LES STRATEGIES D’APPUI EN DYNAMIQUE DU FILIERE CAFE

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Bref aperçu historique du district

D’après l’explication des anciens de la ville, la population d’Ikongo est d’origine ANTANALA, issue de la lignée : RAMBO, ayant comme voisin les RAMINIA à Vohipeno. C’est la raison pour laquelle on appelle la population venant d’Ikongo: ZAFIRAMBO. A l’époque, la ville d’Etat Antanala était située dans l’arrondissement de la commune rurale deuxième catégorie d’Ambolomadinika. La famille des ZAFIRAMBO était divisée en plusieurs familles, une de ces familles a formé lafamille MAROHALA, qui est installée dans la partie rurale d’Ikongo. La population n’est pas constituée uniquement d’Antanala on y trouve également les autres ethnies malgaches, les plus nombreuses sont: les BESTILO et les ANTEMORO.
Notamment les BETSILEO venant de l’Ouest de la région Haute Masiatra telles que Mahasoabe, Vohitrafeno, Vinanitelo, Alakamisy Itenina, Mahaditra.
Les ANTEMORO viennent de la région Vatovavy, à savoir : Manakara, Bekatra.
Ces ethnies s’installent sur les lieux pour des raisons économiques. La vie y était beaucoup plus facile, la terre fertile et aussi parce que Ikongo n’était pas située loin de leur lieu d’origine.

Données sociales sur les institutions du district d’Ikongo

Une institution traditionnelle à trois niveaux cadr e la vie des communes et des fokontany, à savoir :
• Ampanjaka
• Lefitry ny Ampanjaka
• Vahoaka (population)
Les rôles et les responsabilités de chaque institution sont les suivants :

Ampanjaka

Il est le chef de la famille du même clan. Au village, il est placé au premier rang dans la hiérarchie de la société. C’est lui qui organise toutes les festivités familiales et l’encadrement de son clan (circoncision des enfants, inauguration de Tranobe, partage des ressources et des terres, gestion de conflit, etc.) et les membres de son clan ne font qu’exécuter les ordres donnés.
En matière de conflit, il est le juge, et la sentence qu’il rend est irrévocable et exécutoire dans l’immédiat. Il reçoit la plainte des gens. Il est le conseiller des élus locaux, tels le chef de fokontany, et les responsables communales.

Lefitry ny Ampanjaka

Il supplée l’Ampanjaka dans son rôle lorsque celui-ci est absent. Il représente l’Ampanjaka pour la prise de parole lorsqu’il y a d es funérailles dans le village.
On va montrer dans un tableau les autorités coutumières par commune dans le district d’Ikongo ainsi que leurs domiciliations (Voir l’annexe 2).

Vahoaka (La population)

Ils ne sont que de simples exécutants. Les Dina de l’Ampanjaka seront exécutés dès leur publication au niveau d’une réunion communale, fokontany et villageoise. Les habitants grâce à cette institution sont très forte solidaires.
Le Nombre de la Population totale du district d’Ikongo est de 270 734 Habitants 1, dont les activités économiques principales se concentrent sur l’agriculture, et quelquefois sur l’artisanat. La taille des ménages tourne autour de 6. La population active (14 à 60 ans) représente 70 % des habitants. On va aussi montrer le nombre des électeurs et le nombre de ceux qui ne possèdent pas d’acte de naissance y compris ceux qui ont moins de 18 ans.
Nous présentons également dans un tableau les groupes ethniques qui composent la population du district d’Ikongo.
Nombre d’électeurs 54 278
Dépourvus d’acte de naissance : 72 000 dont 50 000 moins de 18 ans
Tableau I: Les groupes ethniques
Nous allons montrer dans ce tableau les groupes ethniques qu’on trouve dans le district d’Ikongo de nos jours.

L’enseignement

L’éducation est une des sources de connaissances qui constituent des formes de richesse humaine pour le pays et la population elle-même, sur le plan humain et social. Le rôle de l’éducation est primordial dans le processus de développement du district. Elle requiert des efforts de la part de tous les acteurs de la vie économique et sociale du district. On peut donc admettre que plus le niveau d’instruction ou de connaissance et de la compétence de la population s’élève, plus elle peutespérer d’avantage de bien-économique et social.
L’éducation par la mise en valeur du capital humain, est un facteur de croissance économique mais la pauvreté a des impacts sur le rendement scolaire, et des conséquences sur l’éducation. On va montrer dans le tableau ci-dessous, quelques établissements (publics ou privés) qui existent dans le CISCO du district d’Ikongo (voir schéma1).

Santé

La sante est la pierre angulaire de la croissance économique et constitue l’un des principaux moyens d’amélioration du bien-être des ndividus. Elle augmente la capacité de production d’un pays, et contribue à réduire la pauvreté, en améliorant l’efficacité de la main d’œuvre fournie par la population.
L’absentéisme pour raison de santé est parfois important dans les économies sous-développées, et la prise en compte d’une mesure sanitaire correspondante peut engendrer une efficacité de la production. Nous allons montrer dans le tableau ci-après, le nombre de centres sanitaires existants.

Les organismes intervenants

Plusieurs intervenants pour le développement ont déjà œuvré au niveau de chaque commune, fokontany. On va montrer dans le tableau de l’annexe3 les organisations d’intérêt social, économique et culturel.

Les activités économiques des paysans

Agriculture

L’activité économique du district d’Ikongo repose surtout sur l’agriculture, à savoir la culture pluviale, la riziculture et la culture maraîchère. Le rendement atteint actuellement est faible. Les gens cultivent le café, le riz et le manioc dans les bas fond et au pluvial, associés avec d’autres spéculations. La production annuelle de riz par famille varie de 10 à 100 daba (Un daba contient 15 Kg de paddy), et pour le café, la production par famille varie entre 10 kg à 1,5 tonnes. Chaque paysan dispo se de 0,75 ha à 3 ha de rizière en moyenne, et pour le café entre 10ares à 3,5ha, bien qu’on dispose d’un vaste terrain pour la culture de manioc.
En général, la population dans ledistrict est presque une population agricole, pour environ de 85% de la population total, et le reste travaille dans la fonction publique, ou exerce des fonctions libérales.
On va montrer dans un tableau le nombre d’exploitation et d’occupation du sol pour la riziculture et la culture sur pluvial.

Riziculture

Nous allons présenter dans le tableau ci-après le nombre d’exploitation de la rizicole, la surface à cultivée et leur production annuelle dans le district d’Ikongo en l’an 2008.

Culture sur pluvial

Ce district a une vocation agricole, surtout la culture sur pluvial. On peut cultiver plusieurs choses sur les collines. Si on fait la comparaison entre les cultures, la banane et le manioc tiennent la première place pour la culture sur pluvial car le nombre d’exploitant est au nombre de 33309 et 26341. Pour la culture café et la culture canne à sucre, on compte 25903 et 22187 d’exploitants ; les autres sont inferieurs à 10000 exploitants. Nous allons montrer dans le tableau suivant toutes les spéculations dela culture sur pluvial.

Elevage

Elevage bovin

On dénombre 13 500 têtes de bovidés, 10 500 porcinset 50 têtes de moutons dans le district d’Ikongo qui est composé de 15 communes et 176 fokontany. La valeur d’un bovidé varie entre 200 000 et 600 000 Ariary ; 20 000 à 30 0 000 Ariary pour un porc 20 000 à 120 000Ariary2 pour un mouton.

Elevage de volailles

Les femmes préfèrent élever des « Vorondrano » telsque canards, oies, plutôt que les poules qui sont souvent sujettes à des maladies aviaires. Cet élevage ne procure que de faible revenu pour les éleveurs. On dénombre 20 176têtes.

Les situations administratives et les caractères du milieu physique et humain

Les situations administratives

Les autorités administratives et politiques

Le district d’Ikongo est comme les autres districts qui ont les instructions décentralisé tels que les responsables politiques teautorités administratives. Par exemples :
Député
Chef de District
Membre conseil Régional
Maire
Chef fokontany

Les services déconcentres et leurs responsables

De nos jours, l’Etat a démembré le pouvoir en services déconcentrés et services décentralisés dans toutes les régions ouesl districts dont le district d’Ikongo. Le tableau ci-dessous nous montre les services déconcentrés représentant chaque ministère.

Les services décentralisés et leurs responsables

Nous avons déjà dit auparavant que, les services décentralisés et leur responsables partagent les tâches et le pouvoir à exécuter dans toutes les régions de Madagascar. Le tableau suivant nous montre le nom des communes dans le district d’Ikongo.

Les caractères du milieu physique et l’être humain

Caractéristiques du sol

Auparavant, le sol était fertile et riche en minérale organique, mais par la suite, il s’est dégradé à cause de la pratique de la culturesur brûlis (Tavy), et l’insuffisance de pluie et quelque fois le climat très chaud. Le climat a changé, il est devenu chaud, alors la terre est devenu stérile et pauvre. Les plantes indicatrices de la stérilité du sol (Tenina et Voatrotrokala) sont visibles ; de nos jours, elles croissent avec les caféiers. Les pentes des collines sont dénudées à cause de la pratique fréquente du « Tavy », et la méconnaissance des techniques d’aménagement, de défense du sol (protection des bassins versants) et ensuite, la non utilisation d’engrais.
Enfin, il y a apparition du phénomène « Lavaka »,le rendement agricole devient faible, de cycle de production des cultures devient longue surtout les cultures vivrières. (Le manioc, au lieu d’un cycle de 6 mois, dure actuellement jusqu’ à 14 mois, et enfin la disparition des flores endémiques de la région).

Condition de vie de la population dans le district

En un mot, on peut dire que la population d’Ikongo est une « population pauvre ». Les paysans cherchent du travail. Les propriétaires terriens n’embauchent plus de salariés pour les travaux des champs, les paysans ne produisent que ce dont ils ont besoin, à cause de ère la baisse du prix des produite de rente, dont le café (1 source de revenu), et les autres activités génératrices de revenu. Ainsi la culturevivrière occupe beaucoup de temps de travail, alors qu’elle est destinée à l’autoconsommation. Les paysans n’ont pas de débouchés pour leurs produits agricoles, il en est de même pour les produits de l’artisan : les nattes, les vanneries et les paniers. Les enfants ne sont pas scolarisés ; la incapacité de la population à investir est faible, il en est de même du pouvoir d’achat des paysans ; les ménages sont endettés et décapitalisés.

Comportement ostentatoire de la population

Dans le district, quand on parle de produits de rente, il est très difficile de trouver une bonne récolte pendant des années successives, ’estc aussi le cas au niveau national. En plus, pendant la période de bonne récolte, la majorité des paysans fait des dépenses inutiles. Ils laissent la monnaie aux vendeurs à cause de leu r faible niveau d’éducation. Les commerçants les trompent en ce qui concerne le prix ou le kilo des produits vendus ; ils leur font le coup de la balance. Certain commerçants fon t du porte à porte convaincre les paysans avant la campagne et les persuader de leur vendre leur production. Dans ce cas, il faut que les agents les conseillent dans un premier temps à thésauriser leur argent auprès des organismes financiers tels que banque, TIAVO, en attendant de réfléchir à leur utilisation, et dans un second temps, à affecter une partie de ces recettes à l’achat des matériels mécaniques, en vue de moderniser des moyens de production, et prévoiraussi la période de soudure.

L’environnement

Avant, dans ce district d’Ikongo, la forêt était dense, elle était toujours verte, c’est pour cette raison qu’on appelle la population venant du district est appelée : Antanala. Actuellement, la forêt est devenue savane et des steppes, mais quelques superficies sont boisées : 1 200 ha ; et le reboisement est de : 50 ha. Les produits de la cueillette dans ces forêts sont : Miel ; Tavolo et l’Oviala.

autres

Si on fait une vision globale, aucune grande industrie n’est s’installée dans le district d’Ikongo, seul les représentants des commerçants y résident. Par contre, on trouve de petites entreprises familiales ou non dans le district, telles les Forgerons pour la fabrication et la réparation de couteau et d’Angady, et la vannerie pour fabriquer des chapeaux, des vêtements, des paniers, des nattes etc…

Les communications et les infrastructures

Les communications

Le district connaît un problème de communication. Il est enclavé, surtout pendant la saison de pluie. Il est difficile pour les paysans de rejoindre le chef lieu du district, ils ignorent ce qui se passe en dehors de leur village, à cause du mauvais état des pistes inter-communales, et l’inexistence de ponts traversant les rivières. En effet, cette carence engendre de nombreuses conséquences, la difficulté pour l’administration à faire des recensements, la situation médiocre de l’état civil, l’attachement exagéré des paysans aux pratiques traditionnelles et la difficulté d’évacuer les produits locaux. On va montre ci-après quelques communications qui existent dans le district :
Télévision TVM
Radio FM
Téléphone TELMA Fixe

Les infrastructures

Voie Ferrée

Plusieurs régions de la côte Est de la Grande île ne sont desservies que par les voies ferrées, notamment la région Antanala (Fort-Carnot) traversée par la ligne ferroviaire FCE (Fianarantsoa-Côte Est).
Cette dernière est victime actuellement de difficultés généralisées connues par le chemin de fer malgache (CFM) qui se manifeste par l’interruption de la ligne et l’irrégularité des horaires du train. En effet, d’après les données du projet d’appui à la gestion de l’environnement, les producteurs abandonneraient purement et simplement les cultures de rente (café et banane) pour transformer les champs en superficie de cultures de subsistance (riz et manioc). En cas de fermeture totale de la ligne ferroviaire FCE ; les premiers victimes seront les paysans qui vivent grâce à la circulatio n du train. Cela leur permet d’écouler les produit locaux, surtout ceux qui habitant tout au long chemin de fer. Il est important qu’ils puissent avoir accès régulièrement au chemin de fer, car c’est le seul moyen pour résoudre leur problème.

Voie Terrestre

Le mauvais état ou l’inexistence de routes praticables pour l’évacuation des
produits est une des contraintes majeures au développement de l’offre agricole. L’enclavement des régions productrices, dû au taux élevé de routes et de pistes rurales non praticables, a pour conséquence majeure la faible ntégration des marchés ruraux, et l’instabilité des prix. Cette difficulté touche laquasi-totalité de la zone Est malgache où la pluviométrie est très élevée. Cette défection deinfrastructurel’ routière provoque :
– Des coûts de transports élevés, amenuisant la compétitivité des produits sur le marché international ;
– Une augmentation plus importante des marges commerciales des intermédiaires : les collecteurs fixent toujours des prix dérisoires auxproducteurs.

voie fluviale

La voie fluviale est réservée aux zones très enclavées situées dans les bas fond ou éparpillées sur les collines mais qui produits beaucoup. Les villageois vivant au bord des rivières utilisent des pirogues fabriquées en boiset métalliques. Cela a des conséquences graves sur les produits séchés qu’ils amènent surel marché, car l’eau les rendent humides, ils sont frappés par la moisissure, s’ils ne sont pas exposés au soleil.

Table des matières

INTRODUCTION GENERALE
PREMIRE PARTIE : L’IDENTIFICATION ET L’ETUDE DE LA FILIERE CAFE DANS LE DISTRICT D’IKONGO
Chapitre I : LA PRESENTATION ET LE SITUATION GLOBALE DE LA FILIERE CAFE DANS LE DISTRICT
SECTION I : La monographie et la description du district
§1. L’identification juridique du district
A. description du district
B. Bref aperçu historique du district
C. Données sociales sur les institutions du district d’Ikongo
a. Ampanjaka
b. Lefitry ny Ampanjaka
c. Vahoaka (La population)
d. L’enseignement
e. Santé
f. Les organismes intervenants
§2. Les activités économiques des paysans
A. Agriculture
a. Rizicultures
b. Culture sur pluvial
B. Elevage
a. Elevage bovin
b. Elevage de volailles
§3. Les situations administratives et les caractères du milieu physique et humain
A. Les situations administratives
a. Les autorités administratives et politiques
b. Les services déconcentres et leurs responsables
c. Les services décentralises et leurs responsables
B. Les caractères du milieu physique et l’être humain
a. caractéristiques du sol
b. Condition de vie de la population dans le district
c. Comportement ostentatoire de la population
d. L’environnement
e. autres
§4. Les communications et les infrastructures
A. Les communications
B. Les infrastructures
a. Voie Ferrée
b. Voie Terrestre
c. voie fluviale
SECTION II : La structure de l’agriculture dans le district
§1. La généralité
A. Situation de la culture du café
B. la culture vivrière
C. la culture traditionnelle
D. La culture moderne
E. Le coût du travail
SECTION III : La structure du marché interne du district
§1. La généralité
§2. Le marché direct
§3. Le marché indirect
§4. Echange de produit
Chapitre II : LES CARACTERISIQUES DE L’ETUDE
SECTION I : L’histoire du café
§1. Les origines du café
§2. La description du caféier cultivé (robusta)
§3. L’aspect général de la filière café
A. Au niveau du district d’Ikongo
B. Au niveau national et international
§4. Prix et les prélèvements de l’Etat
A. Historiquement
SECTION II : Les caractéristiques de la récolte et les moyens de transport
§1. Les problèmes de la récolte
A. Les caractères posant des problèmes sur la récolte
B. Les problèmes rencontrés après la récolte
§2. Les problèmes des infrastructures
A. Les infrastructures routières
§3. L’organisation du transport
A. Le manque de moyens de transport
B. La situation des routes et l’enclavement de la zone productrice
§4. Le calcul de coût du transport
A. Calcul du coût de transport du matériel roulant par kilomètre
B. Exemple pour illustrer la formule
§5. La voie maritime (port secondaire)
SECTION III : Le déroulement de la campagne, l’analyse des producteurs et des collecteurs
§1. Le calendrier de la campagne
A.L’organisation de la collecte et du stockage
B. Les contraintes sur le facteur de travail
C. Sécurisation durant la collecte
§2. Les producteurs et les consommateurs
§3.Les problèmes liés aux collecteurs
A. Le manquement aux engagements
B. La manipulation des dockers
§4. Les collecteurs
A. Les collecteurs traditionnels
B. Les collecteurs traditionnels
C. Les collecteurs respectables
§5. Le déroulement de la collecte
A. Au lieu de collecte habituel
B. Chez le collecteur
Chapitre III: LA STRUCTURE DE LA PRODUCTION DE CAFE
SECTION I : Les opérations touchant la production du café
§1. La réception des produits frais
§2. L’opération de triage
§3. L’opération de séchage
§4. La mise en stockage et l’emballage utilisé
A. La condition de stockage
a. Le stockage en sac
b. Le stockage en vrac
SECTION II : La capacité de la production du café
§1. La production du café dans le district
§2. L’importance de la quantité de production dans le district d’Ikongo
§3. L’occupation de sol dans le district d’Ikongo
§4. Le rendement de la production obtenue dans le district d’Ikongo.
SECTION III : L’importance du café dans l’économie nationale et internationale
§1. La généralité
A. Revenus et pouvoirs d’achat
§2. La création d’emploi
§ 3. L’environnement socio-économique de la population rurale
§4. L’importance du café sur l’économie international
A. Le rapatriement de devises
B. L’équilibrage de la balance commercial
DEUXIEME PARTIE : LES STRATEGIES D’APPUI EN DYNAMIQUE DU FILIERE CAFE
Chapitre I : LES ETUDES ET LES EXIGENCES DU MARCHE
SECTION I : L’analyse du marché
§1. La diminution de l’offre et la stagnation du produit
§2. La demande : La norme et la qualité exigées sur le marché
SECTION II : L’analyse de la concurrence
§1. La situation du prix
§2. Le prix en fonction du prix du marché international
§3. L’évolution du marché mondial du café
SECTION III : Les techniques et les stratégies marketing appliquées sur le marché
§1. Le marché global de production café
A. L’analyse de produit
a. Les variétés du produit café
b. Les gammes de produit café
§2. L’analyse client et de la commercialisation
A. Le circuit long traditionnel
B. Le circuit direct-circuit court
§3. La stratégie Marketing à effectuer sur le produit café
A. La politique de communication
a. La stratégie push
b. La stratégie pull
c. La stratégie de manifestation
d. La création de point de vente
§4. Les politiques de commercialisation du café
A. La politique du prix
§5. L’amélioration de l’organisation des marchés
A. Le renforcement de la compétitivité de la filière
a. Facteurs prix
b. Facteurs non-prix
B. Amélioration des conditions d’accès aux marchés
C. Marketing interne et externe
Chapitre II : L’APPUI EN TECHNIQUE DE LA FILIERE CAFE
SECTION I : La technique de production et les exigences écologiques
§1. Les sources d’accaparement du terrain
A. S’attaquer à la forêt primaire
B. Par héritage :
C. Par achat :
§2. Le choix de terrain
§3. La préparation du sol
A. La préparation avant la plantation
§4. Le choix de semence
A. La préparation de la pépinière
B. La relance des pépinières agricoles
a. La technique de plantation
b. Autres techniques
§5. Le réglage d’ombrage
SECTION II : La plantation de la nouvelle caféière
§1. Le calendrier
§2. La méthode de plantation caféier
§3. L’entretien de la jeune plantation
§4. L’appui technique des exploitations
A. La possibilité d’association culturale
B. L’appui sur le temps de travail et l’occupation aperçus
§5. L’amélioration des cerises et le système d’exploitation
A. Le traitement des cerises
a. Le Dépulpage de la cerise
1. Par voie humide
1.1. L’opération de lavage
2. Par voie sèche
2.1. L’opération du séchage
b. Le mode de stockage
c. L’exploitation du paysans
§6. L’estimation de rendement et la prévision d’implantation
SECTION III: Les étapes de processus de traitement du caféier
§1. Pour les travaux d’entretien
A. L’egourmandage et la taille
B. Le recepage
§2. La taille de rajeunissement
§3. Le technique de recepage
§4. Le traitement phytosanitaire et la fertilisation du caféier
A. Le surveillance du caféier
B. Le traitement phytosanitaire des maladies
a. La généralité
§5. La fertilisation du caféier
A. La définition
a. La méthode
B. Le mise en engrais
a. La généralité
§6. Le Robusta contre l’Arabica
Chapitre III : LA COMMERCIALISATION DU CAFE ET LES QUELQUES PROPOSITIONS D’AMELIORATION
SECTION I : Le processus de la préparation du café
§1. La généralité
A. Au niveau de la commercialisation
§2. Le processus de préparation du café à l’exportation
A. Le conditionnement du café
a. Les conditionneurs stockeurs
b. Les différentes étapes de conditionnement du café
1. Le triage
2. La classification
3. Le marquage du sac
4. La constitution de lot
§3. Le contrôle
A. La vérification de lot
B. Le contrôle de pesage
a. L’étiquetage
b. L’entreposage du café
C. L’exportateur et leur obligation
D. L’importateur et leur obligation
§4. Les pays le plus importateurs
§5. L’exportation du café
A. Les obligations de l’exportateur
a. Les incoterms
SECTION II : Les garanties de payement de recettes de l’exportation du café
§1. L’encaissement libre ou remise libre (RML)
§2. L’encaissement documentaire ou remise documentaire (REMDOC)
§3. La lettre de crédit ou crédit documentaire (CREDOC)
SECTION III : Les quelques propositions d’amélioration de la filière café
§1. Le projet d’intensification du café
§2. La formation des agents responsable de la collecte
A. L’objectif de la formation après la campagne
§3. Le changement du comportement du paysans
§4. L’intervention sur le partenaire nécessaire
§5. L’amélioration des procédures d’exploitation
§6. L’installation d’une unité de transformation
A. L’investissement
§7. Le renforcement de financement de la filière café
A. Le financement de la collecte
a. Le financement local
1. Le financement par découvert
2. L’avance sur produit (ASP)
3. L’escompte documentaire
b. Le financement extérieur
1. Le Red-clause
2. Le Green-clause
CONCLUSION GENERALE
BIBLIOGRAPHIE
ANNEXES

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