La loi de la population de « Robert Thomas Malthus»
La théorie de « Karl Marx»
Pour Karl Marx {1818-1883}, la baisse tendancielle du taux de profit est au cœur de l’analyse de la croissance à long terme, selon l’auteur l’accroissement de la composition organique du capital mène automatiquement à la baisse du taux de profit, c’est-à-dire que le taux de profit est égal au rapport entre la plus value et la totalité de capital. Autrement dit, la composition organique du capital augmente vite, que la marge de plus value, ce qui incite une tendance à la baisse du taux de profit. Dans l’optique de l’auteur les crises du capitalisme sont possibles, contrairement à l’analyse classique, ces crises sont les résultats de blocage de l’accumulation du capital qui résulte de la baisse de taux de profit et une crise de débauchés Alors que, Thomas Robert Malthus, donne plus d’importance au facteur humain La loi de la population de « Robert Thomas Malthus» Les rendements décroissants la baisse tendancielle du taux de profit Chapitre I : définitions et concepts de l’investissement direct étranger (IDE) Selon les fidèles de ce paradigme, le jalonnement historique de la croissance économique nous révèle : la croissance économique se pérennise, mais d’une façon instable, selon eux la nature de la croissance économique, sont les ressources natures tels que :{l’eau, les combustibles liquides et solides, les minéraux, etc.}. D’autre part la perspective de la croissance est nul, à cause de l’augmentation de l’effectif de la population, et par conséquent l’augmentation de la consommation et la pollution de la planète. 04-2 : les modèles de la croissance économique : «post keynésiens» Juste après la crise de 1929, plusieurs économistes fondent leurs analyse économique à long terme sur les règles et solutions apportées par l’économiste « Keynes». Nous abordons ci-après deux modèles très importants, à savoir : le modèle « Harrod et Domar» et le modèle « Robert et Solow». 04-2-1 / le modèle Harrod et Domar Influencé par les travaux de l’économiste John Maynard Keynes (1883-1946). Harrod et Domar en 1947, ont révélé que le taux de croissance économique [C] est fonction du taux d’épargne [S] et le taux d’investissement en capital [I]. La formule de Harrod et Domar apparait comme suit : C=S /I 35 C’est-à-dire, la croissance est imputée à l’investissement productif, celui-ci est imputé aussi à l’épargne. En effet, le gouvernement peut agir sur le taux de croissance économique en encourageant l’épargne par l’augmentation du taux d’intérêt ou par les exonérations fiscales. Ce modèle a mis l’accent sur l’instabilité de processus d’expansion des économies.
Le modèle Robert et Solow (1956)
Ce modèle se base sur une fonction de production homogène de type Cobb-Douglas à deux facteurs le travail [L] et le capital [C] , de sorte que la croissance économique [Y] Le modèle de Robert et Solow s’appuie sur l’hypothèse que les moyens de production connaissent un rendement décroissent 37, et les moyens sont utilisé efficacement. D’autre part le facteur technique sera qualifié comme un variable exogène, Cela veut dire que le progrès technique n’explique pas la croissance, puisque celui-ci ni pas le produit de croissance elle-même. Selon Robert et Solow, la croissance est infini à condition que la population s’accroit et qu’il y ait de progrès technologique.
Les approfondissements optimistes de la croissance économique
Il existe plusieurs approches concernant la vision optimistes de la croissance èconomique. Nous citons ci-après deux approches édifiantes
le modèle « schumpetérienne», la destruction créatrice (1883-1950)
Pour Schumpeter, l’innovation est l’élément explicatif de la croissance économique à long terme. Pour lui il est intéressent de distinguer entre la croissance de court terme et la croissance à long terme, puisque dans la première cas les conditions de l’activité économique sont déjà prédéterminé { il voit les facteurs de production comme des données} alors que dans la seconde cas les conditions de l’activité économique se changent, les agents économiques {entrepreneurs, administration, extérieur, ménages}, les technologies et les débouchés se modifient. En distinguent cinq processus d’innovation : {biens, débouchés, procèdes, matières premières, organisations des firmes}. Selon Schumpeter, l’innovation est le catalyseur de croissance économique, parce qu’elle permet de changer la technologie obsolète par d’autre moderne. sous influence de l’hypothèse de rendement décroissent. Solow a prouvé que la production par ouvrier S’augmente avec le volume de capital par ouvrier, cela veut dire que la rentabilité du capital s’accentué et Avec lui la potentialité d’une augmentation de rapport capital / main d’œuvre, ce rapport rapproche d’une Constante et la productivité cesse d’augmente.
Le modèle du Kaldor {1956}
Selon l’auteur de ce modèle, le taux d’épargne (i) d’un état est une équation croissante à l’égard des profits dans le revenu national (Y) car le propension à épargner des capitalistes {propriétaires des capitaux} est supérieure à celle des salariés {les ouvriers} de ce fait, le taux de croissance garanti ( s / v) devient une équation croissante du taux de profit (i). À l’inverse une faible croissance économique, produit un état de sous -emploi de plus une répartition des revenus plus agréable aux profits, cela accroit le taux d’épargne donc la croissance économique. Le modèle de Kaldor s’écrit comme suit : Le produit national est constitué : de salaires (W) et de profits (P) : P = P . K = r.v Y K Y Autrement dit : L’épargne par la répartition des revenus, est une variable d’ajustement {réallocation} qui permet une croissance économique stable à long terme. 04-4 : Les nouvelles théories de la croissance économique Les nouvelles réflexions sur la croissance économique mises le point sur le caractère cumulatif de la croissance. On retiendra dans cette section deux approches concernant la croissance économique à long terme, à savoirs : 1) les théories de la croissance endogène, et 2) Le modèle institutionnel de la croissance.
Les théories de la croissance endogène
Selon les auteurs de la théorie de la croissance endogène à l’instar de {Paul Romer, Robert Barro et Lucas}. Le progrès technique est endogène, c’est-à-dire que la croissance èconomique produit par elle-même le développement technologique. Le modèle s’appui sur l’hypothèse du rendement constant du capital et le modèle AK, qui est une équation de production composée à partir des facteurs suivants : le facteur production (Y), le stock de capital (K) et une constante (A).