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Rappels anatomiques
Configuration externe du cœur
Le cœur est décrit comme ayant une forme de pyramide triangulaire chez le cadavre et d’œuf chez le vivant [14].
Il présente un grand axe presque horizontal dirigé en avant, à gauche et un peu en bas [14].
A la surface du cœur, les limites des oreillettes et des ventricules sont marquées par des sillons, d’une part les sillons inter atriaux et interventriculaires qui passent par le grand axe de la pyramide et d’autre part les sillons auriculo-ventriculaires qui sont perpendiculaires au grand axe du cœur. Les troncs principaux des artères coronaires et de leurs principales collatérales cheminent dans ces sillons.
On lui décrit trois faces : [14]
-Une face antérodroite répondant aux ventricules en antérieur séparé par le sillon interventriculaire antérieur. À la partie postérieure et supérieure, elle répond aux orifices ventriculoartériels, aortique et pulmonaire. En arrière, elle répond au segment atrial représenté par une large dépression.
-Une face inférieure ou diaphragmatique répondant à un segment postérieur, atrial, étroit et un segment antérieur, ventriculaire, large qui repose sur le diaphragme, divisé par le sillon interventriculaire inférieur (appelé également sillon interventriculaire postérieur) en une zone ventriculaire droite étendue et une zone ventriculaire gauche plus restreinte.
-Une face latérale gauche présentant un segment atrial ou postérieur avec l’auricule gauche qui s’enroule sur la face latérale gauche de l’artère pulmonaire, et un segment ventriculaire qui est la face latérale du ventricule gauche.
On lui décrit également trois bords dont seul le bord droit est marqué, aigu, il sépare la face antérodroite de la face inférieure. Les autres, antérolatéral et postérolatéral, sont mousses et ne sont cités que pour faciliter la description [14]. De même, il possède une base uniquement constituée par les atriums séparés par le sillon interatrial. Son apex est essentiellement formé par le ventricule gauche
[14].
Le cœur est contenu dans un sac fibro-séreux : le péricarde.
Configuration interne du cœur
Il comporte quatre cavités : deux atriums (oreillettes) et deux ventricules, une cloison médiane (le septum), le partage en 2 parties :
Le cœur droit qui conduit le sang veineux dans la circulation pulmonaire et le cœur gauche qui chasse le sang artériel dans la circulation systémique [15, 16].
Le cloisonnement du cœur [14]
Il est formé par:
– Le septum inter-atrial : sépare les 2 oreillettes (face septale droite et gauche). Il est de constitution mince; présentant, du côté droit, dans sa partie inférieure la fosse ovale représenté par une dépression ovalaire limité par un bord supérieur épaissi (limbe de la FO), surmonté par un cul de sac parfois perforé (foramen ovale ou reliquat du trou de Botal). Du côté gauche par repli arciforme concave en avant, représentant une discrète saillie.
– Le septum atrio-ventriculaire : portion courte comprise entre le septum inter-atrial et le septum inter-ventriculaire. Il sépare l’oreillette droite du ventricule gauche.
– Le septum inter-ventriculaire : étendu de la face sterno-costale à la face diaphragmatique. Il est constitué de deux portions: une portion membraneuse mince, séparée du septum atrio-ventriculaire par l’insertion de la cuspide septale de la valve atrio-ventriculaire droite et une portion musculaire, épaisse et qui constitue environ les 9/10 du septum inter-ventriculaire.
Les cavités [17]
– L’atrium droit
Il s’étend entre les deux veines caves et se prolonge en avant de l’aorte par l’auricule droite. On lui décrit classiquement six parois : antérieure, postérieure, inférieure, supérieure, latérale et interne.
– Le ventricule droit
C’est une cavité pyramidale triangulaire placée en avant de l’atrium droit orientée selon le grand axe du cœur. Il présente trois parois (antérieure ou sterno-costale, inférieure ou diaphragmatique et septale ou interne), un sommet et une base.
– L’atrium gauche
Il est placé en arrière du ventricule gauche ; il a la forme d’un ovoïde horizontal. Au niveau de chacun de ses pôles droit et gauche s’abouchent les quatre veines pulmonaires, deux de chaque côté, l’une supérieure, l’autre inférieure.
Au niveau de la face antérieure s’ouvre l’ostium atrioventriculaire gauche (orifice mitral).
– Le ventricule gauche
C’est l’élément essentiel du cœur, il a la forme d’un cône légèrement aplati et présente donc une paroi gauche ou latérale (libre et se prolonge un peu en avant et en bas) et une paroi interne ou septale (répond au septum interventriculaire).
Les valves
Les valves tricuspide et mitrale modulent respectivement le passage du sang entre les cavités droites et les cavités gauches pendant le cycle cardiaque par leur ouverture ou leur fermeture.
Les sigmoïdes aortiques et pulmonaires ont un rôle similaire sur le passage du sang des ventricules vers les vaisseaux du cœur (aorte et artère pulmonaire).
– La valve pulmonaire
Elle est située dans la partie supérieure de la base du ventricule droit au-dessus, en avant et à gauche de l’orifice tricuspide en avant de l’orifice aortique. Elle regarde en arrière, à gauche et en haut. Elle a une forme circulaire. Elle présente trois sigmoïdes en nid de pigeon (antérieure, postéro-droite et postéro-gauche). Les valvules portent sur leurs bords libres des nodules appelés nodules fibreux de Morgagni.
– La valve aortique
Situé en arrière de l’orifice pulmonaire. Elle comporte trois valvules sigmoïdes à concavité supérieure séparées par des commissures. On distingue 2 valvules coronaires et une valvule non-coronaire. Les valvules portent sur leurs bords libres des nodules appelés nodules fibreux d’Arantius.
– La valve mitrale
Elle est presque circulaire; situé à gauche de l’orifice tricuspide. Elle est constituée de deux cuspides séparées par deux commissures (antérieure gauche et postérieure droite).
La figure 1 est une coupe frontale du cœur qui montre les différentes cavités cardiaques et leurs composantes.
– La valve tricuspide [19] Elle comprend :
• L’orifice atrio-ventriculaire droit• L’anneau tricuspidien
• Les valvules tricuspides• Les cordages tendineux
• Les muscles papillaires ou piliers du ventricule droit.
• L’orifice atrio-ventriculaire droit
Il fait communiquer l’atrium droit avec le ventricule droit. Il est situé à la base du ventricule droit, à droite de l’orifice mitral, en arrière et à droite de l’orifice aortique.
De forme circulaire lorsqu’il est ouvert et en croissant, à concavité antéro-gauche lorsqu’il est fermé, il occupe un plan à peu près vertical, et son orientation est telle qu’il regarde en arrière, en haut et à droite.
Lorsque l’angle infra-sternal est normal, c’est à dire quand le thorax a ses dimensions moyennes, l’ostium atrio-ventriculaire droit se projette, sur la paroi antérieure du thorax, suivant une surface elliptique dont le grand axe est très fortement oblique en bas et à droite. L’extrémité supérieure de cette surface est un peu à gauche de la ligne médiane, à la hauteur du quatrième espace intercostal. Son extrémité inférieure est en regard de l’extrémité sternale du sixième espace intercostal droit. Cette projection peut varier avec la situation et la forme du cœur, ainsi qu’avec la conformation du thorax.
La figure 2 est une projection des différents orifices cardiaques sur la paroi thoracique.
Figure 2 : Projection du cœur et de ses orifices sur la paroi thoracique [19]
o L’anneau tricuspidien [20]
Il fait partie de la charpente fibreuse du cœur. Cette dernière étant composée de deux anneaux autour des orifices aortique et pulmonaire ainsi que de deux anneaux atrio-ventriculaires droit et gauche ; ces anneaux fibro-élastiques du cœur sont aussi appelés cercles tendineux de Lower. Cette charpente fibreuse du cœur va permettre l’insertion des fibres musculaires qui composent le myocarde. L’anneau fibreux tricuspidien présente quatre bords :
Un bord atrial et un bord ventriculaire qui servent de surface d’insertion aux fibres musculaires des atriums et des ventricules.
Un bord interne qui émet une extension dans la cuspide et forme sa charpente fibreuse. C’est sur cette lame fibreuse et sur l’anneau que se terminent les cordages tendineux.
Un bord externe ou périphérique qui répond aux anneaux fibreux voisins et au sillon atrio-ventriculaire. L’union des anneaux entre eux va former un noyau fibro-élastique lamellaire, appelé trigone fibreux droit.
L’anneau tricuspidien est de dimension légèrement supérieure à l’anneau mitral. Sa circonférence normale est de 23 à 33 mm. Sa vascularisation est assurée par des rameaux artériels issus de l’artère coronaire droite qui longe la face externe de l’anneau tricuspidien lorsqu’elle chemine dans le sillon atrio-ventriculaire droit. La figure 3 est une représentation tridimensionnelle de la valve tricuspide
Figure 3 : Morphologie tridimensionnelle complexe de l’anneau tricuspidien chez le sujet sain [20] L’anneau tricuspide est une structure non plane, en « selle de cheval ». Elle présente 3 sommets, antéro-septal (A-S), postéro-latéral (P-L) et postéro-septal (P-S). Quand il se dilate, il a tendance à s’aplanir et, soit à rester ovalaire, soit à devenir circulaire.
o Les valvules tricuspides
Ces valvules se présentent comme une membrane mince, blanchâtre, souple (d’autant plus souple que l’individu est jeune), élastique, plissée au niveau de son bord libre. Elle prend la forme d’un entonnoir, dont la base s’insère au niveau de l’anneau tricuspidien et dont le sommet s’avance dans le ventricule droit.
Au niveau de l’atrium, elle semble continuer en pente douce les parois de celui-ci, car elle est plus étendue que l’orifice qu’elle est destinée à fermer. Au niveau du ventricule, il existe un sillon périvalvulaire qui sépare la valvule de la paroi du ventricule droit. Sa surface est de 10 à 12 cm2. Elle présente :
Un bord adhérent qui s’insère sur l’anneau fibreux tricuspidien
Un bord libre qui flotte dans la cavité ventriculaire, sur lequel viennent s’insérer des cordages tendineux. Ce bord libre est entrecoupé d’échancrures irrégulières et festonnées, il limite également l’orifice atrio-ventriculaire droit.
Une face axiale ou atriale, lisse et unie.
Une face pariétale ou ventriculaire, irrégulière et hérissée de petites saillies correspondant aux insertions des cordages tendineux.
L’épaisseur de la valvule n’est pas uniforme ; elle est plus épaisse au niveau du bord adhérent et des insertions des cordages tendineux alors qu’elle est très mince, semi-transparente, au niveau du bord libre et dans l’intervalle des insertions des cordages.
La vascularisation de la valvule ne se fait qu’au niveau de sa base d’implantation ; le bord libre est avasculaire.
Comme son nom l’indique la valvule tricuspide est formée de trois cuspides, une antérieure, une postérieure et une septale.
La cuspide antérieure
C’est la plus développée des trois cuspides ; de forme triangulaire à contours irréguliers, polycyclique, elle répond à la paroi antérieure du ventricule droit. Elle s’attache sur toute la partie antérieure de l’orifice tricuspidien jusqu’au bord droit du cœur. Elle reçoit la majeure partie des cordages tendineux issus du muscle papillaire antérieur du ventricule droit et une partie, par son bord antéro-interne, des cordages tendineux qui se détachent du muscle papillaire du cône artériel.
Son bord antéro-interne délimite avec la bandelette ansiforme, l’orifice elliptique qui fait communiquer la chambre de réception veineuse avec la chambre d’éjection artérielle du ventricule droit.
La cuspide postérieure
Elle est moins étendue que la précédente ; de forme triangulaire, elle répond à la paroi inférieure du ventricule droit.
Elle s’insère sur presque toute la partie du pourtour de l’orifice tricuspidien, atteignant parfois la paroi septale. Son bord libre est assez souvent découpé en deux ou trois festons par des incisures plus ou moins profondes. Elle reçoit la majeure partie des cordages issus des piliers inférieurs et, par son bord externe, quelques cordages venus du sommet du pilier antérieur.
La cuspide septale
C’est la plus petite des trois cuspides de la tricuspide ; de forme semi-circulaire à bord libre très irrégulier, elle répond à la cloison inter-ventriculaire contre laquelle elle est appliquée.
Elle s’insère sur la partie interne de l’orifice tricuspidien, c’est à dire dans la partie membraneuse du septum inter-ventriculaire.
Elle reçoit des cordages tendineux des piliers inférieurs et de la cloison inter-ventriculaire, par deux ou trois petits muscles papillaires. La figure 4 illustre les valvules tricuspides.
Figure 4 : Anatomie des valvules tricuspides [19]
A : valvule septale ; B : valvule antérieure ; C : valvule postérieure
Les cordages tendineux
Ils sont fins, fibreux, arrondis, de coloration blanche nacrée à reflets brillants, qui s’insèrent sur le bord libre et la face ventriculaire de la valve tricuspide. Ils s’attachent d’autre part, sur les sommets arrondis des piliers du ventricule droit. Ils rendent la valvule solidaire aux contractions ou aux relâchements des piliers et donc du ventricule droit.
Leurs insertions valvulaires permettent de les classer en trois catégories:
– Les cordages tendineux de premier ordre sont les plus volumineux. Ils sillonnent toute la face ventriculaire de la valve pour se fixer sur l’anneau fibreux situé à la base de la valve. Parmi ces cordages, les uns sont fixés à la valvule sur toute son étendue ; ce sont les cordages adhérents. Les autres ne le sont que par endroits ; ce sont les cordages libres.
– Les cordages tendineux de deuxième ordre, moins volumineux que les précédents, se détachent soit du sommet des piliers, soit des cordages de premier ordre. Ils se fixent sur la face ventriculaire de la valvule, à une distance variable entre ses bords adhérent et libre.
– Les cordages de troisième ordre, beaucoup plus grêles que les précédents, et aussi plus courts. Ils sont souvent anastomosés. Ils se fixent sur le bord libre de la valvule et présentent dans leur ensemble un dispositif en éventail. En se fixant sur le bord libre de la valve, ces cordages déterminent une série de petites arcades juxtaposées qui donnent à ce bord un contour polycyclique.
Il existe des « faux tendons » qui mettent en connexion soit les muscles papillaires entre eux, soit les muscles papillaires et la paroi ventriculaire, soit deux parties de la paroi. Ces « faux tendons » sont distribués irrégulièrement au niveau du ventricule droit, et leur rôle fonctionnel est inconnu.
Les muscles papillaires ou piliers du ventricule droit
Les parois du ventricule droit reçoivent l’implantation de nombreuses colonnes charnues qui peuvent être de trois ordres. Les muscles papillaires sont des colonnes charnues de premier ordre, de forme conique, qui sont unis par leur base à la paroi ventriculaire. Nous distinguons trois groupes de muscles papillaires :
– Le pilier antérieur qui a une forme conique et se détache de la partie moyenne de la paroi ventriculaire antérieure. Les cordages qui en émanent se terminent pour la plupart sur la valve antérieure, quelques-uns se rendent à la valve postérieure.
– Le pilier postérieur qui est parfois dédoublé et se détache de la paroi ventriculaire postérieure. Il fournit des cordages à la valve postérieure et quelques-uns à la valve septale.
– Le muscle papillaire septal ou muscle papillaire du cône artériel de Lushca : il s’implante à la partie inférieure de l’infundibulum pulmonaire ou cône artériel qui correspond à la chambre d’éjection artérielle du ventricule droit.
Les colonnes charnues de deuxième ordre sont unies à la paroi ventriculaire par leurs deux extrémités et sont libres dans le reste de leur étendue. La plus importante de ces colonnes charnues de deuxième ordre est la trabécule septo-marginale du fait de ses rapports avec le faisceau atrio-ventriculaire. Elle est courbe et aplatie transversalement.
Les colonnes charnues de troisième ordre adhèrent à la paroi sur toute leur longueur. Elles sont de simples saillies de la paroi ventriculaire. La figure 5 est une illustration des muscles papillaires de la valve tricuspide
Table des matières
INTRODUCTION
PREMIERE PARTIE
1 Historique
2. Rappels anatomiques
2.2.1. Configuration externe du coeur
2.2.2. Configuration interne du coeur
2.2.2.1. Le cloisonnement du coeur
2.2.2.2. Les cavités
2.2.2.3. Les valves
2.2.2.5. Tissu de conduction
2.2.2.6. Les rapports de la valve tricuspide
2.3. Physiopathologie de l’insuffisance tricuspidienne
3. DIAGNOSTIC DE L’INSUFFISANCE TRICUSPIDIENNE
3.1. Diagnostic positif
3.1.1. Signes cliniques
3.1.1.1. Signes fonctionnels
3.1.1.2. Signes physiques
3.1.2. Signes paracliniques
3.2. Diagnostic de sévérité
3.2.1. Critères cliniques
3.2.2. Critères échographiques
3.2.3. Critères hémodynamiques par méthode invasive
3.3. Diagnostic étiologique
3.3.1. Insuffisance tricuspidienne fonctionnelle
4. PRINCIPES THERAPEUTIQUES DE L’INSUFFISANCE TRICUSPIDIENNE
4.1. Principes de la circulation extracorporelle
4.2. Techniques chirurgicales
4.2.1. L’annuloplastie avec anneau de péricarde
4.2.2. Annuloplastie de De Vega
4.2.3. Annuloplastie prothétique de Carpentier
3.2.4. Les plicatures commissurales
4.2.5. Autres
5. INDICATIONS
DEUXIEME PARTIE : MATERIEL ET METHODES
1. MATERIEL ET METHODES
1.1. Type d’étude
1.2. Population d’étude
1.3. Cadre de l’étude
1.4. Définitions des variables opérationnelles
1.5. Déroulement de l’étude
1.6. La méthodologie
1.7. La collecte des données
1.8. Analyses des données
2. RESULTATS
2.1. Etude synthétique
2.1.1. Données épidémiologiques
2.1.1.1. Répartition selon l’âge des patients
2.1.1.2. Répartition selon le sexe
2.1.1.3. Répartition selon l’indice de masse corporelle
2.1.2. Données préopératoires
2.1.2.1. Données cliniques
2.1.2.1.1. Répartition selon les antécédents
2.1.2.1.2. Répartition selon les signes à l’interrogatoire
2.1.2.2. Données paracliniques
2.1.2.2.1. Répartition selon les résultats de l’électrocardiogramme
2.1.2.2.2. Répartition selon les résultats de la radiographie du thorax pré opératoire
2.1.2.2.3. Résultats échocardiographiques
2.1.2.2.3.1. Données échocardiographiques pré opératoires
2.1.2.2.3.2. Répartition en fonction des dimensions des cavités cardiaques
2.1.2.2.3.4. Répartition selon l’étiologie de l’insuffisance tricuspide
2.1.2.2.3.5. Répartition selon l’étiologie des valvulopathies gauches
2.1.2.2.3.6. Répartition selon les pathologies cardiaques gauches
2.1.3. Données opératoires
2.1.3.1. Répartition selon les différentes voies d’abord du coeur
2.1.3.2. Répartition selon le type de cardioplégie
2.1.3.3. Répartition selon les paramètres de la CEC
2.1.3.4. Répartition selon les gestes réalisés au bloc opératoire
2.1.3.5. Reprise de l’activité cardiaque
2.1.4. Données en réanimation
2.1.4.1. Répartition selon le séjour et la durée d’intubation en réanimation
2.1.4.2. Répartition selon les drogues utilisées en réanimation
2.1.5. Suivi post opératoire
2.1.5.1. Suivi post opératoire immédiat
2.1.5.1.1. La morbidité
2.1.5.1.2. La mortalité
2.1.5.1.3. Données échographiques en post opératoire immédiat
2.1.5.1.3.1. Répartition selon le grade d’IT en post opératoire immédiat
2.1.5.1.3.2. Résultats de l’échocardiographie en post opératoire immédiat
2.1.5.2. Suivi post opératoire à court terme
2.1.5.2.1. Données cliniques à court terme
2.1.5.2.1.1. Répartition selon le stade de dyspnée à court terme
2.1.5.2.1.2. Répartition selon la présence d’une congestion cardiaque post opératoire à court terme
2.1.5.2.1.3. Paramètres échocardiographiques post opératoire à court terme
2.1.5.3. Suivi post opératoire à moyen terme
2.1.5.3.1. Données cliniques post opératoire à moyen terme
2.1.5.3.1.1. Répartition selon le stade de dyspnée post opératoire à moyen terme
2.1.5.3.1.2. Répartition selon la présence d’une congestion cardiaque en post opératoire à moyen terme
2.1.5.3.2. Données paracliniques
2.1.5.3.2.1. Répartition selon le grade de l’IT à moyen terme
2.1.5.3.2.2. Paramètres échocardiographiques à moyen terme
2.1.5.4. Suivi post opératoire à long terme
2.1.5.4.1. Données cliniques
2.1.5.4.1.1. Répartition selon le stade de dyspnée post opératoire à long terme
2.1.5.4.1.2. Données paracliniques à long terme
2.1.5.4.1.2.1. Répartition selon le grade de l’IT post opératoire à long terme
2.1.5.4.1.2.2. Paramètres échocardiographiques post opératoire à long terme
2.2. Etude analytique
2.2.1. Résultats de la plastie tricuspide
2.2.1.1. En post opératoire immédiat
2.2.1.1.1. Evolution en post opératoire immédiat du grade de l’IT selon le grade de l’IT pré opératoire
2.2.1.1.2. Grade de l’IT post opératoire immédiat en fonction du geste opératoire
2.2.1.1.3. Variation des paramètres échocardiographiques en post opératoire immédiat
2.2.1.2. A court terme
2.2.1.2.1. Evolution à court terme du grade de l’IT selon le grade de l’IT pré opératoire
2.2.1.2.2. Grade de l’IT à court terme selon le geste opératoire
2.2.1.2.3. Variation des paramètres échocardiographiques à court terme
2.2.1.3. A moyen terme
2.2.1.3.1. Evolution du grade de l’IT à moyen terme par rapport au pré opératoire
2.2.1.3.2. Grade de l’IT en post opératoire à moyen terme selon le geste
2.2.1.3.3. Variation des paramètres échocardiographiques à moyen terme
2.2.1.4. A long terme
2.2.1.4.1. Evolution du grade de l’IT en post opératoire à long terme par rapport au pré opératoire
2.2.1.4.2. Grade l’IT en post opératoire à long terme en fonction du geste
2.2.1.4.3. Variation des paramètres échographiques en post opératoire à long terme
2.2.2. Morbidité et mortalité
2.2.2.1. Morbidité en post opératoire immédiat
2.2.2.1.1. Répartition du grade de l’IT en post opératoire immédiat en fonction du stade de dyspnée pré opératoire
2.2.2.1.2. Répartition du grade de l’IT en post opératoire immédiat en fonction de la présence d’un signe de congestion cardiaque
2.2.2.1.3. Répartition du grade de l’IT en post opératoire immédiat en fonction de la présence d’une notion de décompensation cardiaque
2.2.2.1.4. Répartition du grade de l’IT en post opératoire immédiat en fonction de la présence d’une instabilité hémodynamique en post opérat
2.2.2.1.5. Répartition du grade de l’IT en post opératoire immédiat en fonction de la durée d’intubation en réanimation
2.2.2.1.6. Répartition du grade de l’IT en post opératoire immédiat en fonction de la durée du séjour en réanimation
2.2.2.1.7. Répartition du grade de l’IT en post opératoire immédiat en fonction des patients ayant bénéficié de dobutamine en réanimation
2.2.2.1.8. Répartition du grade de l’IT en post opératoire immédiat en fonction des patients ayant bénéficié de noradrénaline en réanimation
2.2.2.1.9. Répartition du grade de l’IT en post opératoire immédiat en fonction des patients ayant bénéficié d’adrénaline en réanimation
2.2.2.1.10. Répartition du grade de l’IT en post opératoire immédiat en fonction des patients ayant bénéficié de la milrinone en réanimation
2.2.2.1.11. Répartition du grade de l’IT en post opératoire immédiat en fonction des patients ayant bénéficié du sildénafil en réanimation
2.2.2.1.12. Répartition du grade de l’IT en post opératoire immédiat par rapport au temps de CEC
2.2.2.1.13. Répartition du grade de l’IT en post opératoire immédiat par rapport au temps de clampage
2.2.2.1.14. Répartition du grade de l’IT en post opératoire immédiat par rapport au temps de l’assistance CEC
2.2.2.1.15. Répartition du grade de l’IT en post opératoire immédiat par rapport au gradient VD-OD post opératoire immédiat
2.2.2.1.16. Répartition du grade de l’IT en post opératoire immédiat par rapport au PAPS post opératoire immédiat
2.2.2.1.17. Répartition du grade de l’IT en post opératoire immédiat par rapport aux TAPSE post opératoire immédiat
2.2.2.1.18. Répartition du grade de l’IT en post opératoire immédiat par rapport à la FEVG post opératoire immédiate
2.2.2.2. Morbidité en post-opératoire à long terme
2.2.2.2.1. Répartition des patients en fonction du grade IT à long terme selon le stade de dyspnée pré-opératoire
2.2.2.2.2. Répartition des patients en fonction de la présence d’un
2.2.2.2.3. Répartition des patients en fonction du grade de l’IT pré opératoire et le grade de l’IT post opératoire à long terme
2.2.2.2.4. Répartition des patients en fonction des TAPSE pré opératoire et du grade de l’IT post opératoire à long terme
2.2.2.2.5. Répartition des patients en fonction des PAPS pré opératoire et du grade de l’IT post opératoire à long terme
2.2.2.2.5. Répartition des patients en fonction du Grad VD-OD pré opératoire et du grade de l’IT post opératoire à long terme
2.2.2.3. Mortalité
2.2.2.3.1. Caractéristiques cliniques des patients décédés
2.2.2.3.3. Caractéristiques opératoires des patients décédés
DISCUSSION
3. Discussion
3.1. Données épidémiologiques
3.2. Données pré opératoires
3.2.1. Données cliniques
3.2.2. Données paracliniques pré opératoire
3.3. Les données opératoires
3.4. Suivi post opératoire
3.4.1. Morbidité
3.4.2. Mortalité
3.5. Résultats de la plastie tricuspide avec anneau de péricarde à long terme selon la fuite tricuspide
3.6. Comparaison de l’annuloplastie avec anneau de péricarde et l’annuloplastie de De Vega
CONCLUSION
REFERENCES