AUTONOMIE ET PERFORMANCE DES HOPITAUX PUBLICS

AUTONOMIE ET PERFORMANCE DES HOPITAUX PUBLICS

 Statistiques des activités hospitalières

Dans un premier, nous présenterons les statistiques en ce qui concerne les soins et dans un second nous évoquerons celles relatives aux activités financières. 

Statistiques de l’hôpital en ce qui concerne les soins

Elles portent essentiellement sur l’analyse des activités suivantes : de la durée moyenne de séjour, de la rotation des lits, de l’occupation des lits, la productivité du personnel à travers l’analyse des consultations et des hospitalisations réalisées par le CHU du Point G de 2005 à 2016. 2.3.1.1. Durée Moyenne de Séjour Elle indique le nombre moyen de journées d’hospitalisation par patient. Nous considérons donc que plus la durée de séjour baisse, plus l’impact de l’autonomie est positif. La durée moyenne Autonomie et performance des hôpitaux publics du Mali : cas du Centre Hospitalo-Universitaire du Point G, Bamako, Mali Page | 148 de séjour permet de savoir si toutefois la tendance de prise en charge des patients est correcte. Elle se calcule par le rapport : DMS=Journées/entrées Figure 5 : Evolution de la Durée Moyenne de Séjour entre 2005 et 2016 des patients du CHU du Point G Source : Données issues du rapport d’activités du CHU du Point G et conception du graphique par l’auteur Depuis la mise en place de l’autonomie en 2002, on remarque globalement (figure n°20) que la durée moyenne de séjour a baissé durant la période étendue de 2005 à 2016. Le nombre de jours entre l’admission et la sortie des patients du CHU du Point G est passé de 8 jours en 2005 à 6 jours en 2016, mais il faut noter qu’en 2008 la durée moyenne de séjour avait augmenté puisqu’elle était 5 jours en 2007 et elle est devenue 8 jours en 2008. Malgré l’existence de quelques fluctuations, la courbe de tendance indique une baisse de la durée moyenne de séjour. Cette situation pourrait s’expliquer par l’amélioration de la qualité des soins permettant ainsi de réduire le temps présence des malades au sein de l’hôpital. Il faut le rappeler, que cet indicateur masque des niveaux différents entre services d’hospitalisation, n’indique rien quant au type de maladie dont il est question, et ne tient pas compte du type de soins appliqué mais la baisse continuelle dont il fait l’objet permet de juger d’un bon niveau de performance concernant la prise en charge des patients. En conclusion, l’hospitalisation constituant l’objectif majeur de l’hôpital comparativement aux consultations, on peut supposer un bon niveau d’affection du personnel médical aux 8 6 5 8 7 6 7 7 6 5 6 6 2005 2006 2007 2008 2009 2010 2011 2012 2013 2014 2015 2016 Autonomie et performance des hôpitaux publics du Mali : cas du Centre Hospitalo-Universitaire du Point G, Bamako, Mali Page | 149 hospitalisations qui sont les activités prioritaires de l’hôpital et les plus utiles qu’elle doit réaliser pour la population.

L’évolution de l’Indice de rotation des lits

L’indice de rotation mesure le nombre moyen de patients par lits par année. Il montre le nombre de patients qui occupe un lit au cours d’une année. Compte tenu de la priorité accordée à l’hospitalisation et de l’objectif de rentabilité, un hôpital performant doit avoir une évolution de son taux de rotation des lits à la hausse. Nous considérons donc que plus le taux de rotation des lits augmente, plus l’impact de l’autonomie est positif. Figure 6 : Evolution de la rotation des lits entre 2005 et 2016 de l’hôpital Source : Données issues du rapport d’activités du CHU Point G et conception du graphique par l’auteur Depuis l’instauration de l’autonomie en 2002, on remarque une tendance à la hausse de 7 en 2005 à 12 patients par lit en 2016. Ce qui laisse présager qu’il y a plus en plus de patient par lit. Nous remarquons également qu’après la réouverture en 2013 de certains services de l’hôpital pour réhabilitation on constate une hausse de 10 en 2012 à 12 patients en 2013. A partir de 2013, le taux a baissé et inférieur à la situation avant la réhabilitation. Cela s’explique par le fait que beaucoup de ces services réhabilités n’étaient pas encore opérationnels par exemple des toilettes sans eau, des lits sans draps, des vitres brisées etc. Compte tenu de l’évolution de la durée moyenne de séjour à la baisse et de l’augmentation du taux de rotation des lits, nous pouvons conclure à une amélioration de la performance. Les 7 9 9 13 8 11 10 10 12 11 9 12 2005 2006 2007 2008 2009 2010 2011 2012 2013 2014 2015 2016 Autonomie et performance des hôpitaux publics du Mali : cas du Centre Hospitalo-Universitaire du Point G, Bamako, Mali Page | 150 patients passent de plus en plus de jours à l’hôpital et le nombre de patient par lit au CHU est à la hausse. Si l’évolution à la hausse de la durée moyenne de séjour laisse penser à une mauvaise affectation du personnel à la prise en charge des patients, la hausse de l’indice de rotation des lits indique qu’un lit d’hôpital est utilisé par un nombre de plus en plus élevé de patients. Ce qui ne permet pas de conclure à un bon rendement concernant l’utilisation des lits.

L’évolution du taux d’occupation des lits

Le taux d’occupation des lits est considéré comme l’indicateur de choix pour analyser le fonctionnement d’un hôpital ; il renseigne sur l’utilisation des services, la charge de travail et aide à rationnaliser la répartition des ressources à l’intérieur d’un établissement. Selon l’Organisation Mondiale de la Santé (OMS), le taux d’occupation optimal des lits d’un établissement hospitalier devrait se situer autour de 80% ; un taux supérieur traduit une saturation des services ne permettant pas l’hôpital de faire face à un afflux imprévu de patients ; un taux inférieur témoigne d’une sous-utilisation des services d’hospitalisation. Nous considérons donc que plus le taux d’occupation des lits augmente, plus l’impact de l’autonomie est positif. Figure 7 : Evolution du Taux d’Occupation des Lits (TOL) entre 2006 et 2016 au sein du CHU du Point G Source : Données issues du rapport d’activités du CHU Point G et conception du graphique par l’auteur A partir de la figure (n°22), on remarque depuis la mise en place de l’autonomie en 2002 une baisse du taux d’occupation des lits. De 53% en 2005 il est passé à 34% en 2016. Après la réouverture en 2013 de certains services, on constate une hausse du taux d’occupation des lits, de 17% en 2013 à 41% en 2015. D’une part, ce taux est encore faible par rapport à la situation 53 62 60 61 54 65 42 42 17 30 41 34 2005 2006 2007 2008 2009 2010 2011 2012 2013 2014 2015 2016 Autonomie et performance des hôpitaux publics du Mali : cas du Centre Hospitalo-Universitaire du Point G, Bamako, Mali Page | 151 avant la réhabilitation. Cela s’explique par la réouverture progressive des services offerts par l’hôpital. D’autre part, cette situation, le niveau d’occupation moyen des lits reste toujours faible par rapport à la moyenne de l’OMS est que l’ordre de 80%. Ce faible taux d’occupation traduit une sous-utilisation des services d’hospitalisation de l’hôpital. En effet, la plupart des études de santé s’intéressaient au seul taux d’occupation, ce qui peut constituer une source d’erreur en l’absence d’informations sur le taux de rotation des lits et la durée moyenne de séjour (Mcpake et Kutzin, 1997). La réduction du coût des ressources employées pour réaliser les activités doit concerner aussi bien les lits (taux d’occupation) que l’emploi du personnel médical pour la prise en charge des patients (Durée Moyenne de Séjour). Ainsi, une interprétation plus précise de la performance selon ces indicateurs nécessite qu’ils soient utilisés ensemble pour déterminer à la fois l’emploi des ressources matérielles et des ressources humaines. On avait déjà noté l’évolution à la baisse de la durée moyenne de séjour et une hausse du taux de rotation des lits. Le taux d’occupation, quant à lui tend a baissé avant la rénovation de 2013. Cette évolution indique que les patients passent de moins en moins de temps à l’hôpital et de moins en moins de lits occupés. La réduction de temps de séjour, peut laisser penser sans connaissance du type d’affection et de la qualité des soins fournis, que les ressources employées aux traitements baissent. Cependant, la baisse des indicateurs d’occupation des lits, même si elle indique la baisse des coûts posent un problème en ce qui concerne l’objectif de l’amélioration du niveau des recettes, car plus de patients par an et plus de lits occupés peuvent être sources de revenus supplémentaires pour l’hôpital.

Productivité du personnel

La productivité du personnel mesure le nombre d’hospitalisations et de consultations. Conformément au fonctionnement du système de référence et aux activités prioritaires de l’hôpital, la productivité du personnel au sein de l’hôpital performant devrait permettre d’indiquer une hausse en ce qui concerne les hospitalisations et une baisse en ce qui concerne les consultations. Cette situation indique que non seulement le personnel de l’hôpital est affecté prioritairement aux activités d’hospitalisations mais qu’en plus elle minimise l’emploi des Autonomie et performance des hôpitaux publics du Mali : cas du Centre Hospitalo-Universitaire du Point G, Bamako, Mali Page | 152 ressources à la réalisation d’activités secondaires notamment les consultations. Nous considérons donc que plus les hospitalisations augmentent et que les consultations baissent, plus l’impact de l’autonomie est positif. Figure 8 : Evolution des hospitalisations réalisées au CHU du Point G de 2005 à 2016 Source : Données issues du rapport d’activités du CHU Point G et conception du graphique par l’auteur On note les tendances suivantes dans l’évolution du nombre d’hospitalisations par médecin (figure23), une hausse entre 2005 et 2011de 11561 à 17134 patients hospitalisés. Après l’augmentation du nombre d’hospitalisations durant cette période, ce nombre chute pour atteindre en 11524 hospitalisations en 2013. Avec la réhabilitation de certains services en 2013, nous notons une évolution à la hausse des hospitalisations. La baisse des hospitalisations durant la période 2012 et 2013 patients par médecin s’explique par le fait que beaucoup de services étaient en phase de déménagement et n’étaient pas encore ouverts et on notait donc une affluence minime. Malgré cela, la courbe de tendance indique une augmentation des hospitalisations depuis l’instauration de l’autonomie 2002. On peut donc penser à un bon niveau de performance concernant la productivité selon les hospitalisations. 11561 17134 11524 18566 0 2000 4000 6000 8000 10000 12000 14000 16000 18000 20000 2005 2006 2007 2008 2009 2010 2011 2012 2013 2014 2015 2016 Autonomie et performance des hôpitaux publics du Mali : cas du Centre Hospitalo-Universitaire du Point G, Bamako, Mali Page | 153 Figure 9 : Le nombre de consultations réalisées de 2005 à 2016 Source : Données issues du rapport d’activités du CHU Point G et conception du graphique par l’auteur On observe une évolution à la hausse des consultations effectuées par le CHU du Point G depuis la mise en place de l’autonomie en 2002. On a certes une baisse du nombre de consultation entre 2008 et 2011, mais la tendance générale est en augmentation. Après les travaux de réhabilitation en 2013, on constate une hausse de 43 120 à 66 605 consultations en 2016. Ce nombre est largement supérieur par rapport à la situation d’avant travaux. Cependant, la hausse constante du nombre de consultations ne peut pas être le fait de l’hôpital et de la productivité du personnel. Même si les consultations ne sont pas ses activités prioritaires, l’hôpital ne peut pas développer volontairement des stratégies allant dans le sens de la hausse du nombre de consultation. Cette hausse peut être due au fonctionnement du système de référence. Beaucoup de malades se réfèrent directement à l’hôpital sans passer par des structures intermédiaires. Aussi des centres de santé réfèrent des malades à l’hôpital. La hausse du nombre de patients pourrait s’expliquer par ces systèmes de référence. 38778 49619 35121 43120 59161 66605 0 10000 20000 30000 40000 50000 60000 70000 2005 2006 2007 2008 2009 2010 2011 2012 2013 2014 2015 2016 Autonomie et performance des hôpitaux publics du Mali : cas du Centre Hospitalo-Universitaire du Point G, Bamako, Mali Page | 154 De ce qui précède, la hausse simultanée constatée des hospitalisations et des consultations ne permet de conclure à une amélioration de la productivité du personnel et cela, depuis la mise en place de l’autonomie en 2002. Puis qu’une productivité performante se manifeste par une par une hausse des hospitalisations et une baisse des consultations. En conclusion, nous retenons que depuis l’effectivité de l’autonomie en 2002, l’évolution des indicateurs montre que la productivité du personnel selon les hospitalisations est bien orientée alors qu’on ne peut pas juger d’un bon niveau de performance selon les consultations. L’évolution des indicateurs de durée moyenne de séjour, des taux de rotation et d’occupation des lits permet de supposer la baisse des coûts mais une perte de recette propre. Ainsi, l’évolution de l’ensemble des indicateurs d’activités hospitalières n’indique pas une amélioration de la performance. L’évolution des indicateurs de productivité peut être due à la rénovation de certains services. Les brusques évolutions à partir de cette date dans les indicateurs de performance de l’hôpital peuvent être dues au fait que les patients ne se rendaient plus dans les structures de 1er, de 2ième ou de 3ième niveau pour se faire soigner. L’analyse des indicateurs de séjour, des taux de rotation et d’occupation des lits ne permet pas de conclure à un bon niveau de performance. Aussi, tout au long de son développement comme structure autonome, l’évolution de la durée moyenne laisse penser à une bonne affectation du personnel à la prise en charge des patients. Par contre, la baisse progressive du taux d’occupation des lits, indique qu’un lit de l’hôpital est utilisé par un nombre de plus en plus faible de patients. Ce qui ne permet pas de conclure à un bon rendement concernant l’utilisation des lits. Après avoir fait une présentation des indicateurs de soins, nous procéderons à l’analyse de l’aspect financier de l’hôpital.

Statistiques en ce qui concerne les activités financières de l’hôpital

Dans cette sous-section nous verrons successivement le taux de recouvrement des recettes propres, l’évolution de la part de l’Etat dans le budget de l’hôpital depuis l’instauration de l’autonomie. 

Taux de recouvrement des recettes propres

Le taux de recouvrement des coûts indique la part des fonds provenant des recettes propres dans le total du budget de fonctionnement de l’hôpital. Son évolution montre les variations dans le niveau d’autofinancement de l’hôpital. Il devrait de ce fait normalement tendre à la hausse. Rappelons, dans le cadre de sa réforme hospitalière, le Mali a opté pour l’autonomie des hôpitaux. Cette autonomie de gestion devait mettre fin à la gestion centralisée qui engendrait des lourdeurs administratives, créer un certain dynamisme pour un meilleur fonctionnement des hôpitaux et permettre de réduire des charges de l’Etat par un accroissement des recettes propres. Désormais, la totalité des recettes propres des hôpitaux et les subventions que l’Etat s’est engagé à mettre à leurs dispositions sont censées permettre de corriger les insuffisances relevées, notamment les ruptures de stocks et les insuffisances de crédits pour un meilleur fonctionnement des hôpitaux. Nous considérons donc que plus le taux de recouvrement augmente, plus l’impact de l’autonomie est positif. 

Table des matières

INTRODUCTION GENERALE
PREMIÈRE PARTIE : REVUE DE LA LITTÉRATURE ET CONSIDÉRATIONS D’ORDRE MÉTHODOLOGIQUE
Chapitre 1 : CONCEPTS, THÉORIES ET ANALYSE DES CHANGEMENTS INTERVENUS DANS LES HÔPITAUX PUBLICS DU MALI
Section 1 : Cadre conceptuel et théorique
1.1. Notions de Secteur public et de la Nouvelle Gestion Publique
1.1.1. La Nouvelle Gestion Publique, quels apports ?
1.2. Autonomie hospitalière
1.3. Performance hospitalière
1.3.1. Dimensions de la performance hospitalière2
1.3.2. Modèles de la performance hospitalière
1.3.2.1. Modèles à objectif unique
1.3.2.2. Modèles multidimensionnels
1.3.3. Normes des indicateurs de performance hospitalière
1.3.4. Modèle théorique de la recherche
1.3.4.1. Modélisation de l’autonomie
1.3.4.2. Modélisation de la performance
1.3.5. Définition des variables.
1.3.5.1. Variable de l’autonomie
1.3.5.2. Variables de la performance
1.3.6. Propositions théoriques
Section 2 : Autonomie des hôpitaux publics à l’épreuve de la performance
2.1. Caractéristiques de l’hôpital public
2.1.1. Hôpital public, un modèle de bureaucratie
2.1.2. Hôpital public, une organisation professionnelle
2.1.3. Métamorphose de la bureaucratie professionnelle
2.2. Travaux empiriques réalisés sur l’impact de l’autonomie sur la performance des hôpitaux publics
2.3. Réformes du secteur public : cas du Mali.
2.3.2. Politique et organisation du système de santé au Mali
2.3.2.1. Politique sanitaire au Mali
2.3.2.2. Présentation du système de santé malien
2.3.3. Réformes des hôpitaux publics au Mali
2.3.3.1. Réforme hospitalière de 92
2.3.3.2. La réforme hospitalière de 02
2.3.3.3. Tentatives de modernisation des hôpitaux publics, une action qui s’inscrit dans la réforme hospitalière de 02
Chapitre 2 : POSTURE ÉPISTÉMOLOGIQUE ET MÉTHODOLOGIE DE RECHERCHE
Section 1 : Positionnement épistémologique de notre recherche
1.1. Paradigme positiviste
1.2. Paradigme constructiviste
1.3. Paradigme interprétativiste
Section 2 : Méthodologie de la recherche
2.1. Méthode qualitative
2.2. Approche inductive
2.3. Notre stratégie d’accès au réel : choix de l’étude de cas
2.4. Présentation du terrain d’étude, le CHU du Point G
2.4.1. Histoire du CHU du Point
2.4.2. Structure organisationnelle du CHU du Point G
2.4.3. Justification du choix de notre cas à l’étude
2.5. Population d’étude et le choix de l’échantillon
2.6. Outils et méthodes de collecte des données
2.6.1. Analyse documentaire
2.6.2. Questionnaire de satisfaction des usagers de l’hôpital
2.6.3. Série d’interviews
2.6.3.1. Déroulement des entretiens
2.6.3.2. Influence du contexte sur le déroulement des entretiens
2.7. Validité de la recherche
2.1.1. Validité interne
2.1.2. Validité externe
2.8. Méthode d’analyse des données
2.1.3. Analyse du questionnaire de satisfaction
2.1.4. Analyse de nos entretiens semi-directifs : analyse de contenu
2.8.1.1. Conception des thèmes
2.8.1.2. Justification du choix des thèmes
2.8.1.3. Justification des choix des sous-catégories et des catégories
2.8.1.4. Elaboration des dictionnaires des thèmes
DEUXIÈME PARTIE : PRÉSENTATION ET ANALYSE DES RÉSULTATS
Chapitre 3 : PRÉSENTATION DES RÉSULTATS
Section 1 : L’autonomie accordée au CHU du Point G1
1.1. Autonomie de gestion
1.1.1. Rapport avec la tutelle et changement organisationnel
1.1.2. Pratiques de gestion des ressources humaines
1.1.3. Autonomie administrative
1.1.3.1. Organisation administrative, responsabilisation et exécutions des tâches
1.1.3.2. Evolution des prises de décision et la communication
1.1.4. Autonomie financière
1.1.4.1. Contrôle et comptabilité des recettes
1.1.4.2. Etablissement du budget et répartition des recettes
1.1.4.3. Tarification des actes
1.1.4.4. Maintenance et l’approvisionnement9
Section 2 : Autonomie et Performance de l’hôpital du Point G2
2.1. Qualité et sécurité des soins
2.2. Satisfaction des patients de l’hôpital
2.3. Statistiques des activités hospitalières
2.3.1. Statistiques de l’hôpital en ce qui concerne les soins
2.3.1.1. Durée Moyenne de Séjour
2.3.1.2. L’évolution de l’Indice de rotation des lits
2.3.1.3. L’évolution du taux d’occupation des lits
2.3.1.4. Productivité du personnel
2.3.2. Statistiques en ce qui concerne les activités financières de l’hôpital
2.3.2.1. Taux de recouvrement des recettes propres5
2.3.2.2. Evolution de la part de l’Etat dans le budget de l’hôpital
2.3.3. Manifestations de l’autonomie dans les services de soins
2.3.3.1. Autonomie de gestion des services
2.3.3.2. Autonomie administrative des services
2.3.3.3. Autonomie financière des services
2.3.4. Evolution des performances par service du CHU Point G
2.3.4.1. Evolution de la durée moyenne de séjour par service et par année du CHU du Point G de 05 à 0 9
2.3.4.2. Evolution de l’indice de rotation des lits par service et par année du CHU du Point G de 05 à 0
2.3.4.3. Evolution du nombre de consultations réalisées par service et par année du CHU du Point G de 05 à 0
2.3.4.4. Evolution des hospitalisations réalisées par le CHU du Point G de 05 à 6
2.3.4.5. Evolution des recettes propres par service et par année du CHU du Point G de 05 à 6
Chapitre 4 : DISCUSSION, APPORTS ET IMPLICATIONS MANAGÉRIALES
Section 1 : Discussion des résultats
1.1. Synthèse de l’interprétation des résultats
1.2. Retour à la littérature
Section 2 : Apports et implications managériales
2.1. Apports théoriques
2.2. Apports méthodologiques
2.3. Implications managériales
CONCLUSION GENERALE

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