquérir des biens à des prix relativement faible.
Plus, le pays est petit, plus son potentiel de gain dans le commerce est élevé .Un pays retire un profit maximal de l’exportation des marchandises qu’il produit par l’exportation intensive des facteurs de production qu’il possède en abondance ,tout en important les biens dont la production que le pays possède.
En raison de cet avantage comparatif, les PED pourraient se concentrer sur l’agriculture puisque l’agriculture est une des activités spécifiques et facile à développer dans les pays du tiers-monde en plus cet activité n’exige pas trop de capital par rapport aux autres activités. Par conséquent, les PED bénéficieraient d’une exportation en produit de base. Et cette dernière participe dans le processus de développement économique.
Pensée Contemporaine
L’économie paysanne de Chaynov 1923
Chaynov est un économiste agricole chercheur et analyste des politiques. Il est né en 1888 et mort en 1937.Il est aussi le leader dans l’organisation russe de l’école de production (Bernstein H., 2012).
Depuis le période classique, l’étude des diverses secteurs économiques sont considérés égaux en négligeant leurs spécificités. Néanmoins, l’économie agricole a des caractères différents face aux caractéristiques de l’économie non agricole ou capitaliste.
De ce fait, ces deux secteurs devraient être étudiés distinctement à cause de leurs différents comportements. Chaynov est connu par sa capacité d’étudier l’économie qualifié « l’économie paysanne » distinctement à « l’économie capitaliste » dans son ouvrage intitulé : « L’organisation de l’économie paysanne » paru en 1923 à Moscou et traduit en Français en 1990.
Une économie paysanne est une économie marquée par l’exploitation familiale, c’est-à dire que c’est la taille de famille qui constitue l’ensemble de la main d’œuvre. Alors, il n’y a pas de paiement de salaire. De plus la force de travail est déterminée par la dimension de la famille. Toutefois, il se peut qu’une partie de la famille pratique les activités non agricoles et une autre pour la force de travail. Seule la famille qui détermine la superficie de la terre à cultiver et détient le capital nécessaire à la production. D’où, l’apparition d’une entreprise agricole familiale. Les produits obtenus constituent le revenu brut issu de l’activité qui réduit les dépenses pour la reconstitution du capital fixe et circulant et qui détermine le revenu net disponible pour la famille. Ce raisonnement que Chaynov se différencie des autres classiques.
Il considère la nécessité pour la famille de satisfaire les besoins des consommateurs comme une motivation pour la production. Le volume de l’activité familiale varie ainsi proportionnellement aux besoins des consommateurs et de la disponibilité en main d’œuvre familiale. Il n’y a que les membres de famille qui sont les consommateurs. De ce fait, qu’il y a l’autoconsommation des paysans. Chaynov analyse l’économie agricole du fait de la différence de loi régissant cette économie avec celle des autres comme l’industrie.
De plus, l’activité agricole est de nature saisonnière et dépendante du climat. Pourtant, les paysans n’ont pas la possibilité de contrôler ce climat suivant leurs besoins. Le problème se pose alors au changement climatique.
Le dualisme de Lewis
Lewis se fait remarquer parmi les économistes du développement et plus remarquable de sa génération à cause de sa réflexion .Il considère le phénomène de déplacement de facteur de production du secteur agricole vers le secteur industriel comme porteur de développement économique. Pour Lewis, il existe un dualisme de l’économie, ce dualisme est marqué par la coexistence de deux secteurs notamment : le secteur agricole ou traditionnel et le secteur industriel ou capitaliste. Le premier est caractérisé par une faible productivité ; il est aussi caractérisé par l’utilisation des techniques archaïques dans le processus de production. Ce secteur monopolise la majorité de main d’œuvre disponible et empêche le secteur moderne de se développer.
Le second secteur qui est industriel est marqué par une forte productivité à cause de l’utilisation des techniques modernes. Il comprend les activités de transformation, manufacturières, minières ou commerciales. Lewis remarque le nombre relativement petit du secteur industriel comparé au secteur agricole.
Lewis met l’accent sur ce dualisme et il fournit une analyse du modèle de développement dans son ouvrage intitulé « Développement with Unlimited Supplies of Labor » paru en 1954.
Selon lui les gains de productivités réalisés dans le secteur moderne ne profitent pas de développement de la population locale, la solution est alors de transférer les surplus de main d’œuvre du secteur agricole vers le secteur modern où la productivité est croissante ; afin de dégager des taux de profit croissant et un taux d’épargne suffisamment élevé pour lancer le processus d’industrialisation.
Bref, Lewis pose que le processus de développement se déroule par la rupture de ce dualisme.
L’AGRICULTURE ET LE DEVELOPPEMENT ECONOMIQUE
On a posé un problème dans l’introduction, et ce chapitre peut nous donner les solutions à notre problématique. Notre tache c’est de pouvoir montrer que l’agriculture qui est une activité en milieu rural peut contribuer à un développement économique. Des conditions sont nécessaires pour établir les relations entre eux. Ce chapitre est composé de deux sections:
La première portera sur l’étude du développement et sa relation avec la croissance économique. Et dans la seconde section, nous allons voir la place de l’agriculture dans le développement économique.
Notion de développement économique et la croissance économique
Définition et généralités du développement économique
Plusieurs types de définitions sont donnés pour le développement et de même il existe aussi des différents types de développement. Il s’agit ici d’un développement économique.
En général, le développement désigne un état de changement qui peut être dans le sens positif ou dans le sens négatif. Si le changement est positif, on parle alors de la croissance et dans le cas contraire, on parle de décroissance.
Quant au développement économique, selon Rouveyran « le développement économique est le faisceau de transformation dans les structures mentales et institutionnelles qui permettent l’apparition de la croissance et sa prolongation dans la période historique ».
Selon François Perou, le développement économique c’est « le passage d’un système économique à un autre ». Il dit aussi que, « le développement économique est une combinaison des changements mentaux et sociaux d’une population, des changements qui les rendent aptes à faire croître cumulativement et durablement, son produit global ».
Dans le lexique de l’Institution Agronomique Méditerranéenne : « le développement économique suppose à la fois un développement des forces productives permettant une augmentation qualitative et quantitative de la production et de la consommation et une transformation structurelle profonde des rapports sociaux de production des forces productives ».
On peut donc définir le développement économique comme une transformation au niveau d’une économie, une transformation qui va influencer les autres domaines au niveaude cette économie donnée comme dans le domaine sociale, mentale et culturelle.
Pour apprécier le niveau de développement, on fait recours aux différents indicateurs.
Du point de vue strictement économique ; il y a l’indicateur le plus souvent utilisé, c’est le PIB ou Produit Intérieur Brut qui est la somme des valeurs sur un territoire national, l’autre indicateur est le PNB(Produit National Brut) qui compte la production des citoyens de pays y compris la valeur des biens et services produits par ceux qui vivent en dehors du territoire national (TEN).
En revanche, le PIB ne contient que les flux production /consommation alors on ne peut pas mesurer ou estimer l’évolution du patrimoine public et privé. Il y a d’autres domaines qu’il ne tient pas en considération. A cause de ces imperfections des indicateurs ont été mis enplace comme l’IDH, IPH et l’ISDH.
L’IDH ou Indicateur de Développement Humain est l’indicateur le plus utilisé. Il est composé de trois éléments : la santé, l’éducation et le niveau de vie. Tout d’abord, la santé est mesurée par l’espérance de vie à la naissance. Ensuite, l’éducation est mesurée par le taux d’alphabétisation des adultes et le taux de scolarisation. Et enfin, le niveau de vie est mesuré par le PNB/habitants en tenant compte de la parité du pouvoir d’achat. L’IDH est mesuré de 0 à 1, et il est la moyenne arithmétique des différents indices qui le compose.
La croissance et le développement économique
La croissance économique et le développement économique n’ont pas la même signification. On a déjà mentionné ce qu’on appelle développement économique. En ce qui concerne la croissance économique, c’est l’augmentation de la production pendant une période déterminée. Donc, la croissance consiste à une augmentation et le développement porte sur une modification ou transformation. Mais malgré cette différence, il y a une relation étroite entre eux.
La croissance est une condition préalable du développement économique d’où le développement doit être la suite logique de la croissance économique.
Comme étant une augmentation, la croissance économique peut être rapide. Quant à lui, le développement est lent. Il est caractérisé par une accumulation régulière de la riches semais aussi une augmentation progressive des revenus et de l’emploi. Ce type de développement strictement économique exige comme condition préalable l’existence d’une société dans laquelle la richesse peut être accumulée et dont le revenu et l’emploi sont en mesure de s’accroître progressivement. Ainsi le développement économique est la croissance combinée avec d’autres éléments; par exemple les institutions.
Le rapport entre croissance et développement économique ne s’établit pas de manière automatique. De ce fait, il faut que la richesse produite par la croissance soit bien repartie entre les entités au niveau d’un pays donné. Dans ce cas la croissance conduit au développement et le développement à son tour favorise la croissance.
La place de l’agriculture dans le développement économique
Les conditions soumises à l’agriculture
Conditions internes
Généralement l’agriculture doit être capable de dégager un surplus agricole dans un processus de développement agricole. Or l’histoire de la pensée économique affirme l’importance de surplus.
Adam Smith dit dans son ouvrage « Recherche sur la nature et les causes de la richesse des nations » publiée en1776 ; que le surplus est comme excédants de la subsistance des agriculteurs. Ces excédants forment la substance de la ville.
Stuart Mill, affirme dans son ouvrage « Principe d’Economie Politique »que le surplus n’est que la différence entre le produit bruit et qui est nécessaire à l’entretien des personnes liées à la production .Le surplus agricole doit donc devenir des surplus économiques pour avoir une accumulation et de gains de productivité.
En outre, l’expression « surplus agricole » désigne l’existence d’un écart positif entre le volume de la production et la quantité de subsistance nécessaire à ceux qui les réalisent. Cette disponibilité en subsistance permet à un certain nombre d’individus de s’adonner à d’autres tâches que la quête de subsistance. Mais quels sont les intérêts de ce surplus ?
Nombreux auteurs ont affirmés le rôle du surplus agricole dans le processus de développement. La constitution d’un surplus de denrées agricoles est un préalable à toute stratégie de développement.
On peut citer plusieurs affirmations, par exemple celle de Petit Jean : pour que l’agriculture doit être en mesure de dégager un surplus permet de lancer le développement de l’industrie ou l’industrialisation. De ce point de vue, le processus de l’industrialisation ne peut se développer et se déclencher sans la création et la mobilisation d’une fraction importante du surplus agricole, une condition préalable à la révolution industrielle. Cette condition peut être utilisée par n’importe quels pays.
Autrement dit, la croissance de l’industrie dépend largement de la croissance agricole et de l’existence de surplus. A part cela, le développement de l’industrie est basé par celui de l’agriculture c’est-à-dire qu’ils sont interdépendants. Le développement agricole est primordial face au développement de l’industrie.
Pour le cas des pays en développement, c’est l’industrialisation qui, en utilisant les techniques modernes, est censé entrainer l’expansion du développement agricole. Cette dernière, en augmentant le surplus agricole, est considérée comme la condition de base du développement économique. Petit Jean, dans l’étude du cas de Madagascar, disait que : « l’agriculture malgache demeure primordiale, et l’industrialisation non appuyé sur elle n’est qu’un mythe ». Alors, le développement exige une mutation de l’agriculture engendré par les exigences des entreprises de transformation.
Le capital joue un rôle important dans la réalisation du surplus. Examinant la production agricole François Quesnay distingue la petite culture sans emploi de capital et peu productive et la grande culture des fermiers, utilisant du capital et très productive. C’est pour ça que lecapital est important dans la production agricole.
L’investissement est inséparable avec cette nécessité de détention du capital. C’est la capacité de faire des investissements qui augmente le volume du capital de l’agriculture. On sait que l’investissement joue plusieurs rôles dans la science économique. Son double rôle de générateur de revenu et de créateur de capacité constitue le fondement de la théorie moderne de la croissance. Il joue aussi le rôle de favoriser des investissements additionnels.
Or, les pays sous développés ont de problème dans ce domaine d’investissement, ce problème est due a la difficulté de canalisation de l’épargne existante; et la manque de la capacité de prendre des décisions de développement. Plus précisément, chez le PED, il n’existe pas d’épargne.
Les capitaux nécessaires au développement sont dus aux aides étrangères, aux investissements directs commerciaux étrangers et enfin à l’épargne nationale.
Les conditions extérieures à l’agriculture
L’objectif est de savoir comment assurer le développement de l’agriculture. L’industrie conditionne apparemment le développement agricole. En effet, ces deux activités économiques sont complémentaires et interdépendantes.
Dans le cas de Madagascar avec une population très peu dotée en capital et essentiellement agricole, lorsqu’on veut industrialiser son économie, il faut développer premièrement l’agriculture. Une fois celle-ci mise en marche ; des effets d’entrainements s’en dégagent pour créer des interactions entre les agriculteurs et les industriels. Les investissements dans l’agriculture améliorent la qualité et la quantité de production. Les gains de productivité se traduisent premièrement par la hausse du niveau de vie en milieu agricole et deuxièmement par la migration de facteur dont le secteur agricole est le plus doté : les hommes. C’est l’investissement qui excite l’accumulation du capital, et aussi la croissance économique.
Liens entre le développement agricole et le développement économique
Si les deux conditions susmentionnées sont respectées. Il n’y a plus qu’à montrer la possibilité de passage du développement agricole au développement économique.
L’agriculture ne peut pas passer au développement économique sans passer par la croissance économique et elle consiste à produire des biens qui sont utilisables par l’homme.
L’agriculture dégage des surplus agricoles. De plus, ces surplus vont être utilisés dans les industries pour avoir plus de valeurs ajoutées. Le fait de dégager des surplus veut dire qu’il y a une augmentation de la production. En outre, la croissance dépend de cette augmentation. Pourtant les surplus agricoles ne sont pas consommés de manière brute mais doivent passer dans l’industrie pour supporter des transformations. Après, les produits transformés sont écoulés sur le marché pour gagner plus de revenus. Le respect de l’exigence de surplus ainsi que l’industrie nous conduit donc jusqu’à la croissance économique.
Les modes de culture du riz
A chaque région sont attribuées ses pratiques et techniques culturales. Certains cultivateurs optent pour les techniques traditionnelles dont les caractéristiques se résument en : sans labour ou labour à l’angady, repiquage en foule, semis direct (mise en terre de semence), sans sarclage ou sarclage ou sarclage manuel, fumure organique. A l’instar des cultivateurs de la Côte Est qui opèrent par le semis direct juste après piétinement du champ, sans labour ni entretien, tandis que le système de repiquage est très utilisé sur les Hautes terres.
Ainsi, malgré les efforts entrepris pour améliorer la production, la productivité reste faible même si les agriculteurs continuent d’utiliser ces méthodes désuètes ou archaïques: les rendements moyens dépassent à peine 3 t/ha dans les zones les plus productives. Un tiers des exploitants sont en situation de subsistance produisant à peine 800 kg/ha de paddy sur une superficie <1 ha . Cependant, d’autres utilisent plutôt les techniques modernes ou, en d ’autres termes le Système de Riziculture Amélioré (SRA) : repiquage en ligne, utilisation de semences améliorées, adoption de jeunes plants, sarclage mécanisé et apport de fertilisants minéraux. Ce système est adopté sur près du quart des superficies cultivées de Madagascar, surtout sur les Hauts Plateaux et le Système de Riziculture Intensif (SRI) qui est encore peu pratiqué même dans les endroits avec un bon système d’irrigation.
Table des matières
REMERCIEMENTS
LISTE DES ABREVIATIONS
LISTE DES TABLEAUX
LISTE DES FIGURES
INTRODUCTION
PARTIEⅠ :CADRAGE THEORIQUESUR L’AGRICULTURE
ChapitreⅠ : APPROCHES THEORIQUE DE L’AGRICULTURE
Section 1:Selon les PHYSIOCRATES
Section 2 : L’agriculture et les Classiques
Section 3: Pensée Contemporaine
ChapitreⅡ L’AGRICULTURE ET LE DEVELOPPEMENT ECONOMIQUE
Section 1: Notion de développement économique et la croissance économique
Section 2- La place de l’agriculture dans le développement économique
PARTIE II :ANALYSE DE LA CONTRIBUTION DE L’AGRICULTURE DANS LE DEVELOPPEMENT DE MADAGASCAR
Chapitre 1 : ASPECT DE LA FILIERE RIZICOLE
Section 1 : Description de la filière riz
Section 2 : Les Stratégie agricole appliquée à Madagascar : SNDR
Chapitre2 : LA PLACE DU RIZ DANS L’ECONOMIE NATIONALE
Section 1 : Le riz dans le PIB
Section 2: Le Riz face aux activités agricoles
Section 3: Le riz dans le Budget des Ménages
Chapitre 3 : SYNTHESES DE LA FILIERE RIZ
Section 1 : Analyse SWOT de la filière riz
Section 2 : Les recommandations de la filière
CONCLUSION
ANNEXES
BIBLIOGRAPHIE
WEBOGRAPHIE
TABLE DES MATIERES