Socio-Démographie
Les caractéristiques socio-démographiques suivantes représentent d’abord Madagascar puis les 4 régions de la province d’Antananarivo puisque les émissions et les articles des médias enquêtés atteignent la plupart de ces endroits même si le siège de chaque média est à Antananarivo (région Analamanga).
-Nombres d’habitants : l es trois régions les plus peuplés de Madagascar sont : Analamanga, Vakinankaratra et Vatovavy Fitovinany avec à peu près 31% de la population du pays. Mais les quatre régions d’Antananarivo comptent environ 29,6% de la population soit environ 6 millions de la population. (INSTAT, 2012-2013)
-Taux de scolarisation et de réussite scolaire : plus de 27% de la population de 15 ans et plus sont sans instruction à Madagascar. Cette proportion des « sans instruction » est très élevée en milieu rural (31,7% contre 9,8% en milieu urbain et 5,2% dans la Capitale). Ce sont les femmes qui sont les plus affectées même si la différence par rapport aux hommes n’est pas assez élevée (28,6% pour les femmes contre 26% pour les hommes). La proportion des « sans instruction » est une fonction décroissante du quintile de consommation. En effet, plus l’individu est riche, plus il est instruit. On observe la même tendance chez ceux qui ont un niveau primaire (40,7% dont 36% primaire incomplet et 4,8% primaire complet).
Le phénomène inverse est constaté en ce qui concerne ceux qui ont un niveau secondaire ou plus. En effet, la proportion des individus de niveau secondaire ou plus est plus élevée en milieu urbain qu’en milieu rural (elle passe de 23,6% en milieu rural à 65,4% en milieu urbain). La proportion des hommes qui ont un niveau d’instruction secondaire ou plus est très élevée par rapport à celle des femmes (34,2% contre 29,7%). Enfin, il convient de constater que la proportion des individus de niveau secondaire ou p lus augmente avec le quintile de consommation : plus l’individu est pauvre, plus la proportion est en baisse.
Pour Antananarivo : 13,97% sont sans instruction ; 46, 57% primaire incomplet ; 7,55% primaire complet ; 16,55% secondaire 1 er cycle incomplet ; 2,97% secondaire 1 er cycle complet ; 6,9 % secondaire 2 er cycle incomplet ; 2,3 % secondaire 2 er cycle complet ; 3,12 % supérieur (INSTAT, 2012-2013).
Taux d’alphabétisation : sont déclarées alphabétisées toutes personnes de niveau secondaire ou plus ainsi que toutes personnes de niveau primaire ou sans instruction qui savent lire un petit texte.
Dans l’ensemble, le taux d’alphabétisation des individus de 15 ans et plus est de l’ordre de 71,6%. Ce taux est de 76% po ur les individus de 15 à 24 ans ; 73,4% pour les individus de 15 à 49 ans et enfin 70,3% pour les individus se trouvant dans la tranche d’âges de 15 à 59 ans.
Ce sont donc les jeunes de 15 à 24 ans qui sont les plus alphabétisés, plus particulièrement les jeunes hommes. L’alphabétisation est beaucoup plus un phénomène urbain que rural quelle que soit la tranche d’âges considérée. De plus elle est une fonction croissante du niveau d’instruction du chef de ménage et du quintile de consommation. En effet, plus le ménage est riche, plus le taux d’alphabétisation est élevé et plus le chef de ménage est instruit, plus grand est le taux d’alphabétisation (73,4 à 83,8%). (INSTAT, 2012-2013).
Taux de chômage : Selon la recommandation du BIT, un individu se trouve en situation de chômage si, pendant la période de référence (7 derniers jours avant l’interview), il est dépourvu d’emploi, en recherche activement un et est disponible à l’exercer à très court terme. Le taux de chômage indique la pr oportion des chômeurs par rapport à la population active. Cette définition assez restrictive justifie qu’en général, dans les pays en voie de développement, le taux de chômage est faible. En 2012, le taux de chômage à Madagascar est estimé à 1,7 %, c’est un phénomène essentiellement urbain. En effet, la proportion atteint 4,5 % en ville et moins de 1,1 % à la campagne.
A Madagascar, le taux d’activité par le niveau d’instruction est d’environ 60,37%. Pour Antananarivo, il est de 14,6% pour les sans instructions ; 57,87% pour les primaires ; 25,07% pour les secondaires et 2,5 pour le niveau supérieur. Le niveau d’instruction d’un individu influe fortement sur le type de l’activité exercée. En effet, la structure des emplois discrimine les différentes catégories d’actifs occupées. Plus le niveau d’instruction est élevé, plus l’individu se tourne vers des activités non agricoles au détriment des activités agricoles.
Moins de 10 % des universitaires travaillent dans le secteur primaire, alors que la proportion est à plus de 90 % chez les non instruits. Trois secteurs d’activités attirent les actifs les plus instruits : l’administration publique avec 35 %, le commerce avec 15 %, et les autres services privés avec 12 %. Ce qui met en relief la non-homogénéité de la valorisation du capital humain dans les différents secteurs de l’économie.
Niveau de consommation : le niveau de consommation moyenne, par tête, dans un ménage malagasy, est de 495 000 Ar, pour un seuil de pauvreté de 535 603 Ar. Cela traduit que le ménage malagasy moyen vit en dessous du seuil de pauvreté. Ce niveau de consommation est plus élevé en milieu urbain qu’en milieu rural, passant presque du simple au double. Soit la moyenne de 501000 Ar pour Antananarivo. (INSTAT, 2012-2013)
Taux de Pauvreté : Pour les séries d’Enquête Permanente auprès des Ménages (EPM) et l’Enquête de Suivi des OMD (ENSOMD), l’approche par la dépense est préférée à l’approche par revenu. Ainsi, un ménage est identifié comme pauvre si son niveau de consommation par tête n’a pas atteint le seuil de consommation alimentaire et non alimentaire minimum. Selon le seuil de pauvreté national, 71,5 % des Malagasy sont pauvres. Selon le seuil d’extrême pauvreté, 52,7 % n’ont pas suffisamment de ressources pour satisfaire ne serait -ce que leurs besoins alimentaires. Soit l’équivalent de 976.794 Ar comme niveau de pauvreté internationale. Soit l’équivalent de 610.496Ar pour l’E xtrême pauvreté internationale. Le seuil de pauvreté national est évalué à 535.603Ar . Le seuil d’extrême pauvreté au niveau national est évalué à 374.941Ar. (INSTAT, 2012-2013)
La population malgache est majoritairement pauvre d’où le faible taux d’accès à l’éducation et d’accès à l’ERE. Or, les médias couvrent environ un t iers du territoire malgache, ils seront utile dans l’atteinte des objectifs de l’ERE car les messages véhiculés atteignent de grand nombre de public. De plus, seulement 30% des malgaches sont analphabètes.
GENERALITE SUR LA POLITIQUE DE L’EDUCATION RELATIVE A L’ENVIRONNEMENT ET SUR LA POLITIQUE DE L’EDUCATION RELATIVE A L’ENVIRONNEMENT POUR LE DEVELOPPEMENT DURABLE
Définitions
-Education Relative à l’Environnement (ERE) : C’est un processus qui amène les individus et les collectivités à saisir la complexité de l’environnement, tant naturel que créé e par l’homme – complexité due à l’interaction de ses aspects biologiques, physiques, sociaux, économiques et culturels. Elle vise aussi à acquérir les connaissances, les valeurs, les comportements et les compétences pratiques nécessaires pour participer de façon responsable et efficace à la prévention et à la solution des problèmes de l’e nvironnement et à la gestion de la qualité de l’environnement. (MINISTERE DE L’ENVIRONNEMENT ET DES FORÊTS, 2013)
L’ERE est conçue comme un processus permanent dans lequel les individus et la collectivité prennent conscience de leur environnement et acquièrent les connaissances, les valeurs, les compétences, l’expérience et aussi la volonté qui leur permettront d’agir, individuellement et collectivement, pour résoudre les problèmes actuels et futurs de l’environnement. (RAMANITRA, 2006).
Traduit simplement par le responsable du WWF, l’Education Relative à l’E nvironnement correspond à des connaissances, des compétences, des prises de consciences, des valeurs et surtout la volonté d’agir. Cette dernière nécessite : la motivation, l’émotion, l’opportunité et le moyen.
-PERE : Politique Nationale de l’Education Relative à l’Environnement. (MINISTERE DE L’ENVIRONNEMENT ET DES FORÊTS, 2013).
-Développement Durable : C’est un développement qui répond aux besoins du présent sans compromettre la capacité des générations futures à répondre à leurs besoins à venir. Le développement durable s’appuie sur une vision à long terme qui prend en compte le caractère indissociable des dimensions environnementales, culturelles, sociales et économiques des activités de développement. (MINISTERE DE L’ENVIRONNEMENT ET DES FORÊTS, 2013)
-Education Relative à l’Environnement pour le développement durable (ErEDD) : C’est un processus d’apprentissage par lequel les individus et les collectivités acquièrent les connaissances et les valeurs essentielles à la compréhension de l’Environnement dans lequel l’Homme interagit continuellement avec les autres éléments qui le constituent. Permettant par la suite de développer les attitudes, les comportements et les compétences nécessaires à la prévention et à la solution des problèmes de l’e nvironnement dans l’optique de répondre aux besoins des générations présentes sans compromettre la capacité des générations futures à répondre aux leurs. (MINISTERE DE L’ENVIRONNEMENT ET DES FORÊTS, 2013) PErEDD : Politique Nationale de l’Education relative à l’Environnement pour le Développement Durable. (MINISTERE DE L’ENVIRONNEMENT ET DES FORÊTS, 2013).
GENERALITE SUR L’INFORMATION ET LA COMMUNICATION
Les médias sont des canaux où l’on véhicule des informations : circulation d’idée et d’information. Or, l’accès de la population dépend de leur pouvoir d’achat . D’après l’Unesco, on peut soutenir par la communication le développement de l’éducation si on veut réussir à intégrer la PErEDD. La communication doit le soutenir non pas pour la population seulement mais aussi pour les médias. Les médias contribuent au développement économique et social durable et équitable. Ils sont très utiles en particulier en zone rural, surtout la radio (UNESCO, 2013).
Définitions
-L’Information : est une action de donner la connaissance d’un fait. C’est l’élément de connaissance, de renseignement élémentaire susceptible d’être transmis et conservé grâce à un support. (MOINGEON, et al. 1990)
-La Communication audio-visuelle : est toute mise à disposition du public ou des catégories de public par un procédé de télécommunication, de signes, de signaux, d’écrits, d’images, de sons ou de messages de toute nature qui n’ont pas le caractère d’une correspo ndance privée. (MINISTERE DE LA COMMUNICATION ET DE L’INFORMATION, 1992). Plus simplement, c’est le fait de transmettre quelque chose à quelqu’un.
Niveau d’exposition aux médias de la population à Madagascar
En moyenne, environ 43% des femmes n’ont pas accès à aucun média même une fois par semaine. Et cela varie avec le niveau d’instruction tout comme chez l’homme car 67% des hommes sans instructions n’ont pas accès à aucun média et 18% chez le niveau secondaire et plus. (INSTAT, 2012-2013).
D’après le tableau du taux de possession de certains biens par région de résidence, pour Madagascar, la possession d’une poste radio est de 41,9% suivi des postes téléviseurs de 19,9 et enfin des radios cassettes de 10,5. Pour Antananarivo, les postes téléviseurs dominent avec 58,4% puis les postes radios avec 50,4% et enfin les radios cassette de 16,7%. Le moyen d’information le plus utilisé est la radio avec une moyenne de 52%, puis la télé avec 23,5% .
Le journal est le moins utilisé avec 19,5% mais il atteint 40% chez les niveaux secondaires. (INSTAT, 2012-2013)
La proportion des agriculteurs qui citent les problèmes environnementaux parmi les trois principaux obstacles de leur productivité, est estimée à 60 % environ. Pour les unités éleveurs, elle est de 13 %. Et l’insécurité 53 % chez les éleveurs. (INSTAT, 2012-2013)
Ces données sont importantes pour la mise en place des programmes d’éducation et de diffusion d’informations dans divers domaines.
Après avoir vu les caractéristiques des médias, en général, pour l’Education Relative à l’Environnement, essayons de voir ses caractères spécifiques.
DONNEES DE BASE SUR LA PRESSE ECRITE ET L’AUDIOVISUEL
Définitions
-Mass-média vient du terme latin « media » ou moyen et du terme anglais « mass » qui signifie grande collectivité ou public massif et indifférencié. Les moyens visés s’adressent donc à un public immense avec comme exemple : le journal, la radio, la télévision, le cinéma les affichages… Le terme « mass-média » veut donc dire : moyen de communication de mass ou outil de communication sociale ou encore technique de diffusion collective.
-Média ou presse par contre désigne le journal ou presse écrite, la radio et la télé vision qui possèdent un certain nombre de points communs. Ce sont des moyens qui présentent une certaine périodicité, préparés notamment par des journalistes et faisant une large place à l’information, à la diffusion de nouvelle et à leur analyse. (CAYROL, 1991)
-La presse écrite : ou j ournal ou périodique est tout support écrit paraissant régulièrement et mise en vente au public à un prix fixe et ayant les conditions suivantes :
→Quotidien : au minimum quatre fois par semaine
→Hebdomadaire : une fois par semaine
→Mensuel : au moins une fois par mois
→Bimensuel : au moins deux fois par mois
→Trimestriel : une fois tous les trois mois
→Semestriel : une fois tous les six mois
→Bimestriel : au moins deux fois tous les deux mois (MINISTERE DE LA COMMUNICATION ET DE L’INFORMATION, 1990)
-La Radio : est une station émettrice d’émission radiophonique qui transmet des programmes sonores au moyen d’ondes électromagnétiques.
-La télévision : est une transmission d’image à distance par ondes hertziennes ou par câble. (MOINGEON, et al. 1990).
REMARQUE :
-Les critères de classification des journaux dépendent de leur:
•Temps de parutions : Hebdomadaire, quotidienne, mensuel, trimestriel, semestriel
•Langues : Malagasy, Français, Anglais, Mixte
•Spécialités : Politique, sociale, économique…
-Une commission supérieure de la communication se charge d’attribuer les licences d’exploitation valant l’autorisation de diffusion, sous réserve d’octroi de fréquences par le comité de coordination des télécommunications à Madagascar. Des cahiers de charges contenant les programmes diffusés sont révisés chaque année et il existe aussi des contrôles des activités de publicité, de vidéogramme et de cinématographie. (MINISTERE DE LA COMMUNICATION ET DE L’INFORMATION, 1990)
-En Juin 2015, Madagascar doit basculer vers l’utilisation de la TNT (télévision numérique) dont l’avantage est d’avoir des programmes t hématiques que même les milieux ruraux pourront jouir. (KANANE, 2006)
D’après un entrevu avec le chef de service qui s’occupe de la télévision Numérique au sein du Ministère de la Communication et de l’Information, le thème environnement est déjà envisagé outre la politique, sociale, publicité, divertissement ….
MATERIELS ET METHODES
Les matériels et méthodes utilisés pour l’élaboration de ce mémoire sont détaillés comme suit :
METHODES
Etudes bibliographiques et webographiques
Avant l’enquête : les recherches bibliographiques débutent auprès du Ministère de l’Environnement pour obtenir le texte de mise à jour de la PErEDD, et auprès du WWF pour les renseignements sur l’ERE informel. Ensuite, pour mieux connaître le domaine ou l’étude allait se faire, des recherches auprès du Ministère de la Communication et de l’Information et sur internet ont été faite pour savoir les généralités sur la presse écrite et les audiovisuels (nombre, siège…). Des mémoires et des thèses au Bibliothèque de l’ENS ont été consultés pour élaborer les questionnaires.
Après l’enquête : Des documents de cours sur l’initiation à la recherche, sur le cours d’informatique, sur les micro-teaching, sur la psychopédagogie en 4 ème année avec des livres du CITE Ambatonakanga et des documents de conférences sur le Développement Durable ont été utilisés pour analyser et interpréter les résultat s obtenus.
Descente sur terrain
-L’enquête a duré 2 mois environ depuis le 04 juillet 2014 jusqu’à la mi-octobre 2014.
-Tout d’abord, la pré-enquête est entamée auprès de 4 journalistes pendant 4 jours. Après la révision et la correction du questionnaire, l’enquête proprement dite a débuté.
-Le choix des échantillons enquêtés s’est fait suivant la possibilité du média à posséder des émissions ou des articles sur l’environnement. Le choix dépendait aussi entre autres de la distance des échantillons au lieu de résidence de l’enquêteur du fait du coût des va et vient . Et enfin, le choix dépendait énormément de la disponibilité des journalistes et des personnels des Ministères enquêtés. Ainsi, les problèmes rencontrés pendant l’enquête sont :
-Pour les enquêtés :
→Absence de temps libre de certains journalistes et donc mauvaise compréhension du questionnaire due à la précipitation. Absence de volonté à bien répondre aux quest ions : pour masquer l’ignorance peut-être, ou sous prétexte d’en savoir trop et beaucoup de réponses probables.
→Rendez-vous reportés à plusieurs reprise : trop tôt dans la matinée (6 heure s) ou trop tard le soir (20 heures.
→Questionnaire non répondu à temps puis emporté avec les journalistes chez eux et donc non fidélité des réponses car ils pourraient avoir recours à l’internet ou bien à l’avis d’une autre personne ou tout simplement faire répondre le questionnaire par une autre personne.
→Trop de protocole qui retarde l’entretien au niveau de certains Ministères.
-Pour l’enquêteur :
→Manque de temps et de matériels qui ont fait reportés et reculés le travail.
→Difficultés avec la bibliographie car le thème est rare au niveau de la Bibliothèque de l’ENS.
→Petite confusion dans la méthodologie.
-L’Enquête auprès des journalistes consiste à parler avec les journalistes responsables du volet environnement avec un questionnaire préétabli pour connaître la place de l’ERE au sein du secteur informel de l’éducation : presse écrite, radio et télévision. Expliquer si le questionnaire n’est pas clair.
-L’Enquête auprès des Ministères et du WWF consiste à poser des questions par l’intermédiaire des questionnaires et parfois suivi d’interview. Ceci dans le but d’éclairer et de collecter des données pour l’étude et pour l’analyse.
Dépouille, analyse et interprétation des résultats
La dépouille et l’analyse des résultats ont été faites de Novembre 2014 au Février 2015. Et les corrections on reprit jusqu’au mois de juillet 2015. Le travail consiste à déterminer les connaissances des journalistes sur l’environnement , sur l’ERE et la politique qui le régit, et sur l’existence d’émission ou d’article sur l’ERE (pour être analysé comme étant ou non une ERE).
Le but est de procéder à l’élaboration d’une fiche pratique pour les aider dans la réalisation de ses activités ; d’établir aussi des suggestions à faire pour intégrer l’ERE au sein d’une branche où l’information et la communication sont les priorités.
Table des matières
LES MEMBRES DE JURY DU MEMOIRE
DEDICACE
REMERCIEMENTS
LISTE DES TABLEAUX
LISTE DES FIGURES
LISTE DES ACRONYMES
LISTE DES ANNEXES
GLOSSAIRES
INTRODUCTION GENERALE
PARTIE I : GENERALITES SUR L’ERE, SA POLITIQUE ET LE MEDIA
I.1-GENERALITES SUR LE SUJET ET LE MILIEU D’ETUDE
I.1.1-Présentation des sujets d’études
I.1.2-Caractéristiques du milieu d’étude
I.2-GENERALITE SUR LA POLITIQUE DE L’EDUCATION RELATIVE A L’ENVIRONNEMENT ET SUR LA POLITIQUE DE L’EDUCATION RELATIVE A L’ENVIRONNEMENT POUR LE DEVELOPPEMENT DURABLE
I.2.1-Définitions
I.2.2-Mise à jour de la PERE en PEREDD
I.2.3-Les Objectifs de l’EREDD
I.2.4-Les thématiques face aux changements majeurs
I.3-GENERALITE SUR L’INFORMATION ET LA COMMUNICATION
I.3.1-Définitions
I.3.2-Rôles de quelques fonctions au sein du journalisme ou spécialité
I.3.3-Code et loi en communication à Madagascar pouvant être mise en relation avec l’éducation
I.3.4-Fonctions et influences des médias sur le public
I.3.5-Niveau d’exposition aux médias de la population à Madagascar
I.4-DONNEES DE BASE SUR LA PRESSE ECRITE ET L’AUDIOVISUEL
I.4.1-Définitions
I.4.2-Nombres des médias dans la région d’Analamanga
PARTIE II : MATERIELS ET METHODES
II.1-METHODES
II.1.1-Etudes bibliographiques et webographiques
II.1.2-Descente sur terrain
II.1.3-Dépouille, analyse et interprétation des résultats
II.2-MATERIELS
PARTIE III : RESULTATS ET SUGGESTIONS
III.1-PROFIL DES PERSONNES CIBLES
III.1.1-Nombre de journalistes enquêtés
III.1.2-Compétence des journalistes
III.1.3-Association, organisation, société civile ou autre groupe fréquenté par les journalistes
III.1.4-Zone pouvant bénéficier des presses écrites, des radios et des télévisions enquêtées à Madagascar
III.2-CONNAISSANCES DE BASE DES CIBLES SUR L’ENVIRONNEMENT
III.2.1-Connaissance sur la définition de l’environnement
III.2.2- Perception de l’état de l’environnement par les journalistes
III.2.3-Causes de dégradations de l’environnement
III.2.4- Deux grands problèmes de notre pays en général d’après les journalistes
III.2.5-Sujets les plus importants qu’il faut traiter sur les problèmes environnementaux
III.2.6-Valeur de l’environnement
III.3-CONNAISSANCE DE BASE DES CIBLES SUR L’EDUCATION RELATIVE A L’ENVIRONNEMENT
III.3.1-Définition de l’Education Relative à l’Environnement
III.3.2 -Type d’activité sur l’ERE connus des journalistes au sein de la presse écrite, de la radio et de la télévision
III.3.3-Compétences acquises des journalistes utile à la réalisation d’ERE
III.3.4-Caractéristiques des formations
III.3.5-Connaissance des journalistes sur la politique de l’Etat
III.3.6-Les problèmes qui entraveraient la réalisation d’émission ou d’article sur l’ERE d’après les médias
III.3.7-Des suggestions proposés par les journalistes pour résoudre les problèmes dans l’élaboration d’activité sur l’ERE
III.4-ACTIVITES SUR L’ERE REALISES AU SEIN DE CHAQUE MEDIA
III.4.1-Médias ayant des activités sur l’ERE
III.4.2-Les caractéristiques des émissions et des articles à analyser
III.4.3-Place des autres émissions environnementales dans la presse
III.4.4-Solutions : fiches pratiques pour les journalistes
PARTIE IV : INTERETS PEDAGOGIQUES
CONCLUSION
REFERENCES BIBLIOGRAPHIQUES
WEBOGRAPHIES
ANNEXES