Effort tranchant dû à la surcharge 𝐁𝐜
La superstructure d’un pont se réfère à la partie structurelle qui se tient sur des éléments de soutiens comme les piles et les culées. C’est principalement le tablier constitué des garde-corps, des trottoirs, de la dalle, des poutres, et des entretoises. Dalle La dalle représente un composant de la superstructure désignant une plaque horizontale s’appropriant une forme rectangulaire. La dalle supporte la charge de circulation des convois répartie sur toute sa surface uniformément.les doses (D15 ; D16 ; D12 ; D10 et D19) par rapport au niveau de l’écartement 1 (combiné avec ses mêmes doses).Ce qui pourrait justifier l’importance de la combinaison forte densité de semis*doses de fertilisants minéraux N, P, k. Ces résultats pourraient être liés à des problèmes d’absorption effective des fertilisants minéraux à des périodes critiques de développement et de croissance des plants. Ces résultats ne sont pas conformes avec ceux de (Magamana, 2015), qui ont montré une augmentation du rendement biomasse aérienne sèche avec la fertilisation minérale.
Calculs des Efforts Tranchant
Le principe de calcul de l’effort tranchant dû à une charge concentrée peut être basé sur l’utilisation de la méthode de calcul des plaques. On placera le rectangle d’impact de dimension a × b avec a ≤ b dans sa position la plus défavorable sur la surface située au plan moyen de la dalle.Pour le calcul des plaques portant sur les quatre côtés, l’effort tranchant par unité de longueur est donné par les formulesPar rapport à l’effort tranchant, la surcharge Br qui comporte une roue de 10T doit être la plus à considérer.Dans un contexte de diminution continue des terres cultivables combinées à une augmentation continue de la population, l’augmentation des productions du mil dans la zone de Bambey pourrait donc être envisagée par un changement de variété de mil avec Thialack II plus récente contre Souna III, certes plus connue mais avec beaucoup d’érosion de son capital génétique. L’adoption de Thialack II par les producteurs pourrait permettre d’augmenter encore plus les productions de mil car il accepte plus une densification de sa culture que Souna III. Toutefois, ces résultats méritent d’être étendus à travers d’essais multi locaux afin de les valider avant la mise au point d’une formule de fertilisation minérale actualisée et d’une densité de semis optimale du mil dans la zone de Bambey, au Sénégal
Les Entretoises
Les entretoises sont des éléments en béton armé. Elles ont pour rôle de maintenir la répartition des charges entre les poutres principales dans le sens transversal. Les entretoises sont assimilées à des poutres transversales à deux travées dont l’une des travées supposée encastrées dans les deux poutres consécutives, l’entretoise est calculée pour supporterLe calcul des sollicitations est basé sur la méthode des lignes d’influence et l’étude considèrera l’entretoise intermédiaire qui est la plus sollicitée.Cette étude a comme objectif principal de contribuer à l’amélioration des productions de mil. Pour cela il s’agit d’évaluer l’effet de la variation des doses de fertilisants minéraux (N, P, K) sur les rendements grains et biomasses sèches et leurs composantes pour deux variétés de mil bien connues à Bambey (Souna III et Thialack II). Il s’agit aussi d’identifier la ou les
formule (s) de fertilisation minérale et la densité de semis qui permettent d’optimiser le rendement grains et biomasses sèches de deux variétés de mil. Les hypothèses de recherches sur lesquelles, était basée cette étude est (1) la dose actuelle de fertilisation minérale du mil de 150 kg de NPK (15-15-15) et 100 kg d’Urée (46%) à la montaison équivalant à un total de 68,5 kg de N ; 22,5 kg de P et 22,5 kg de K ne permettait pas à la culture d’exprimer son potentiel de rendement dans le contexte actuel et (2), il est bien possible d’augmenter la densité de semis du mil à condition de reformuler sa fertilisation. Les résultats ont montré que l’optimisation du rendement grains du mil quelle que soit la variété de mil à Bambey apparaît avec un minimum de 100 kg de N / ha contre 68,5 kg/ ha comme l’ancienne formule, confirmant ainsi la première hypothèse de recherche que nous nous étions posées. Par ailleurs les rendements sont plus importants avec la densité de semis 2 (0,9 m*0,45) atteignant (2958,3 ± 218.2 Kg/ha) pour Souna III avec les doses (D15 ; D10 ; D16 ; D19 ; D20). Et (3544,9 ± 455,0 Kg/ha) pour Thialack II avec ces mêmes doses, confirmant ainsi notre deuxième hypothèse de recherche (qu’il est bien possible d’augmenter la densité de semis du mil avec une reformulation de sa formule de fertilisation.