Etude bibliographique sur Epinephelus chlorostigma

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Etude bibliographique sur Epinephelus chlorostigma

Une bonne connaissance de l’espèce est essentielle avant d’entreprendre tout travail de biométrie sur l’espèce en question. Ainsi, des études bibliographiques sur Epinephelus chlorostigma ont été menées. Les connaissances acquises à partir de ces études bibliographiques sont présentées dans ce chapitre.

Systématique

Epinephelus chlorostigma est un mérou de la famille de Serranidae. Elle est connue sous le nom français de mérou pintade. Son nom vernaculaire anglais est « brownspotted grouper » (OPIC et al., 1994 ; DESCAMPS, 2005). En malgache, il est désigné sous le nom de « tarataka » (OPIC et al., 1994) ou tout simplement sous le nom générique de « cabot » comme tous les poissons du groupe des mérous.
Sa systématique est la suivante :
– Règne : Animalia
– Embranchement : Chordata
– Sous-embranchement : Vertebrata
– Super-classe : Osteichthyes
– Classe : Actinopterygii
– Sous-classe : Neopterygii
– Infra-classe : Teleostei
– Super-ordre : Acanthopterygii
– Ordre : Perciformes
– Sous-ordre : Percoidei
– Famille : Serranidae
– Sous-famille : Epinephelinae
– Tribu : Epinephelini
– Genre : Epinephelus
– Espèce : Epinephelus chlorostigma (Valenciennes, 1828)

Caractéristiques des poissons de la famille de Serranidae

La famille de Serranidae regroupe essentiellement les mérous et les serrans. Ce sont des poissons à bouche large. Ils présentent des dents en carde sur les mâchoires et le palais. Ils peuvent aussi présenter des canines sur le devant des mâchoires. Ils possèdent 7 à 12 rayons épineux sur la première dorsale. Leurs nageoires pelviennes sont en position thoracique et présentent toujours 1 rayon épineux et 5 rayons mous. Leur nageoire anale possède 3 rayons épineux. La nageoire caudale peut être arrondie, tronquée, émarginée ou fourchue. Celle-ci est constituée par 15 rayons branchus (des rayons mous) (FOURMANOIR et LABOUTE, 1976 ; SERET, 2011).
Les Serranidae sont des poissons côtiers ou des poissons démersaux des eaux tropicales et subtropicales. Ils sont rencontrés rarement dans les eaux tempérées. Ce sont des prédateurs ichtyophages. Ils disposent aussi une large gamme de poisson comme proie (FOURMANOIR et LABOUTE, 1976 ; SERET, 2011).
Pour la reproduction, la plupart des Serranidae sont des hermaphrodites. Ils peuvent présenter des tissus mâles et femelles fonctionnels et matures en même temps. Ils peuvent aussi être des hermaphrodites potentiels avec un tissu sexuel fonctionnel inhibant le développement de l’autre tissu. Dans ce cas, le tissu en état de latence ne devient fonctionnel qu’une fois la fonction inhibitrice de l’autre tissu cesse. Il peut alors y avoir inversion sexuelle de l’individu, c’est-à-dire que l’individu est d’abord femelle puis mâle (hermaphrodisme protogyne) ou inversement (hermaphrodisme protérandrique) (DE MOUSSAC, 1986 ; SERET, 2011).

Caractéristiques morphologiques d’Epinephelus chlorostigma

Epinephelus chlorostigma a un corps élevé et comprimé latéralement. Son corps et ses nageoires sont recouverts de petites taches hexagonales en nid d’abeilles serrées de couleur marron à vert olive (Photo n° 1). Ses taches sont plutôt d’une forme arrondie et sont souvent de couleur jaune ocre sur la partie antérieure de la tête. Au niveau des nageoires pectorales, les taches sont surtout confinées sur les rayons. Sa nageoire caudale est subtronquée, tronquée ou légèrement émarginée (cf. Photo n°1, figure n° 2). Celle-ci est bordée d’un étroit liséré blanc (FOURMANOIR et LABOUTE, 1976 ; HEEMSTRA et RANDALL, 1993 ; ROME et NEWMAN, 2010).
Toutefois, la conformation du corps et la couleur de la robe d’E. chlorostigma peut varier suivant l’âge (POSTEL et al., 1963):
o Moins de 20 cm LT:
Son corps est allongé et comprimé. De nombreuses taches contigües recouvrent sa robe beige. Ses taches sont petites, rondes et jaunes sur la tête. Elles sont plus grandes, de forme moins arrondie et de couleur verte olive sur le corps. Les nageoires sont terminées par de bandes sombres sauf la caudale qui présente un liseré blanc.
o Entre 20 et 50 cm LT:
Son corps devient relativement élevé et comprimé. Les taches jaunes deviennent rares tandis que les taches vertes olive deviennent plus nombreuses. A ce stade, presque toutes les taches sont hexagonales. Le liseré blanc de la nageoire caudale est toujours bien visible.
o Plus de 50 cm LT:
Son corps devient élevé mais toujours comprimé. La plupart des taches sont soudées, donnant à la robe un aspect uniforme gris-olive. C’est seulement sur les mâchoires, la partie inférieure de la tête et sur quelques rares zones claires des nageoires que sont encore rencontrées de petites taches rouilles. Les nageoires deviennent en grande partie noires et le liséré blanc de la nageoire caudale est moins visible.
Le mérou pintade est aussi caractérisé par une espace interorbitale fortement convexe. Son préopercule présente un angle saillant. Ce préopercule présente 6 à 8 pointes. Ses narines sont inégales avec celles de devants plus grandes que celles de derrières. Sa mâchoire inférieure présente 2 à 4 rangées de dents. Les dents de la rangée la plus interne ont à peu près deux fois la taille de ceux de la rangée la plus externe. Le nombre de branchiospine est de 23 à 29. Son dos est légèrement élevé (HEEMSTRA et RANDALL, 1993).
Sur la première dorsale, le rayon épineux le plus long est le troisième ou le quatrième rayon. La voile entre les rayons épineux est légèrement incisée. Les nageoires pectorales sont généralement un peu plus longues que les nageoires pelviennes (Figure n°2).
Sur le plan morphométrique, E. chlorostigma a une taille maximale de 75 cm LT pour un poids de 7 kg (FOURMANOIR et LABOUTE, 1976 ; HEEMSTRA et RANDALL, 1993). La longueur de la tête vaut 2,4 à 3,2 fois de la longueur du plus long rayon épineux de la première dorsale, 1,6 à 2 fois de la longueur de la nageoire pectorale et 1,8 à 2,3 fois de la longueur de la nageoire pelvienne (JORDAN et RICHARDSON, 1714 ; HEEMSTRA et RANDALL, 1993).
Le nombre d’écailles sur la ligne latérale est compris entre 96 à 122. Sur une ligne transversale à cette ligne latérale le nombre d’écaille est de 60. La nageoire dorsale compte 11 rayons épineux et 16 à 18 rayons mous. Sur la nageoire caudale, le nombre rayons épineux est de 3 et celui des rayons mous 8. Enfin, pour la nageoire pectorale, le nombre total de rayons varie entre 17 et 19 (HEEMSTRA et RANDALL, 1993).
Pour leur couleur grise, les individus âgés (plus de 50 cm LT) d’E. chlorostigma sont souvent confondus avec E. compressus (POSTEL et al, 1963). Les points permettant de les différencier sont rapportés en Annexe 1.

Biologie

Distribution géographique

Epinephelus chlorostigma est rencontrée depuis la mer Rouge et la côte Est de l’Afrique jusqu’à l’Ouest de l’Océan pacifique (de la partie Sud du Japon jusqu’à la Nouvelle Calédonie) (Cf. Carte n° 2). Dans l’Océan indien, elle est surtout trouvée à La Réunion, à l’île Maurice, à l’île Rodrigues, à Madagascar, aux Comores, aux Seychelles et à Cargados Carajos (Saint-Brandon). Sa présence a été aussi enregistrée dans la partie Ouest du Golfe d’Aden, au Kenya, à Tanzanie, à l’archipel de Chagos, aux Maldives, aux îles Lakshadweep, aux îles Andaman, aux îles Nicobar, au Vietnam, en Chine, à Hong Kong, à Corée, à Papouasie-Nouvelle-Guinée, à la Nouvelle Ireland, à l’île du Millénaire (ancienne île Caroline), aux Samoa Américaines, au Fiji et au Sud de la côte Ouest de l’Australie (HEEMSTRA et RANDALL, 1993 ; FRICKE et al., 2009).

Alimentation

Les mérous sont des carnivores. Ce sont aussi des chasseurs opportunistes. Ils pêchent à l’affut. Immobiles dans leur trou, ils attendent les animaux imprudents qui s’aventurent trop près et qu’ils gobent par aspiration (FOURMANOIR et LABOUTE, 1976 ; BRUMELOT et DE COSTER, 2009). Epinephelus chlorostigma se nourrit essentiellement de petits poissons et de crustacées. Il mange surtout les gastéropodes et les jeunes crabes (HEEMSTRA et RANDALL, 1993).

Reproduction

Epinephelus chlorostigma est une espèce hermaphrodite protogyne. Les individus sont d’abord femelles puis deviennent des mâles après inversion sexuelle. Toutefois, ce ne sont pas toutes les femelles qui se transforment en mâles (GRASSE, 1976 ; DE MOUSSAC, 1986). Selon DE MOUSSAC (1986), les femelles d’E. chlorostigma sont matures entre 23 et 29 cm de longueur totale, l’inversion sexuelle a lieu entre 34 et 45 cm et les premiers mâles actifs apparaissent à 37 cm.
L’espèce a une fécondation externe. La ponte a lieu en juin et juillet (PAULY et al., 1993). Pendant cette période de frai, les individus de l’espèce, tout comme la plupart des mérous se rassemblent en grand nombre. Les groupes formés sont alors constitués essentiellement d’individus adultes mais aussi de quelques jeunes individus (BRUMELOT et DE COSTER, 2009).
La fécondité absolue de l’espèce varie entre 42 700 et 1 800 000 œufs (GHORAB et al., 1986 ; AHMAD et al., 2011). Cette fécondité peut varier suivant le milieu. Elle varie aussi suivant la taille des individus. Les individus de petite taille produisent des œufs de petite taille et en petite quantité tandis que les individus de grande taille produisent des œufs de grande taille et en grande quantité (AHMAD et al., 2011).
Pour la sex-ratio, la distribution des mâles et des femelles est hétérogène tout au long de l’année. Les femelles sont plus nombreuses que les mâles pendant certains mois de l’année alors que le nombre de mâle est supérieur à celui des femelles en d’autres mois (AHMAD et al., 2011). La variation de la sex-ratio de l’espèce dans le Golfe Persique est donnée en Annexe 2.

Ecologie

Le mérou pintade est un poisson démersal. Il est reconnu comme étant un poisson néritique profond (POSTEL et al., 1963). Toutefois, il a une large répartition bathymétrique. Il peut vivre entre 4 et 300 m de profondeur (DESCHAMPS, 2005 ; FRICKE et al., 2009). Comme la plupart des mérous, il peut occuper différents habitats suivant son âge. Au cours du stade larvaire, il vit dans les mangroves côtières ou estuariennes à faible profondeur. A l’âge adulte, il migre vers des eaux plus profondes (BRUMELOT et DE COSTER, 2009). A cet âge adulte, le mérou pintade vie généralement au niveau des récifs coralliens (BROUARD et GRANDPERRIN, 1984 ; HEEMSTRA et RANDALL, 1993).

Maladies

La FLD (Fish Lymphocystis Disease), une maladie virale chronique causée par un iridovirus de 130 à 330 nm, est rencontrée chez Epinephelus chlorostigma. Elle a été notée sur des mérous pintades élevés en cage à Guangdong en Chine. Epinephelus chlorostigma peut aussi être affectée par différents types de vers plat. On peut par exemple citer les digènes tels que Allopodocotyle epinepheli, Cainocreadium epinepheli, Hamacreadium mutabile et Prodocotyle epinepheli. On peut aussi y rencontrer des monogènes comme Benedenia lutjani, Benedenia sp., Diplectanum grouperi, Haliotrema epinepheli, Megalocotyloides convolute, Megalocotyloides epinepheli, Neobenedenia girellae, Neobenedenia sp., Pseudorhabdosynochus coioidesis, Pseudorhabdosunochus epinepheli, Pseudorhabdosynochus lanteuensis, Haliotrema epinepheli dans la mer rouge, Microcotyle mouwoi et Tetrancistrum sigani (YAMAGUTI, 1942 ; PAPERNA, 1972 ; RAMADAN, 1983).

Méthodes de pêche

Comme la plupart des poissons démersaux, le mérou pintade est souvent pêché à Madagascar avec la ligne de fond, le harpon et le filet maillant de fond (RANDRIAMBOLOLONA et al., 1998). Toutefois, l’espèce peut aussi être pêchée à la
palangre, à la palangrotte et au casier (OPIC et al., 1994 ; MRAG, 1995 ; RANDRIAMBOLOLONA et al., 1998).

MATERIELS ET METHODES

MATERIELS

Matériel humain

Trois élèves ingénieurs en agronomie ont collaboré pour réaliser l’étude sur trois espèces différentes de poisson démersal dont le mérou pintade (Epinephelus chlorostigma), le vivaneau têtu (Lutjanus sanguineus) et le capitaine à gueule longue (Lethrinus microdon). Les travaux sur terrain ont été réalisés ensemble par les trois étudiants, mais pour les travaux ultérieurs, une espèce a été attribuée à chacun d’eux.
Les trois étudiants se sont surtout occupés de la mensuration des espèces étudiées et de la prise de données. Le triage des espèces cibles lors de la réception des poissons à l’usine a été par contre laissé au soin du personnel de l’usine.

Matériel biologique

Parmi les trois espèces mentionnées ci-dessus, c’est le mérou pintade qui a été retenu pour cette étude. En tout, 248 spécimens d’Epinephelus chlorostigma ont été étudiés.
Les spécimens étudiés ont provenu de la pêche effectuée par les bateaux de la société. Ils ont été pêchés à la palangre dont la taille des hameçons est de 12/0. Les appâts utilisés ont été des sardinelles congelées.

Matériels de pesage et de mensuration

Les données collectées ont été constituées par le poids ainsi que quelques paramètres morphométriques. Une balance, deux ichtyomètres et deux pieds à coulisse ont été utilisés pour ces pesés et ces mensurations. Leurs caractéristiques ainsi que leurs utilités respectives ont été les suivants:
• Balance
Une balance électronique de marque SCANVAEGT (Photo n° 2) a été utilisée pour le pesage. Elle avait une portée de 6 kg et une précision de 1 g.
Photo n° 2: Balance électronique
Source : Auteur, 2015
• Ichtyomètres
Les ichtyomètres (Photo n° 3) ont été constitués par une planchette servant de base. Sur cette planchette a été apposé un ruban métrique gradué en millimètre. Une butée a été fixée sur l’extrémité de la planchette correspondant à l’origine des graduations, afin de faciliter le positionnement des poissons lors de la mensuration. Les ichtyomètres ont été aussi peints à la peinture alimentaire pour pouvoir être utilisés dans l’usine.
Ces ichtyomètres ont été utilisés pour mesurer individuellement la longueur totale (LT), la longueur standard (LS) et la longueur à la fourche (LF) des individus. Les ichtyomètres avaient une portée de 60 cm pour le premier et de 100 cm pour le second. Ils avaient chacun une précision de 1 mm. L’observation des valeurs obtenues a été faite par lecture directe.
Photo n° 3: Ichtyomètre
Source : Auteur, 2015
• Pieds à coulisse
Deux pieds à coulisse de marque DUAL FORCE GERMANY (Photo n° 4) ont été utilisés pour mesurer individuellement la longueur de la tête (LTe), la hauteur de la tête (HTe), la hauteur du corps (HC), la hauteur du pédoncule caudale (HPC), l’épaisseur du corps (EP) et le diamètre de l’œil (DO). Les pieds à coulisses avaient chacun une portée de 25 cm et une précision de 0,02 mm. L’observation des valeurs obtenues a été aussi faite par lecture directe.
Photo n° 4: Pieds à coulisse
Source : Auteur, 2015
D’autres matériels ont été aussi utilisés pour la collecte des données :
– Des fiches de collectes de données (Cf. Annexe 3) ont été préalablement élaborées pour enregistrer les valeurs des paramètres morphométriques relevés
– Des blocs-notes ont été utilisés pour noter les informations supplémentaires
– Les fiches de réception de poissons de l’usine ont été mises à notre disposition afin de déterminer la quantité de poisson disponible à chaque réception de produit à l’usine
– Un appareil photographique a été utilisé pour prendre des clichés

METHODES

Choix des paramètres morphométriques à relever

Les paramètres ont été choisis de manière à collecter le maximum d’information sur les populations étudiées tout en minimisant le nombre de mesure à effectuer afin de caler le rythme de la mensuration à celui du traitement des produits dans l’usine. Ainsi, 10 paramètres ont été considérés. Ce sont : le poids vif (P), la longueur totale (LT), la longueur standard (LS), la longueur à la fourche (LF), la longueur de la tête (LTe), la hauteur de la tête (HTe), la hauteur du corps (HC), la hauteur du pédoncule caudal (HPC), l’épaisseur pectorale (EP) et le diamètre de l’œil (DO). La méthode de mensuration de ces paramètres morphométrique sur Epinephelus chlorostigma s’est présentée comme montrée sur la figure n°3.
Le poids vif a été mesuré en gramme. Pour les autres paramètres, leur mensuration a été effectué au centimètre mais les approximations ont été faites au millimètre inférieure (BARNABE, 1973 ; BADTS et BERTRAND, 2012).

Table des matières

I. INTRODUCTION
I.1. Présentation de la société SOPEMO
I.1.1. Présentation générale
I.1.2. Fonctionnement
I.1.3. Circuit de commercialisation des produits
I.2. Etude bibliographique sur Epinephelus chlorostigma
I.2.1. Systématique
I.2.2. Caractéristiques des poissons de la famille de Serranidae
I.2.3. Caractéristiques morphologiques d’Epinephelus chlorostigma
I.2.4. Biologie
I.2.5. Ecologie
I.2.6. Maladies
I.2.7. Méthodes de pêche
II. MATERIELS ET METHODES
II.1. MATERIELS
II.1.1. Matériel humain
II.1.2. Matériel biologique
II.1.3. Matériels de pesage et de mensuration
II.2. METHODES
II.2.1. Choix des paramètres morphométriques à relever
II.2.2. Organisation du travail sur terrain
II.2.3. Traitement des données
II.2.4. Relation taille-poids
II.2.5. Etude de la qualité du milieu
II.2.6. Relation entre les longueurs
II.2.7. Etude de la conformation corporelles : indices biométriques
II.2.8. Synthèse méthodologique
III. RESULTATS
III.1. Description de la population d’Epinephelus chlorostigma
III.2. Corrélations entre les paramètres morphométriques
III.3. Typologie de la population d’Epinephelus chlorostigma
III.3.1. Classification de la population
III.3.2. Caractérisation des groupes typologiques
III.3.3. Homogénéité des groupes typologiques
III.4. Relation taille-poids
III.5. Qualité du milieu : coefficient de condition
III.6. Relations entre les longueurs
III.7. Indices biométriques
III.7.1. Indice de profil
III.7.2. Indice de section
III.7.3. Rapport LS/LTe
IV. DISCUSSION
IV.1. Caractéristiques morphométriques de la population étudiée
IV.2. Corrélations et choix des paramètres morphométriques
IV.3. Typologie de la population d’Epinephelus chlorostigma
IV.4. Sélectivité en taille de la palangre
IV.5. Relation taille-poids
IV.6. Coefficient de condition
IV.6.1. Valeurs du coefficient de condition
IV.6.2. Fiabilité des coefficients de conditions calculés
IV.7. Relation entre les longueurs
IV.8. Conformation du corps
CONCLUSION
REFERENCES BIBLIOGRAPHIQUES
WEBOGRAPHIE
ANNEXES

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