LES PROBLEMES QUE RENCONTRE LE SECTEUR TOURISME

LES PROBLEMES QUE RENCONTRE LE SECTEUR TOURISME

Entre 2006 et 2010 le tourisme a apporté 233,7 ; 322,3 ; 503,2 ; 167,6 et 211,1 millions de USD dans la recette de l’Etat. En 2009, on a vue une diminution à cause de la crise qu’a traversé le pays mais dès 2010, une légère hausse a était enregistré et la tendance est vers le haut. Malgré cette situation qui apparemment bonne, le tourisme ne va très bien dans notre grande île. En fait, des problèmes se posent à tous les niveaux et handicapent ce secteur. Depuis l’administration comme la lourdeur administrative héritage colonial jusqu’à la base, les insécurités qui font fuir les visiteurs. Pour entrer en détail à ce sujet, allons faire un état des lieux du tourisme à Madagascar afin d’avancer des recommandations. 13 340 SECTION I:Etats des lieux : Dans le domaine du tourisme notamment ou moins longue.

En fait, c’est un secteur qui l’amont à l’aval. Du coup, c’est un secteur sensible à tous disfonctionnements qui se présentent que se soit dans les domaines en amont ou en a I.1. Les problèmes en amonts du secteur On va englober dans ces secteurs en amont ainsi que les contextes internationaux. tourisme. En ce qui concerne les investissements en tourisme à Madagascar, p montant des investissements réalisés s’élève à 95,3 milliards d’Ariary. Ce qui représente une hausse de 279,74% en termes de volume d’investissement par rapport à l’année 2009. une hausse assez considérable, un regain de confiance des investisseurs après une période de crise qui a frappé de pleines fouées investissements est représentée par le graphique suivant Des hausses chaque années depuis 2007 jusqu’à 2011 mais elle est remarquable entre 2010 et 2011 qui est de 2.638 chambres en une année.

Vue cette évolution, on n’en tire que des bilans positifs. Or, si on regarde la répartition de ces investissements, il y a un déséquilibre. Le graphique ci 57 14 443 16 055 17 612 20 250 : Dans le domaine du tourisme notamment à Madagascar, la liste des c’est un secteur qui dépend et en relation avec d’autres domaine de Du coup, c’est un secteur sensible à tous disfonctionnements qui se présentent que se soit dans les domaines en amont ou en aval. Les problèmes en amonts du secteur : On va englober dans ces secteurs en amont : les administrations, les investissements contextes internationaux.

L’environnement en général d’un pays influence le concerne les investissements en tourisme à Madagascar, pour l’année 2010, le montant des investissements réalisés s’élève à 95,3 milliards d’Ariary. Ce qui représente une hausse de 279,74% en termes de volume d’investissement par rapport à l’année 2009. une hausse assez considérable, un regain de confiance des investisseurs après une période de pleines fouées l’économie malgache. La création des cham investissements est représentée par le graphique suivant : Des hausses chaque années depuis 2007 jusqu’à 2011 mais elle est remarquable entre 2010 et 2011 qui est de 2.638 chambres en une année. évolution, on n’en tire que des bilans positifs.

Or, si on regarde la répartition de ces investissements, il y a un déséquilibre. Le graphique ci-après l’explique: es problèmes est plus d’autres domaine de Du coup, c’est un secteur sensible à tous disfonctionnements qui se : les administrations, les investissements L’environnement en général d’un pays influence le our l’année 2010, le montant des investissements réalisés s’élève à 95,3 milliards d’Ariary. Ce qui représente une hausse de 279,74% en termes de volume d’investissement par rapport à l’année 2009. C’est une hausse assez considérable, un regain de confiance des investisseurs après une période de La création des chambres parmi ces Des hausses chaque années depuis 2007 jusqu’à 2011 mais elle est remarquable entre évolution, on n’en tire que des bilans positifs.

Or, si on regarde la répartition de ces TOAMASINA 6% MAHAJANGA 8% ANTSIRANANA Graphique 1 : Répartition des i Antananarivo détient plus de la moitié des investissements soit 62%, les restent sont reparties entres les autres grandes villes comme suit et Tamatave, 06% chacune et Antsirabe et Fianarantsoa 01% de chaque. Les causes de ce déséquilibre est tout d’abord, les moyens nécessaires favorables à l’implantation d’une entreprise se trouve cumuler dans la capital. Premièrement, les électricités, dans les autres régions même les plus visités comme Nosy Be, le délai sta devient une affaire courante des habitants et des operateurs économiques ses environs, le régime électrique est plus ou moins stable même s’il existe des fois des coupures passagères. A part les pertes générées par ses coupures d’él aussi des insécurités qui une des critères de tous investissement.

De plus, à Madagascar on a beau dire instauré la politique de la décentralisation pourtant quand on élabore un projet administratif d’un projet, on accuse toujours lourdeurs administratifs. Surtout quand on est dans les provinces car certains des dossiers doivent passer dans les bureaux ou le ministère central dans la capitale. fonctionnement de l’administration favorise la corruption c l’indice de la perception de la corruption à Madagascar ne cesse d’augmenter. Elle devient une tradition dans tous les bureaux administratifs par conséquent, les dépenses des détenteurs de projet s’alourdissent quand ils veulent où c’est facile de monter un projet et où les dépenses sont relativement moins chères. déficit de l’image de Madagascar sur le marché du tourisme International, 58 FIANARANTSOA 1% TOLIARY 16% ANTSIRANANA 1% NOSY-BE 6% Répartition des investissements dans le secteur tourisme Antananarivo détient plus de la moitié des investissements soit 62%, les restent sont les autres grandes villes comme suit : Tuléar, 16% ; Majunga 08% et Tamatave, 06% chacune et Antsirabe et Fianarantsoa 01% de chaque. Les causes de ce déséquilibre est tout d’abord, les moyens nécessaires favorables à l’implantation d’une entreprise se trouve cumuler dans la capital.

Premièrement, les électricités, dans les autres régions même les plus visités comme Nosy Be, le délai sta des habitants et des operateurs économiques. Or, Antananarivo et ses environs, le régime électrique est plus ou moins stable même s’il existe des fois des art les pertes générées par ses coupures d’électricité, elle provoque aussi des insécurités qui une des critères de tous investissement. De plus, à Madagascar on a beau dire instauré la politique de la décentralisation pourtant quand on élabore un projet administratif d’un projet, on accuse toujours des retard dues aux lourdeurs administratifs. Surtout quand on est dans les provinces car certains des dossiers doivent passer dans les bureaux ou le ministère central dans la capitale. fonctionnement de l’administration favorise la corruption c’est pourquoi chaque année, l’indice de la perception de la corruption à Madagascar ne cesse d’augmenter.

Elle devient une tradition dans tous les bureaux administratifs par conséquent, les dépenses des détenteurs de projet s’alourdissent quand ils veulent le réaliser et qui les fait fuir pour s’installer ailleurs où c’est facile de monter un projet et où les dépenses sont relativement moins chères. ’image de Madagascar sur le marché du tourisme International, ANTANANARIVO 62% s dans le secteur tourisme en 2010 : Antananarivo détient plus de la moitié des investissements soit 62%, les restent sont ; Majunga 08% ; Nosy Be Les causes de ce déséquilibre est tout d’abord, les moyens nécessaires favorables à l’implantation d’une entreprise se trouve cumuler dans la capital. Premièrement, les électricités, dans les autres régions même les plus visités comme Nosy Be, le délai stage Or, Antananarivo et ses environs, le régime électrique est plus ou moins stable même s’il existe des fois des ectricité, elle provoque De plus, à Madagascar on a beau dire instauré la politique de la décentralisation pourtant des retard dues aux lourdeurs administratifs. Surtout quand on est dans les provinces car certains des dossiers doivent passer dans les bureaux ou le ministère central dans la capitale. Ce mode de ’est pourquoi chaque année, l’indice de la perception de la corruption à Madagascar ne cesse d’augmenter.

Elle devient une tradition dans tous les bureaux administratifs par conséquent, les dépenses des détenteurs le réaliser et qui les fait fuir pour s’installer ailleurs où c’est facile de monter un projet et où les dépenses sont relativement moins chères. Le ’image de Madagascar sur le marché du tourisme International, devient alors 59 incomparable ceci ajouté à l’émergence des nouvelles destinations touristiques mondiales comme les petites îles des archipels asiatiques, les restaurateurs ont enregistres des taux de fréquentation bas même en haute saison. La situation politique très mouvementée durant ces cinq dernières années a laissé une trace sur le domaine du tourisme. Les visiteurs ne sont plus enthousiastes pour venir par peur d’être agresser ou d’être coincer ici en cas d’autre soulèvement populaire par exemple. Encore une fois c’est l’image du pays qui est touché surtout actuellement où avec internet tout est en temps réel et tout le monde peut y accéder. Enfin, le problème climatique qui n’est pas la moindre. Si on connait la grande île comme une terre sauvage gorgée de biodiversité, une des raisons majeures des venues des touristes, maintenant le changement climatique menace ces ressources. Beaucoup d’espèces animales et végétales sont en voie de disparition.

Les problèmes en aval 

Dans cette sous-partie figureront les problèmes sanitaires causés par les arrivées massives des touristes, le manque de professionnalisme des operateurs malgache œuvrant dans ce secteur, le problème d’accès dans certaines régions de Madagascar et autres problèmes qu’on rencontre dans l’industrie du tourisme. Premièrement, le développement du tourisme dans un pays est une arme à double tranchant, certes, il fait entrer des devise mais il est aussi source de problème ruinant petit à petit la finances publiques. Le tourisme sexuel figure au premier rang du problème. A part les maladies sexuellement transmissibles comme le VIH/SIDA qui paralysent l’économie dans la mesure où il fait diminuer les forces productives de la personne touchée, le tourisme sexuel accroit le taux d’analphabétisme. Dans les r région à forte fréquentation touristique, les jeunes filles se désintéressent de l’école pour faire de la prostitution qu’elles considèrent comme source d’argent facile . Tout ça fait ressortir les recettes générées par les afflux touristique dans la lutte contre les MST, la prise en charge des personnes malade ou la campagne de lutte contre l’illettrisme. Deuxièmement, l’accessibilité est un blocage au développement du tourisme à Madagascar. Malgré les efforts entrepris, plusieurs régions sont inaccessibles pendant une majeure partie de l’année. En fait, pendant la saison des pluies, les routes secondaires qui couvent plus de 40% des circuits touristiques malgaches sont en mauvaises état voir 60 impossible d’accès. Les hôtels et restaurants se trouvant dans ces parties de l’île voient ses nombre de client diminué gravement. Ils sont donc obliger de toucher au prix de leurs offres pour éviter les fermetures dues à des faillites. Mais comme on est dans une économie de marché où la compétitivité est un mot d’ordre, ils perdent un part de marché donc obliger de tourner au ralentit. Ajouté à ce problème, le manque de professionnalisme des operateurs du tourisme à Madagascar. En effet, la plupart des investisseurs dans la grandes sont des amateurs, qui n’ont pas de formation. Les projets deviennent des tâtonnements mais pas conviction ni étude approfondie.

Une des causes, la structure de l’éducation de notre pays ne met pas en avance les enseignements professionnels notamment dans le tourisme. Troisièmement, le profil « touristique » de Madagascar est aujourd’hui celui d’un tourisme « régional » qui pose un problème de diversification. Actuellement, le tourisme de masse est la mode surtout dans les grandes villes touristiques du monde. Voici le profiltype des voyages et voyageurs venant à Madagascar : Voyageurs à 01 ou 02 adultes représentent les 63,9% ; sans enfants 86,8% En voyage non organisé, 56,7% ; Hébergement en hôtel, 88,4% ; Pour une adulte dont la durée de 03 semaines et plus représente 61,6% ; Age des voyageurs, 35 à 64 ans soit 79,4% ; Retraité, cadre supérieure ou profession libérable est de 58% ; Revenu supérieur à EUR 15.000 par an est de 68,6%. 

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