La création des gammes de skis destinées au freestyle et au freeride 

Télécharger le fichier original (Mémoire de fin d’études)

L’utilisation d’ouvrages généraux

Les apports de l’historiographie sur le tourisme et le sport

L’utilisation d’ouvrages généraux sur le tourisme m’a permis d’améliorer mes connaissances en la matière et de mieux comprendre les enjeux économiques, culturels et sociaux qui le traversent. Si la majorité des pratiquants réguliers du freeski vivent au pied des montagnes, il est évident que le tourisme et l’ouverture du freestyle et du freeride à de nouveaux pratiquants, est un enjeu primordial qui pose de nombreuses questions. Le freeski est il un marché de niche et le tourisme hivernal de masse investit-il ce type de sport ? Peut on imaginer l’apparition de ce sport et son développement sans l’appui du tourisme ? Les ouvrages généraux sur ce phénomène tout comme ceux sur le tourisme hivernal9 permettent de répondre à certaines question comme celles qui interrogent la sociologie de ce sport. Qui part en vacance en hiver ? Quelles activités sont privilégiées et comment cela évolue t’il ? Ils permettent aussi de comprendre le système économique qui anime le tourisme en dénombrant ses multiples acteurs (industries, tour-opérateurs, transporteurs, hôtelleries, communicants, commerçant, associations…). Le freeski est par sa constitution, très implanté sur un territoire qu’il aménage et dont il partage les risques. Plusieurs documents proposent d’ailleurs de traiter des interactions entre pratique sportive et territoire, en notamment de la gestion des risques en milieux naturels11.
Les ouvrages sur l’histoire du sport m’ont ensuite permis d’approfondir mes connaissances sur l’évolution des pratiques sportives dans la société française et au-delà. Ils permettent de comprendre les enjeux politiques, économiques et sociaux sans cesse croissants que le sport porte en lui. « Histoire du sport en France, de la libération à nos jours » 12 est à ce titre un ouvrage très complet qui compile une série d’articles composés par des universitaires spécialisés dans le sport, al sociologie ou l’histoire. Préfacé par Pierre Milza, il aborde les questions du sport après-guerre et de l’explosion de sa pratique, celles des politiques publiques du sport, de son utilisation dans les relations internationales, de la géographie du sport en France, de sa sociologie ou encore de sa médiatisation. Il comporte également dans son dernier chapitre une très intéressante historiographie du sport en France de 1962 à 2005. On comprend alors que les historiens s’intéressent tardivement à cette histoire et que des évènements marquants comme la coupe du monde de football en 1998 ont fait naîtrede nouvelles passions pour la pratique du sport autant que pour son étude. De plus, cet ouvrage est pourvu de solides références (maladroitement placées à la fin de l’ouvrage, ce qui ne facilite pas la lecture) et d’une bibliographie imposante qui permettent d’approfondir les recherches de documents et de sources. Ce genre de manuel est un préalable à l’étude d’ouvrages plus spécialisés comme ceux sur l’économie du sport.

L’utilisation d’ouvrage économiques, sociologiques et juridiques

Les livres traitant de l’économie du sport permettent de comprendre les rouages de l’industrie et des services liés au sport. Financement et organisation administrative des grandes épreuves sportives, sponsorings des athlètes, techniques de marketing, médiatisation, mondialisation : tous ces sujets sont largement traités par les économistes qui accordent au sport un intérêt supérieur à celui des historiens. Certains manuels comme Economie internationale du sport13 ou Economie politique du sport professionnel14 abordent le sujet de façon claire et didactique quoique très technique pour un historien qui a peu de notion en économie. Le second propose des repères bibliographiques sur l’économie du sport quand le premier, écrit par Wladimir Andreff, un spécialiste prolifique et reconnu, se termine sur un plus large choix de livre sur le sport. L’ouvrage de Nico Didry, enseignant en Master stratégie economique du sport et du tourisme à Grenoble et qui prépare actuellement une thèse d’Economie et de Gestion à l’université Pierre Mendes France s’avère très intéressant. L’étude qui s’intitule Les Enjeux de l’événement sportif : Approche économique et étude de cas , aborde directement l’organisation des événements par Salomon, grand fabriquant de ski. Il propose également une approche sociologique du « phénomène freeride » qui est tout a fait pertinente. Il faut dire que Nico Didry est un spécialiste de la question. Moniteur de ski et de snowboard, il est professeur à l’Ensa et a beaucoup oeuvré pour la reconnaissance du snowboard et du freestyle ski et snowboard au sein de la fédération française de ski. Il accompagne la délégation des jeux olympiques de Vancouver en tant que préparateur des équipes de snowboard freestyle. Associé d’une entreprise de communication (On air, Grenoble) il a lui-même organisé des événements autour du freeski comme le Festiglisse, sur le campus de Grenoble, festival autour de film de freeski et de snowboard. Il a une grande expérience du terrain et une vraie philosophie du freestyle que j’ai pu découvrir grâce à l’Ecole de Glisse des Universités de Grenoble dont il était président durant de nombreuses années. Cet ouvrage ainsi que les mémoires qu’il a dirigé au sein de son Master 16 s’avèrent particulièrement intéressants pour l’étude que je mène. Mais au-delàde cet ouvrage le ski se fait assez rare, voir absent des études sur l’économie du sport qui tendent plutôt à étudier les sports de masse comme le Football ou le Baseball, les grands rendez-vous comme les Jeux Olympiques et les ligues nationales et internationales.
Ensuite, l’historien qui veut se pencher sur la question du sport doit se munir d’ouvrages sur la sociologie du sport. Ceux-ci sont très nombreux et permettent de mieux comprendre le rôle que joue le sport dans la société. Des manuels généraux en passant par des ouvrages ou des articles plus précis 18 ou des revues spécialisées19, l’historien peut répondre à plusieurs de ses interrogations. Comment le sport peut-il devenir une culture ? Quelles fonctions joue-t’il dans les politiques de santé publique ? Quel est son influence sur le tourisme ou les loisirs20 ? Quelles couches de la société pratiquent ou s’intéressent au sport ? Qui pratique et qui retrouve-t’on dans les administrations sportives21 ? L’historien se doit de trouver des réponses à ces questionnements s’il ne veut pas que son étude soit trop technique et dénuée de fondements sociologiques. Un ouvrage rappel même l’utilité de la recherche en sciences sociales du sport22. Dans notre cas on trouve des manuels généraux de sociologie qui abordent celle des pratiquants de sports d’hiver. On retrouve aussi le ski dans des ouvrages et des revues23 qui traitent de la sociologie des sports à risques (ou « sports extrêm es »), catégorie dans laquelle est souvent rangé le freeski. Ils abordent parfois le ski freestyle et plus souvent le ski freeride qui partage souvent les même risques que l’alpinism e et autres sports alpins.
L’utilisation d’ouvrages sur le droit du sport est aussi un préalable à notre étude. Si le freeski n’est pas un sport de fédération ou de igue,l il n’est pas malgré tout exempt des réglementations qui régissent les pratiques ou les infrastructures sportives (celles des domaines skiable notamment). De plus, ces ouvrages permettent de comprendre le fonctionnement du sponsoring des sportifs, celui qui constitue les seuls revenus des freeskiers et la base de la commercialisation de ce sport. Sans se lancer dans l’étude des différents codes on peut approcher ces notions grâc e à des ouvrages généraux sur le droit du sport français24 et international25 et dans des livres traitant du sport professionnel26. Ils permettent de poser un cadre juridique a cette pratique.

Un manque de documents concernants le freeski

On trouve de rares mentions du freestyle et du freeride à ski dans des ouvrages qui tournent autour des sports de glisses. Souvent rédigés par d’anciens sportifs, ils permettent de partager l’expérience précieuse d’acteurs importants de la création et de l’évolution des sports de glisse, même s’ils ne font pas toujours la part belle au recul analytique. Ainsi, on peut citer le livre de Laurent Durieux, Les sports de glisse : aménagements et animations , sur la couverture duquel trône un skieur freestyle en pleine action. Rédigé par un ancien snowboarder et responsable du développement des disciplines freestyle à l’Association française de snowboard, il décrit les différents sports de glisse sur neige et notamment les nouvelles disciplines que sont le freestyle et le freeride à ski. Très généraliste, cet ouvrage apporte malgré toute une multitude d’informations, notamment sur la création des snowparks et sur l’organisation d’évènements autour des sports de glisse. Au même titre l’ouvrage d’Alain Loret (Maitre  de conférence à l’UFR STAPS de l’université de Rouen), Génération glisse , décortique les sports de glisse au tournant des années 2000 pour montrer qu’ils ont créé une nouvelle et véritable culture sportive qui se distingue sur bien des points de celles connues jusqu’à présent. Il est un des rare livre qui étudie cette sorte de contre-culture sportive qu’ont créé les sports de glisses. Les autres ouvrage qui parlent directement de freeski comme Le monde du freeride29 sont d’avantage à prendre comme des sources car ils racontent plutôt une aventure, à la manière des grands livres d’alpinisme.
Mais je n’ai malheureusement pas pu trouver d’ouvrages scientifiques tournant exclusivement autour du freeski. Ainsi on ne peut trouver de dictionnaire français des tricks (les figures réalisées par les freestylers) alors que ce vocabulaire semble tout a fait connu et compris par l’ensemble des pratiquants professionnels et amateurs. Il n’y a pas non plus de manuels destinés aux moniteurs et traitant de la technique sportive du freestyle ou du freeride. Mais cette absence de document est une information en elle-même. On comprend par exemple que le phénomène est tout récent, ce qui est validé par le fait que les grands « inventeurs » de ce sport ( Julien Renier, J.-P. Auclair, Mike Douglas…) n’ont même pas quarante ans. De plus, c ela permet de mettre en évidence le fait que ce sport s’est créé et évolue loin des grandes fédérations de ski et des grandes ligues de sports professionnelles, puisque c’est celles-là même qui canalisent la plupart des études économiques et sportives tournées vers el sport. On peut également supposer que les effectifs dans la population de skieurs restent limités puisqu’on ne retrouve pas ou peu de mention de ce phénomène dans les ouvrage sur le tourisme ou la sociologie du sport.
Mais on peut aussi affirmer que le freeski reste une pratique confidentielle en France ce qui limite les chances de trouver des documents relatifs à cette pratique. Rares sont les français qui connaissent le ski freestyle et beaucoup pensent que les snowparks et les half-pipe sont dédiés uniquement aux snowboarders. Les quelques célébrités françaises comme Candide Thovex, Julien Renier ou Kevin Roland ne sont connus que des pratiquants et ne bénéficient pas de l’aura médiatique de certains sportifs. Dans d’autres pays pourtant le freeski s’est fait une place plus importante. Le suedois Jon Olsson, figure du développement du freestyle et inventeur de nombreuses figures, est une des personnalités les plus connues de son pays alors que Simon Dumont est désormais relativement connu aux Etats-Unis. On peut être tro uver des ouvrages suédois qui traitent du sujet mais je ne maitrise malheureusement pas la langue. Mes recherches sur des livres en anglais n’ont quant à elles été que peu concluante et on peut faire le même constat que nous avons fait plus haut pour la littérature française.
On comprend donc la pertinence d’une étude historique sur ce sujet. Elle apporterai les premières pierres à la construction d’une histoire du freeski, ce sport qui prend une place de plus en plus importante dans les stations du monde entier et qui s’inscrit pleinement dans la nouvelle culture des sports de glisse, peu étudiée alors que très en vogue auprès de la jeunesse internationale.

LES SOURCES

Les magasines et ouvrages spécialisés

Un certain nombre de magasine sont dédiés au freeski et constituent donc des sources intéressantes. Ils sont les principaux recueils d’interviews de freeskiers et proposent de nombreux articles sur les évènements, le matériel ou encore les stations, leurs snowparks et domaines hors-piste. On y trouve aussi des critiques de films ainsi que de nombreuses nouvelles. En France, on peut citer l’éditeur Nivéal qui publie plusieurs magasines sur le snowboard et sur le freeski comme Snowsurf (mensuel créé en 1994, tiré en 14 000 exemplaires) et Skieur Magasine (bimestriel créé en 1992). Freepresse quant à elle édite les magasines Fluid (Photos de ski freeride, annuel créé en 1980) et Weski (trimestriel créé en 2005, tiré en 25 000 exemplaires) ainsi que des journaux gratuits comme Ski Time (trimestriel), Ski Labo (essai de matériel, annuel depuis 2007) et Style Time (journal sur la mode hivernale, annuel, depuis 2010). Aux Etats-Unis, les éditions Grindmedia ont créées en 1971, Powder Magazine qui est un bimensuel spécialisé dans le ski freeride etdont le tirage s’élève à 70 000 exemplaires. Tous ces magasines, tout comme Freeskier, un américain indépendant, sont les portes-parole de la culture freeski dont ils participent à la codification par des lignes éditoriales très personnelles. Weski, qui s’adresse à un public de jeunes freestylers principalement, propose des articles, des photos et des unes loufoques et second degré, utilisant un vocabulaire branché et argotique et une mise en page très graphique30. C’est différent pour les magasines davantage axés sur le freeride31 qui proposent des lignes éditoriales plus classiques pour un public un peu plus âgé. Ces périodiques sont donc une mine de sources pour étudier la culture freeski. Ils apportent aussi des informations sur des évènements passés grâce aux reportages que l’on y trouve. Ils nous permettent de suivre toute l’évolution de ce sport et de sa culture.
On trouve aussi certains livres qui traitent du freeski et notamment du freeride comme Le Monde du Freeride32 ou Free-ride spirit33 qui rendent hommage à la philosophie des pratiquants et des grandes célébrités du milieu en faisant la part belle aux interviews et aux photographies. Ils sont axés principalement autour de la culture freeride et peuvent donc apporter des informations intéressantes sur ce point. L’ouvrage Ski freeride34, qui aborde, quant à lui, le sujet de façon plus technique en décortiquant ses variantes, ses risques ou encore ses lieux de pratiques est particulièrement intéressant car il fut édité en 1999, alors que l’on commence out juste à délaisser le terme ski extrêmepour celui de ski freeride. Il y a aussi le recueil de photographies de Candide Thovex, The Book Of Candide35, accompagnées de mots de ses concurrents lui rendant hommage. Ces quelques livres viendront enrichir les maigres sources papier que l’on peu se procurer. Il s’agira donc de chercher d’autre sources pour mener à bien cette étude.

Les Photographies

Les photos sont un des enjeux commerciaux principaux du freeski puisqu’elles permettent de mettre en avant des skieurs, des photographes et des marques. Elles aident les skieurs à montrer leur niveau, à créer un book et à démarcher des marques qui pourraient les soutenir et les sponsoriser. Les photographes, quant à eux, vendent ces clichés aux journaux et aux marques. Enfin, les équipementiers se servent de ces photos pour leurs campagnes de publicités et profitent de la visibilité qui leur est offerte dans les journaux et sites internet. La photo est donc une des raisons d’être d’un sport qui met l’esthétique au-devant de ses préoccupations. Elle est à ce titre une source pour étudier le freeski.
On en trouve dans tous les magasines spécialisés qui accompagnent leurs articles de photos et qui publient des portfolios. Le magasine Weski par exemple, propose de très nombreuses photos sur un tirage en papier glacé de très bonne qualité. Les photos sont un réel argument de vente pour l’ensemble de ces journaux sur le freeski. Le magasine annuel français fluid propose même un beau livre mettant à l’honneur la photographie de freeski au travers de clichés de photographes et de skieurs internationaux36. Dans ces mêmes périodiques les photos sont présentes aux travers de publicités pour les marques de vêtements, d’optiques ou de skis. On retrouve au ssi énormément de photos sur internet. Des clichés de professionnels mais aussi d’amateurs, qui s’essayent de plus en plus à cet art. Les photos de ski freestyle et de ski freeride sont désormais présentes dans toutes les campagnes publicitaires et la décoration des sites internet des grandes stations de sports d’hiver.
Elles sont une mine d’informations pour montrer la perpétuelle évolution du freeski. Certaines figures ou grabs (le fait de tenir son ski durant une figure) étaient plus « tendances » à certaines périodes qu’à d’autres et les photos sont la pour prouver que le sport est traversé par des modes et des renouvellements. Elles permettent dans le même temps de montrer l’élévation du niveau technique. Celui des skieurs dans un premier lieu, avec des tricks de plus en plus techniques et amples et celui des photographes dans un second lieu, dont la qualité des clichés est en constante progression depuis les débuts. La baisse des coûts du matériel se retrouve aussi dans l’explosion du nombre de photos et notamment celles d’amateurs que l’on peu découvrir à l’occasion de concours photos organisés sur ce thème. On observe aussi l’évolution de la qualité des snowpark, des half-pipes ainsi que des moyens alloués à la création d’un « kicker 37 » en hors-piste et à la séance photo qui l’accompagne. On comprend aussi l’importance de certains snowpark ou de certaines stations à des périodes bien définies grâce à leur sur-représentation. Les photos sont aussi un outil pour aborder l’histoire de la culture freeski car elles permettent d’étudier les modes vestimentaires qui ont traversé le mouvement. Les nombreuses photos de « lifestyle » (littéralement style de vie , ou mode de vie) qui représentent les skieurs dans la vie après le ski sont également des outils pour une étude culturelle.
Les skis de freestyle et de freestyle backcountry sont, depuis leurs débuts, pourvus de semelles largement décorées et arborant le logo ou le nom de la marque. Ceci permet aux lecteurs des journaux et des sites internet spécialisés de voir quel est la marque des skis de leur vedette préférée quand elle est en l’air. Les couleurs vives arborées par les pratiquant sont une manière de hausser la qualité des photos mais permettent aussi aux marques de vêtements d’être plus visibles. Les phot os sont donc aussi une source pour comprendre quels équipementiers ont investit massivement dans ce sport et quelle a été leur stratégie. On peut alors se demander quel type et quelle quantité de skieurs privilégient une marque et quelle image veut-elle véhiculer à travers ses sponsorings et les photos qui en découlent ? On peut aussi se servir des photos pour suivre un skieur et les différents sponsors qui l’ont équipé durant sa carrière. Les photos de leurs protégés sont un des intérêts majeurs retiré par les marques de leur participation à l’univers du freeski et sont donc une source très intéressante pour l’historien au même titre que la vidéo

Table des matières

PARTIE I : REPÈRES BIBLIOGRAPHIQUES POUR UNE HISTOIRE DU FREESKI 
1) L’utilisation d’études sur le ski
2) L’utilisation d’ouvrages généraux
a. Les apports de l’historiographie sur le tourisme et le sport
b. L’utilisation d’ouvrage économiques, sociologiques et juridiques
3) Un manque de documents concernants le freeski
PARTIE II : LES SOURCES 
1) Les magasines et ouvrages spécialisés
2) Les Photographies
3) La vidéo
4) Internet comme principale source
a. Les sites internet
b. Le cas particulier des réseaux sociaux et des forums
5) Liste d’entretiens à privilégier pour une thèse
PARTIE III : L’HISTOIRE DU FREESKI 
Introduction
Chapitre 1 : La création des gammes de skis destinées au freestyle et au freeride 
Section 1 : Quand les fabricants historiques de ski se lancent sur le marché du freeski
Section 2 : La création de nouvelles marques spécialisées dans le freeski
Section 3 : l’innovation technique comme moteur du développement des skis destinés au freestyle et au freeride
Chapitre 2 : Le freeride et le freestyle en ski, un nouveau sport 
Section 1 : La création du ski freestyle
Section 2 : Le freeride
Section 3 : Le freestyle backcountry
Chapitre 3 : Le freeski devient un sport de compétition et se professionnalise 
Section 1 : La professionnalisation du sport par le sponsoring
Le sponsoring par les marques de skis
D’autres équipementiers jouent un rôle fondamental dans la professionnalisation du freeski
Section 2 : Le freeski, un sport de compétition
Les compétitions de ski freestyle
Les compétitions de ski freestyle
Chapitre 4 : La culture du freeski 
Section 1 : Une philosophie qui s’éloigne de celle du ski alpin
Section 2 : Les apports de la culture des sports de glisse
Section 3 : La création d’une identité de groupe autour du freeski
Des codes culturels
Des médias vecteurs de la culture du freeski
Des questionnements et des débats internes
Chapitre 5 : La vidéo comme enjeu principal du freeski 
Section 1 : Les films de freeski
Section 2 : Internet comme principal vecteur des vidéos de freeski
Section 3 : Festivals et récompenses
CONCLUSION 
BIBLIOGRAPHIE 
Ouvrage généraux
Ouvrages sur le ski
Ouvrages sur le freeski
Etudes, thèses et mémoires
Revues et périodiques généraux
Périodiques sur le ski et le freeski
Sites Internet
Sites francophones sur le ski et le freeski
Sites anglophones sur le ski et le freeski
Marques
Skieurs, crews et entreprises de productions
Autres sites
Pages de Facebook
Annexe 1 : Quelques exemples tirés des gammes de freeski du milieu des années 2000
Annexe 2 : Les cambres

Télécharger le rapport complet

Télécharger aussi :

Laisser un commentaire

Votre adresse e-mail ne sera pas publiée. Les champs obligatoires sont indiqués avec *