La situation de la politique budgétaire au sein de la crise des dettes souveraines
européenne
Pour avoir des résultats authentique, on va analyser les données des principaux indicateurs économiques relative d’une manière directe ou indirecte à la politique budgétaire appliqué au pays du Maghreb (Algérie, Maroc, Tunisie), dans une période commence de l’année 2001 et termine à l’année 2013. Partageant l’étude en 3 périodes significatives : La première période (de 2001 à 2006) : Le choix de cette période repose la chronologie du commencement d’une politique de relance qui se présente dans le plan de soutien de relance en Algérie, le choix de la fin de cette période ne s’appuie pas sur la fin du période de ce plan, mais elle représente l’année qui précède le déclenchement de la crise financière mondiale. La deuxième période (de 2007 à 2009) : parallèlement avec l’éclatement et la propagation de la crise financière et économique mondiale, bien que l’année 2009 représente un début des signes qui est aplani l’apparition de la crise des dettes souveraines. La troisième période (de 2010 à 2013) : L’année 2010 est considérer comme l’année officielle de déclenchement de la crise des dettes souveraine européenne. Certains indicateurs sont utile pour l’analyse tel que le solde budgétaire ou publique ses recettes et ses dépenses, ainsi que le niveau d’endettement. D’une façon générale, l’analyse doit se reposer sur les indicateurs déterminant de la soutenabilité des finances publique (soutenabilité de politique budgétaire et soutenabilité de dette publique), utilisant également d’autres indicateurs tel que le solde commerciale qui va nous aider à savoir l’impact de la crise des dettes souveraines sur l’économie des pays du Maghreb et delà sur la politique budgétaire. Généralement, la crise de la dette souveraine, comme la crise mondiale, engendre un ralentissement de l’économie.
L’évolution des indicateurs de la politique budgétaire entre 2001 et 2013 au pays du Maghreb
Pour avoir des résultats significatifs, en va traiter l’évolution du solde budgétaire et le solde publique en appuyant sur l’étude les recettes et les dépenses ainsi que la dette publique.
Le solde budgétaire
Le solde budgétaire peut être excédentaire ou bien déficitaire. On va traiter les soldes budgétaires des pays du Maghreb depuis 2001 jusqu’à 2013en partageant la période d’étude en trois.
L’étude de l’évolution du solde budgétaire par période
Le solde budgétaire peut être excédentaire ou bien déficitaire. On va traiter les soldes budgétaires des pays du Maghreb depuis 2001 jusqu’à 2013en partageant la période d’étude en trois.L’Algérie a poursuivi une politique expansionniste depuis l’année 2001, une accumulation des recettes a été caractérisée la première période d’étude (2001-2006), elle atteint à 34.9% du PIB en 2001, 36% en 2002, 37.1% en 2003 et 36.1% en 2004 pour s’élève, en 2005, à 40.9% qui est la valeur la plus hausse dans cette période. En 2006, l’Algérie a marqué presque le même niveau des recettes qui atteint à 40% du PIB. Les dépenses publiques totales ont également exposé un niveau régulier atteint à 31.4% du PIB en 2001, 35.8 en 2002 et environ 29% pour les années 2003, 2004, 2005 et 2006. Bien que l’Algérie a poursuivi une politique de relance, cette période a été généralement marquée un excédent budgétaire se varie entre 3.4% du PIB et 11.9% du PIB. Seul qu’à l’année 2002, l’Algérie a affiché un solde quasi équilibré estime à 0.2%. C’est l’augmentation des prix des hydrocarbures qui ont aidé à avoir de recettes qui couvre les couts des dépenses.Remarquant que les dépenses publiques totales ont supérieurs que les recettes publique totales, ce qui permit à afficher un déficit budgétaire, les dépenses sont atteint à 31.1%, 26.6%, 26.8%, 27%, 30.1% et 28% du PIB contre 25%, 22.4%, 21.8%, 22.6%, 24.2% et 25.6% des recettes respectivement en 2001, 2002, 2003, 2004, 2005 et 2006. Le rythme de la politique budgétaire au Maroc est resté stable, un déficit budgétaire a été s’exposé pendant cette période, il dépasse le niveau de 3% du PIB qui est désigné par la définition de Maastricht dont il atteint à 5.6%, 4.2% , 4.4%, 4.1%, 5.2% du PIB respectivement en 2001,2002,2003,2004 et 2005. Seul l’année 2006 a été affiché un niveau de déficit dans les normes estime à 2.1%. Notant qu’à l’année 2006, Le Maroc a marqué une croissance atteint à 7% du PIB (Graphique n° : 3- ) et cela est expliqué par l’effet du multiplicateur keynésien.