Relations partenariales de l’ENI avec les entreprises et les organismes
Au niveau national
Les stages pratiqués chaque année par ses étudiants mettent l’Ecole en relation permanente avec plus de 300 entreprises, sociétés et organismes publics et privés nationaux et internationaux. Parmi ces établissements, on peut citer : L’organisation de stages en entreprise contribue non seulement à assurer une meilleure professionnalisation des formations dispensées, mais elle accroît également de façon exceptionnelle les opportunités d’embauche pour les diplômés. Les diplômés de l’ENI sont recrutés non seulement par des entreprises et organismes nationaux, mais ils sont aussi embauchés dans des organismes de coopération internationale tels que l’USAID MADAGASCAR, la Délégation de la Commission Européenne, la Banque Africaine de Développement (BAD), la Mission Résidente de la Banque Mondiale, la Commission de l’Océan Indien, etc. ENI Conception et développement du système intégré de la DAG BCM 9 b. Au niveau international Entre 1996 et 1999, l’ENI a bénéficié de l’assistance technique et financière de la Mission Française de Coopération et d’Action Culturelle dans le cadre du PRESUP. La composante du PRESUP consacré à l’ENI a notamment porté sur : – une dotation en logiciels, microordinateurs, équipements de laboratoire de maintenance et de matériels didactiques ; – la réactualisation des programmes de formation assortie du renouvellement du fond de la bibliothèque ; – l’appui à la formation des formateurs ; – l’affectation à l’Ecole d’assistants techniques français. Et depuis le mois de mai 2000, l’ENI fait partie des membres de bureau de la Conférence Internationale des Ecoles de Formations d’Ingénieurs et Techniciens d’Expression Française (CITEF). L’ENI a signé un Accord de coopération interuniversitaire avec l’IREMIA de l’Université de la Réunion, l’Université de RENNES 1 et l’Institut National Polytechnique de Grenoble (INPG). Depuis le mois de juillet 2001, l’ENI abrite le Centre du Réseau Opérationnel (Network Operating Center) du point d’accès à internet de l’Ecole et de l’Université de Fianarantsoa. Grâce à ce projet américain financé par l’USAID Madagascar, l’ENI et l’Université de Fianarantsoa sont maintenant dotées d’une Ligne Spécialisée d’accès permanent à INTERNET. Par ailleurs, depuis 2002, une nouvelle branche à vocation professionnelle a pu y être mise en place, en partenariat avec Cisco System. Enfin et non de moindres, l’ENI a noué des relations de coopération avec l’Institut de Recherche pour le Développement (IRD). L’objet de la coopération porte sur la modélisation environnementale du corridor forestier de Fianarantsoa. Dans le même cadre, un atelier scientifique international sur la modélisation des paysages a été organisé à l’ENI au mois de Septembre 2008. ENI Conception et développement du système intégré de la DAG BCM 10 Comme l’ENI constitue une pépinière incubatrice de technologie de pointe, d’emplois et d’entreprises, elle peut servir d’instrument efficace pour la lutte contre la pauvreté. De même que l’Ecole permet de renforcer la position concurrentielle de la Grande île sur l’orbite de la mondialisation grâce au développement des nouvelles technologies.
Ressources humaines
– Directeur : Monsieur Fontaine RAFAMATANANTSOA – Chef de Département de la Formation Théorique : Monsieur Venot RATIARSON – Chef de Département de la Formation Pratique : Monsieur Cyprien RAKOTOASIMBAHOAKA – Nombre d’Enseignants permanents : 12 – Nombre d’Enseignants vacataires : 10 – Personnel administratif et technique : 19 1.9. Projets et perspectives de développement institutionnel (2010-2014) – Restructuration du système pédagogique de l’Ecole selon le schéma LMD (Licence Master Doctorat), – Mise en place à l’Ecole d’un Département de Formation de 3ème cycle et d’études doctorales en Informatique, – Création à l’Ecole d’une Unité de Production Multimédia, d’un club de logiciel libre Unix.
Conception et développement du système intégré de la DAG BCM
Après la sortie de Madagascar de la zone franc, la Banque Centrale de Madagascar fut créée le 12 juin 1973 par l’ordonnance n° 73/025 définissant ses statuts. Elle a pris la succession de l’Institut d’Emission Malgache. Cette ordonnance a été remplacée par la loi modifiée n° 94-004 di 10 juin 1994, portant Statuts de la Banque Centrale de Madagascar. Cette loi consacre son indépendance en matière de politique monétaire.
MISSION ET FONCTION
Suivant l’article 6 de ses statuts, la Banque Centrale de Madagascar a pour mission générale de veiller à la stabilité interne et externe de la monnaie. A ce titre, elle élabore et met en œuvre la politique monétaire. Elle assume les fonctions suivantes : – elle exerce le privilège d’émission de billets de banque et de pièces de monnaie ayant cours légal sur le territoire de Madagascar ; – elle est la banque des banques ; – elle est la banque de l’Etat ; – elle gère la réserve nationale de change ; – elle est garante du bon fonctionnement du système bancaire et financier ; – elle veille au bon fonctionnement du système des paiements ; – elle assure le Secrétariat Général de la Commission de Supervision Bancaire et Financière. La BCM possède : – deux organes de décision : le Gouverneur assisté d’un Directeur Général et du Conseil d’Administration ; – et un organe de surveillance : les Censeurs. ENI Conception et développement du système intégré de la DAG BCM La BCM est structurée comme suit : – des directions centrales chargées, chacune en ce qui la concerne, des opérations financières dans le territoire et avec l’étranger, de la conception et de l’exécution de la politique monétaire, de l’exécution du budget et de la gestion des ressources humaines, du traitement et de la fiabilisation des informations ; – 15 Représentations territoriales réparties dans toute l’île et dont les fonctions principales sont l’approvisionnement des régions en signes monétaires et la collecte des informations économiques et financières nécessaires à la conduite de la politique monétaire ; – et le Secrétariat Général de la Commission de Supervision Bancaire et Financière (CSBF).
GOUVERNORAT DE LA BANQUE CENTRALE DE MADAGASCAR LE GOUVERNEUR
Le Gouverneur assume la direction et la gestion de la Banque Centrale. Il assure l’application des lois et règlements relatifs aux activités de la BCM et des résolutions du Conseil d’Administration. Il a l’initiative de la mise en œuvre de la politique monétaire et du crédit définie par le Conseil d’Administration. Il nomme aux emplois de la Banque Centrale et la représente vis-à-vis des tiers. Il est nommé par décret pris en Conseil des Ministres pour un mandat de quatre ans renouvelable une fois. Il est le Président du Conseil d’Administration de la Banque Centrale. Il est aussi le Président de la Commission de Supervision Bancaire et Financière. Il a sous son autorité un Directeur Général qui l’assiste dans l’exécution de sa mission et qui le remplace en cas d’absence ou d’empêchement. Gouverneur actuel : LE DIRECTEUR GENERAL Le Directeur Général assiste le Gouverneur dans l’exécution de sa mission et le remplace en cas d’absence ou d’empêchement de celui-ci. Il est nommé par décret pris en Conseil des Ministres sur proposition du Conseil d’Administration. Il participe aux séances du Conseil d’Administration avec voix consultative. Il est membre du Commission de Supervision Bancaire et Financière. Directeur Général actuel: M. Christian G.D. RASOLOMANANA LE CONSEIL D’ADMINISTRATION Le Conseil d’Administration définit la politique monétaire et du crédit. Il délibère sur la création, l’émission, le retrait ou l’échange des types de billets et de pièces de monnaie de la Banque Centrale, ainsi que sur leurs caractéristiques. Il délibère sur l’organisation générale de la Banque Centrale et sur la création ou la suppression de toute succursale, agence, comptoir ou bureau de représentation. Il établit les normes, les conditions générales et les modalités d’exécution des opérations de la Banque Centrale. Il approuve le statut du personnel et le régime de rémunération des Agents de la Banque Centrale. Il arrête le règlement intérieur de la Banque Centrale. Il arrête chaque année les budgets prévisionnels et rectificatifs de la Banque Centrale. Il détermine les conditions et la forme dans lesquelles la Banque Centrale établit et arrête ses comptes.
INTRODUCTION GENERALE |