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LE ZINC
Historique
La découverte du zinc dans les milieux biologiques est forte ancienne : en 1869, Raulin montrait la nécessité du zinc pour la croissance d’Aspergillus niger. En 1877, cette découverte était confirmée par des travaux chez les végétaux (Lechartier and Bellamy, 1877) et sur le foie humain (Raoult and Breton, 1877). Puis en 1934, on mettait simultanément en évidence le caractère indispensable de cet élément pour la sourie et le rat, et que son déficience a eu comme conséquence le retard de croissance, la perte de cheveux, l’épaississement et l’hyperkeratinization de l’épiderme et atrophie testiculaire (Bertrand and Bhattacherjee, 1934 ; Todd et al., 1934).
En 1961, Prasad a montré que l’insuffisance du zinc chez les Iraniens a causé le nanisme, l’hypogonadisme, l’hépatosplénomégalie, la peau rêche et sèche, l’anémie ferriprive (Prasad et al., 1961).
L’US Food and Nutrition Board a finalement déclaré en 1974 que le zinc était un nutriment essentiel et des recommandations officielles ont ensuite été faites sur son apport (Imoberdorf et al., 2010).
Depuis cette date, de nombreux travaux ont été publié concernant le métabolisme, le rôle ou le lien avec des pathologies humaines de cet élément.
Propriétés physico-chimiques
Dans la classification périodique des éléments de Mendeleiev, le zinc est situé dans la colonne II B, à droite des métaux de transition. Il est caractérisé par le remplissage complet de ses couches électroniques externes: configuration 3d104s2. Contrairement aux métaux de transition, le zinc ne peut pas perdre d’électrons situés sur sa couche externe 3d, à cause de son potentiel d’ionisation tertiaire très élevé (40.0 eV). Bien que le potentiel d’ionisation secondaire du zinc soit élevé (17.89 eV) par rapport au potentiel d’ionisation primaire (9.39 eV), le cation doublement chargé est suffisamment inerte pour exister en solution aqueuse, ce qui n’est pas le cas du cation mono chargé. Le zinc ne possède donc que deux états de valence, qui correspondent aux états d’oxydations: Zn(0) (configuration 3d104s2) et Zn(II) (configuration 3d10) (Cotton and Wilkinson, 1962).
Le zinc possède cinq isotopes stables (Holden, 1994), dont les abondances naturelles relatives sont reportées dans le tableau 1.
C’est un oligo-élément présent naturellement dans la croûte terrestre. Certains composés du Zn (chlorures (ZnCl2), sulfates (ZnSO4), acétate ((CH3COO)2 Zn.2H2O), nitrate (ZnNO3)) sont plus toxiques que d’autres. En raison de leur solubilité, le taux d’absorption du zinc dépend de la taille des particules et de la solubilité des espèces porteuses et donc de sa spéciation (Adamson et al., 2000).
Le zinc est une poudre grise dont les caractéristiques physico-chimiques sont présentées dans le tableau 2.
Le zinc résiste à la corrosion atmosphérique, par formation d’une couche imperméable de carbonate basique 3 Zn(OH)2, 2 ZnCO3.
Il a des propriétés électrochimiques fortement anodiques, une grande électronégativité par rapport à l’acier, d’où utilisation pour la protection contre la corrosion par revêtement (galvanisation) suivant divers procédés. Il est utilisé à l’état laminé pour la fabrication de plaques de photogravure et couvertures de bâtiment (Dupeux, 2005).
Apports recommandés et sources alimentaires du zinc
Apports quotidiens du zinc
Le zinc est certainement le micronutriment dont la biodisponibilité est la plus sensible aux déficits, en raison des nombreux facteurs alimentaires qui peuvent interférer avec cet élément. Certaines interactions sont bien décrites, notamment avec le fer, le calcium et les phytates qui diminuent son absorption, ou avec le thé, les fructo-oligosaccharides qui la favorisent. La biodisponibilité du zinc varie selon les situations physiologiques. Ainsi, avec l’âge, la capacité d’absorption diminue alors
qu’elle augmente au cours du dernier trimestre de la grossesse et en cas d’allaitement augmentent les besoins en zinc ; La consommation de tabac, d’alcool, les polymédications ou la survenue de maladies comme le diabète, qui en augmentant la fuite urinaire de cet élément, diminuent le statut en zinc devraient s’accompagner d’une augmentation des apports en zinc, des efforts physiques importants peuvent également conduire à une forte élimination du zinc par la sueur (13.7 mg/j versus 0.8 mg/j chez les sédentaires) et par l’augmentation de l’excrétion urinaire. Cette perte est prise en considération avec une augmentation des ANC chez les sportifs (Martin, 2001). Les apports quotidiens en zinc sont présentés dans le tableau 3.
Sources alimentaire du zinc
Le zinc se retrouve à des taux élevées essentiellement dans les viandes et les poissons ainsi que dans les fruits de mer, les céréales et les légumes secs. Les viandes rouges sont toutefois plus riches en zinc que les viandes blanches (Arnoud, 1987; Revy et al., 2003). En revanche les légumes verts, le sucre, les fruits et les boissons sont assez pauvre en zinc. La teneur en zinc de l’eau est variable. Les eaux de sources sont plus pauvres en zinc que les eaux de distribution.
La teneur en zinc du lait est, elle aussi, très variable. Alors que le lait de vache est pauvre en fer et très pauvre en cuivre, sa teneur en zinc est relativement élevée. Quant au lait humain, il est riche en zinc au début de la lactation, le colostrum contenant près de 20 mg/l, soit 306 µmol/l de zinc, mais son taux baisse régulièrement puisqu’il ne contient plus que 0.6 mg/l, soit 9.2 µmol/l au bout de quelques mois (Vallee, 1959). Le tableau 4 représente la quantité du zinc en mg dans 100 g d’aliment.
Métabolisme du zinc
Absorption
Le zinc serait absorbé essentiellement au niveau de la bordure en brosse du jéjunum (bien que cette localisation demeure controversée) (figure 3), tant par voie active que par diffusion. La voie d’absorption active est saturable aux fortes concentrations du zinc dans la lumière intestinale. La seconde voie d’absorption est un procédé non saturable, qui dépend du gradient de concentration du zinc.
L’absorption active du zinc serait réalisée par le biais d’un transporteur de cations divalents au niveau de la bordure en brosse. Il y aurait donc une compétition entre les différents cations, ce qui expliquerait que la présence de calcium, fer, cuivre, magnésium ou manganèse inhibe l’absorption du zinc (Camara and Amaro, 2003). Certains composés, tels que l’acide picolinique sécrété par le pancréas, la vitamine B6 qui augmente les sécrétions d’acide picolinique, l’acide citrique et certains acides aminés (lysine, cystéine, histidine et méthionine), facilitent l’absorption du zinc (tableau 5) (Salgueiro et al., 2000).
Transport
Le transport du zinc dans le sang est effectué par l’albumine, bien que d’autres composants de plasma puissent également lier le métal comme : α2-macroglobuline, transferrine, cystéine et histidine (Salgueiro et al., 2000).
La concentration du zinc dans le plasma est d’environ 15 µmol/l, dont 84% est lié à l’albumine, 15% est étroitement liée à l’alpha-2-macroglobuline et 1% aux acides aminés (Tapiero and Tew, 2003).
Métabolisme
La majorité du zinc plasmatique atteint le foie, où il est stocké sous forme de métalloprotéines liées au métallothionéines hépatiques. Les métallothionéines sont les protéines principales impliquées dans le métabolisme du zinc et ils sont des protéines cytosoliques riche en cystéine, qui peuvent fixés sept atomes du zinc par molécule de protéine, mais ils peuvent également lier le cuivre avec une affinité plus élevée. Les isoformes 1 et 2 de métallothionéine sont fortement exprimés dans le foie, l’intestin, les reins et le pancréas et leur expression peuvent être induite par nombreux facteurs tels que des régimes riches en zinc, IL-l, IL-6, des glucocorticoids, le stress, etc…
Leurs rôles biochimiques sont associés à la détoxification des métaux lourds, à la protection contre les radicaux libres, à la redistribution du zinc de corps en cas d’infection aiguë ou de stress et il s’avère que principalement le métallothionéine hépatique peut agir en tant que réservoir du zinc qui peut assurer la protection contre l’insuffisance du zinc. Le métallothionéine intestinal semble agir en tant que régulateur négatif d’absorption du zinc, et peut participer au flux intestinal du zinc de mucosa-lumen (Salgueiro et al., 2000).
L’organisme humain contient entre 2.0 et 2.5 g du zinc, principalement lié à des protéines. Le foie contient environ 5% du zinc total de l’organisme (Arnaud, 1995), c’est l’organe clé dans la régulation de métabolisme du zinc, en enlevant l’oligo-métal à partir du plasma, en le stockant, en métabolisant des ions du zinc et en les insérant dans diverses protéines et en redistribuant le zinc dans diverses formes dans la bile ou de nouveau à la circulation sanguine (Ballatori, 1991).
Excrétion
La voie fécale est prépondérante dans les conditions physiologiques. Le zinc fécal (environ 10 mg/j) correspond au zinc non absorbé (67%) des aliments et au zinc endogène (33%) (figure 3). L’excrétion fécale participe de façon importante à la régulation de l’homéostasie zincique. L’élimination rénale ne représente qu’environ 5% des apports quotidiens normaux. Le zinc filtré au niveau glomérulaire (2 mg/j) est réabsorbé au niveau du tubule distal et réexcrété au niveau proximal. Les métallothionéines rénales seraient un mécanisme de défense contre les fuites du zinc dans les urines (Arnaud, 1995).
Les autres fluides corporels (sueur, desquamation, sperme, lait) sont également des voies importantes d’élimination du zinc (Faa et al., 2008).
Rôle physiologique du zinc
En tant que partie intégrante et cofacteur de plus de 300 enzymes et 2000 facteurs de transcription impliqués dans l’expression génique de différentes protéines, le zinc est impliqué dans pratiquement tous les domaines métaboliques (Prasad, 1993). Le zinc est indispensable à la croissance et au développement, à la maturation testiculaire, à des fonctions neurologiques, à la cicatrisation des plaies et aux défenses immunitaires. Il est nécessaire pour la préservation du goût et de l’odorat. Au niveau moléculaire, le zinc remplit des tâches structurelles, régulatrices et catalytiques dans de très nombreux enzymes, il est important pour la configuration des protéines non enzymatiques (Imoberdorf et al., 2010).
Le zinc intervient ainsi dans la plupart des métabolismes (glucides, lipides, protéines et acides nucléiques). Au niveau des hormones (comme l’insuline), le zinc peut agir sur leur synthèse, leur sécrétion, leur activité, leur stabilité ou leur fixation tissulaire (Agett and Favier, 1993).
Rôle antioxydant du zinc
Le rôle antioxydant du Zn s’exerce indirectement en assurant la stabilisation de la Cu-Zn SOD (Forman and Fridovich, 1973). Le rôle du zinc semble toutefois bien moins important que celui de l’autre cofacteur, le cuivre. Au-delà de cette fonction, le zinc possède d’autres propriétés antioxydantes pour lesquelles le mécanisme précis reste encore incomplètement connu (Powell, 2000 ; Prasad et al., 2004).
Le zinc inhibe la production des espèces radicalaires de l’oxygène (ERO) par les métaux de transition, en entrant en compétition avec eux dans la réaction de Fenton. Il entrerait en compétition avec le fer et le cuivre, en diminuant, d’une part, leur absorption intestinale et, d’autre part, la chélation de ces derniers par la cystéine. Cependant, le fer lié à celle-ci peut transférer des électrons à l’oxygène et permettre la production d’anion superoxyde (Claeyssen, 2009).
Le zinc protège les groupements thiols (SH) des protéines contre l’oxydation induite par le fer ou par les ERO, en empêchant la formation des ponts disulfures intramoléculaires (Koukay et al., 1987).
Le zinc joue un rôle important au niveau membranaire en ayant un effet stabilisateur.
Le zinc est un inhibiteur de l’enzyme NADPH oxydase qui catalyse la production d’O2•- à partir d’O2 (Prasad, 2008).
Le zinc induit la production des métallothionéines, riches en cystéine, qui peuvent piéger les radicaux hydroxyles. Ceci entraîne la formation de ponts disulfures et ainsi, le relargage de zinc qui pourrait alors être capté par les membranes (Maret, 1995).
Relations entre le zinc et l’insuline
Il existe une relation physico-chimique entre le zinc et l’insuline, bien connue depuis des décennies. Dans les années 30 et avant l’existence de preuves biochimiques sur la relation entre le zinc et l’insuline dans les cellules β du pancréas, l’ajout du zinc aux doses d’insuline commerciale permettait de prolonger l’action de l’insuline et ainsi de diminuer le nombre d’injections aux diabétiques. Scott, (1934) découvre la nécessité du zinc pour former les cristaux d’insuline. En effet, au cours de sa maturation, l’insuline est complexée sous forme d’hexamères avec deux atomes de Zn (figure 4). Ce complexe relativement peu soluble se cristallise dans les vésicules sécrétoires (Dunn, 2005). Des analyses en fluorescence ont permis de mettre en évidence que la concentration en Zn dans les îlots de Langerhans était en relation avec la synthèse, le stockage et la sécrétion d’insuline (Zalewski et al., 1994).
Figure 4: Biosynthèse de l’insuline (Skelin et al., 2010).
Le zinc intervient également dans la sécrétion d’insuline au niveau des îlots pancréatiques. La cascade de signalisation, induite par le glucose et permettant cette sécrétion, fait intervenir des canaux potassium ATP-dépendants (Rutter, 2004). Cependant, le zinc a été identifié comme étant un régulateur intra et extracellulaire de ces canaux potassiums (Prost et al., 2004). De plus, la liaison du Zn sur des résidus histidines des quatre sous-unités régulatrices SUR1 (« SulfonylUrea Receptor 1 ») active le canal (Bancila et al., 2005). Chimienti et al. (2004) découvre un nouveau gène SLC30A8, exclusivement exprimé dans les cellules β du pancréas, qui encode pour un transporteur de Zn, nommé ZnT-8, étroitement lié au processus de stockage et de relargage de l’insuline. D’autres transporteurs du Zn sont également présents tels que ZnT-1, 2, 5 et Zip4, ZnT-5 est abondant au niveau de l’appareil de Golgi et des vésicules sécrétrices, lieux d’assemblage et de stockage du complexe Zn-insuline (Dufner-Beattie et al., 2004). Au total. Une telle présence de transporteurs membranaires de Zn est le corollaire d’un rôle déterminant du zinc dans le métabolisme d’insuline.
Implications du zinc dans le système immunitaire
Le zinc joue également un rôle important dans les fonctions immunitaires (Hirano et al., 2008). Il est vraisemblable que les réponses des cellules immunitaires soient régulées par l’homéostasie intracellulaire du Zn (Ibs, 2003). Le zinc joue un rôle important dans la régulation de l’activité du thymus (King et al., 2002) et dans l’expression des gènes des cellules T et dendritiques (Moore et al., 2001). Le zinc régule, également, l’activité de la tyrosine phosphatases qui influencent l’expression des cytokines (Prasad, 2008). Il est présent dans les mastocytes et permet la dégranulation et la production de cytokines (Kabu et al., 2006). Le zinc permet d’inhiber le facteur de transcription NFκB activé par des stimulis tels que les cytokines pro-inflammatoires (IL-1, TNF-α) (Prasad, 2008).
Autres rôles biologiques du zinc
Fonctions neurologiques
Le zinc est, avec le fer, l’oligoélément le plus concentré dans le cerveau. Il contribue à la structure et participe au bon fonctionnement cérébral. Environ 90 % du zinc présent dans le cerveau est lié à des métalloprotéines (Bhatnagar and Taneja, 2001).
Croissance et multiplication cellulaire
Le zinc joue un rôle important dans la croissance (Brandão-Neto et al., 1995). C’est un élément structural des membranes biologiques et étroitement lié à la synthèse des protéines (Rosado, 1998). Le concept des doigts de zinc explique le rôle du zinc dans l’expression de gènes et la fonction endocrine, et les mécanismes d’action du zinc impliquent les effets de ce métal sur la synthèse d’ADN, d’ARN, et la division cellulaire (Ploysangam et al., 1997). Le zinc agit également avec des hormones importantes impliquées dans la croissance d’os telle que la somatomedine C, l’osteocalcine, la testostérone et les hormones thyroïdiennes (Ortega et al., 1999). Le zinc est intimement lié au métabolisme des os, il acte positivement sur la croissance et le développement. La concentration du zinc dans l’os est très importante comparant à celle dans d’autres tissus, et on le considère un composant essentiel de la matrice calcifiée (Brandão-Neto et al., 1995).
Reproduction
Le zinc joue un rôle essentiel dans la reproduction des mâles et des femelles. Il est nécessaire pour la synthèse et la sécrétion de l’hormone lutéinisante (LH) et de l’hormone stimulante de follicule (FSH), la différentiation gonadique, la croissance testiculaire, la formation et maturation des spermatozoïdes, la stéroidogénèse et la fertilisation testiculaires. La supplémentation de zinc s’est avérée bénéfique dans la stérilité et l’impuissance chez les hommes et l’infertilité chez les femmes (Salgueiro et al., 2000).
Carence en zinc
Des apports insuffisants et une biodisponibilité diminuée en relation avec des apports riches en phytates (dans les céréales non raffinées) sont la cause la plus fréquente de déficits biologiques en zinc mais ceux-ci peuvent aussi être associés à une pathologie comme l’alcoolisme, l’insuffisance hépatique ou rénale, la malabsorption ou l’ostéoporose (Martin, 2001). Mais aussi les mono-supplémentations en calcium ou en fer sous forme de suppléments ou d’aliments fortifiés, en réduisant l’absorption du zinc, exposent à un risque de carence (Chung et al., 2002). Les sujets âgés en raison d’une insuffisance d’apport associée à des troubles de l’absorption dus au vieillissement des cellules de la muqueuse intestinale, sont particulièrement exposés à un risque de déficit. Dans d’autres situations physiologiques comme la grossesse, l’allaitement, les déficits sont associés à une utilisation accrue (Roussel and Hininger-Favier, 2009).
Table des matières
INTRODUCTION GENERALE
ETUDE BIBLIOGRAPHIQUE
CHAPITRE I : Le diabète sucré
1. Histoire de diabète
2. Définition de diabète sucré
L’insuline
3. Classification de diabète
3.1. Diabète de type 1
3.2. Diabète de type 2
3.3. Diabète gestationnel
3.4. Diabètes secondaires
Diabète expérimental
Diabète induit par les substances chimiques
Diabète induit par l’alloxane
4. Traitement médicamenteux du diabète
4.1. Les différents types d’insulines
4.1.1. Les insulines d’action rapide
4.1.2. Les insulines d’action intermédiaire
4.1.3. Les insulines biphasiques (mixtes et prémélangées)
4.1.4. Les insulines d’action lente
CHAPITRE II : Le Zinc
1. Historique
2. Propriétés physico-chimiques
3. Apports recommandés et sources alimentaires du zinc
3.1. Apports quotidiens du zinc
3.2. Sources alimentaire du zinc
4. Métabolisme du zinc
4.1. Absorption
4.2. Transport
4.3. Métabolisme
4.4. Excrétion
5. Rôle physiologique du zinc
5.1. Rôle antioxydant du zinc
5.2. Relations entre le zinc et l’insuline
5.3. Implications du zinc dans le système immunitaire
5.4. Autres rôles biologiques du zinc
Fonctions neurologiques
Croissance et multiplication cellulaire
Reproduction
6. Carence en zinc
Les symptômes de la carence en zinc
7. Apport supplémentaire et toxicité
CHAPITRE III : Le stress oxydant
1. Introduction
2. Les radicaux libres
3. Principales ERO de l’organisme et mécanismes de leur production
4. Intérêts des radicaux libres dans la physiologie cellulaire
5. Dégâts oxydatifs cellulaires
5.1. La peroxydation lipidique
5.2. L’oxydation des sucres
5.3. L’oxydation des protéines
5.4. L’oxydation de l’ADN
6. Systèmes de défenses antioxydants
6.1. Systèmes enzymatiques
6.1.1. Superoxydes dismutases (SODs)
6.1.2. Glutathion peroxydases (GSH-Px)
6.1.3. Glutathion réductase (GR)
6.1.4. Catalases (CAT)
6.1.5. Glutathion-S-Transférases (GSTs)
6.2. Systèmes non enzymatiques
6.2.1. Glutathion réduit (GSH)
6.2.2. Vitamine E (tocophérol)
6.2.3. Vitamine C (Acide ascorbique)
6.2.4. Vitamine A
6.2.5. Oligoéléments
Le sélénium
Glutathion peroxydase
Thiorédoxine réductase
Sélénoprotéine P
CHAPITRE IV : Le diabète et le stress oxydant
1. Mécanismes impliqués dans la genèse d’un stress oxydant dans le diabète
1.1. Autoxydation du glucose
1.2. Glycation des protéines
1.3. Voie du polyol
1.4. Activation des protéines kinases C (PKC)
1.5. Voie de l’ hexosamine
1.6. Augmentation de la production des radicaux libres par la mitochondrie
2. Altération des défenses antioxydantes au cours de diabète
3. Impact du stress oxydant sur les cellules β et sur l’action de l’insuline
4. Effet de la carence en zinc sur le stress oxydant au cours de diabète
PARTIE PRATIQUE
CHAPITRE I : Matériels et méthodes
1. Matériel biologique et conditions d’élevage
2. Induction du diabète
3. Préparation de la nourriture
4. Traitement des animaux
5. Sacrifices et prélèvements des échantillons
5.1. Prélèvement sanguin
5.2. Prélèvement des organes
6. Dosage du zinc
7. Méthodes de dosage des paramètres biochimiques
7.1. Dosage du glucose
7.2. Dosage des lipides totaux
7.3. Dosage des triglycérides
7.4. Dosage du cholestérol
7.5. Dosage des protéines totales
7.6. Dosage d’albumine
7.7. Dosage d’urée
7.8. Dosage de créatinine
7.9. Dosage d’acide urique
7.10. Dosage de bilirubine totale et directe
7.11. Dosage de l’activité d’aspartate aminotransférase ASAT (TGO)
7.12. Dosage de l’activité d’alanine aminotransférase ALAT (TGP)
7.13. Dosage de l’activité de la phosphatase alcaline (ALP)
7.14. Dosage de l’activité de Lactate déshydrogénase (LDH)
7.15. Dosage de l’activité d’α-amylase
7.16. Dosage du glycogène hépatique
8. Dosage des paramètres du stress oxydatif
8.1. Préparation de l’homogénat
8.2. Dosage des protéines hépatiques
8.3. Dosage de malondialdéhyde (MDA)
8.4. Dosage du glutathion réduit (GSH)
8.5. Dosage de l’activité du glutathion peroxydase (GSH-Px)
8.6. Dosage de l’activité du glutathion S-Transférase (GST)
8.7. Dosage de l’activité du catalase (CAT)
9. Traitement statistique des résultats
CHAPITRE II. Résultats
1. Effet du traitement par la vitamine C sur les rats diabétiques
1.1. Etude de la croissance corporelle et la consommation alimentaire
1.2. Etude de statut du zinc dans l’organisme
1.3. Etude des paramètres biochimiques
1.3.1. Profile glucidique (glucose et glycogène)
1.3.2. Profile lipidique (lipides totaux, triglycérides, cholestérol)
1.3.3. Profile protéique
Protéines totales et albumine
Urée et créatinine
Acide urique
Bilirubine totale et directe
1.3.4. Paramètres enzymatiques
Transaminases
Phosphatase alcaline (ALP) et lactate déshydrogénase (LDH)
α-amylase
1.4. Etude des paramètres de stress oxydatif
1.4.1. Malondialdéhyde (MDA)
1.4.2. Glutathion réduit (GSH)
1.4.3. Glutathion peroxydase (GSH-Px) et catalase
1.4.4. Glutathion-S-Transférase (GST)
2. Effet du traitement par le sélénium sur les rats diabétiques
2.1. Etude de la croissance corporelle et la consommation alimentaire
2.2. Etude de statut du zinc dans l’organisme
2.3. Etude des paramètres biochimiques
2.3.1. Profile glucidique (glucose et glycogène)
2.3.2. Profile lipidique (lipides totaux, triglycérides, cholestérol)
2.3.3. Profile protéique
Protéines totales et albumine
Urée et créatinine
Acide urique
Bilirubine totale et directe
2.3.4. Paramètres enzymatiques
Transaminases
Phosphatase alcaline (ALP) et lactate déshydrogénase (LDH)
α-amylase
2.4. Etude des paramètres de stress oxydatif
2.4.1. Malondialdéhyde (MDA)
2.4.2. Glutathion réduit (GSH)
2.4.3. Glutathion peroxydase (GSH-Px) et catalase
2.4.4. Glutathion-S-Transférase (GST)
CHAPITRE III. Discussion
Conclusion générale et perspective
Références Bibliographiques
Annexes
Publication Scientifique
Communications Orales et Affichées
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