Recherches sur les formes de la prédication dans les énoncés assertifs en français contemporain

Les limites imposées par le domaine d’interprétation

La conception de la langue comme représentation du monde exclut évidemment que l’on s’intéresse à des formes qui véhiculeraient autre chose que des contenus d’expérience. C’est ainsi que toutes les formes d’énoncés dont l’interprétation supposerait que l’on fasse appel à des notions de pragmatique ou de fonction communicative sont négligées et marginalisées. Les « gallicismes » et autres formes de mise en relief sont renvoyées à une composante stylistique et exclues de la syntaxe canonique. Cette conception se retrouve en fait dans beaucoup d’approches structuralistes sous la figure de l’opposition : énoncé canonique / formes dérivées. En fait, le parallélisme nécessaire entre forme et sens, qui est un des axiomes du cadre pré-structuraliste, se retrouve dans les autres cadres sous d’autres formes. Dans les approches post-structuralistes, l’idée qu’il y a un mode pragmatique de construction des énoncés avec ses signifiants propres : prosodie, particules énonciatives, s’opposant à un mode «grammatical» n’est au fond qu’un avatar de cette idée qu’à un type de contenu correspond un type de forme spécifique. En particulier, c’est une idée bien ancrée que les contenus de représentation conceptuels correspondraient à une sémiologie du symbole, alors que les contenus «pragmatiques» correspondraient à des sémiologies plus souples et voisines des «indices» ou des «icônes». Le présent travail montrera que la situation est beaucoup plus compliquée.

Les relations syntaxiques traduisent un rapport sémantique stable

Les relations syntaxiques sont évidemment conçues comme un outil pour véhiculer des contenus de pensée. Une relation syntaxique doit idéalement exprimer une des relations sémantiques que l’on peut poser entre objets ou événements du monde extérieur décrit par la langue. Du côté de l’analyse, on aura par exemple tendance à voir une relation de subordination partout où l’on percevra une relation sémantique de cause de but etc. entre propositions. Le danger de cette position onomasiologique est qu’elle pousse à sous classifier les relations, par exemple la subordination, en termes de contenus exprimés et non de propriétés syntaxiques effectivement observées.
Une exception notoire est parfois acceptée : le que subordonnant universel, qui peut exprimer toutes les relations sémantiques possibles. Cette irruption ad hoc d’une attitude fonctionnaliste s’explique par la marginalisation sociolinguistique des exemples considérés : il s’agit d’emplois « populaires ». Or pour le cadre traditionnel, le langage spontané obéit à d’autres règles que la langue « surveillée », seule analysable en termes rationnels. Là encore les faits contraires à la doctrine sont marginalisés.

Conséquences sur la méthode d’analyse : notion de propriété syntaxique

L’acquis méthodologique le plus intéressant est donc, à mon sens, la recherche de critères opératoires pour définir les relations syntaxiques au moyen de propriétés observables dans les énoncés pour des unités qui sont définies selon le principe signifiant – signifié. Les relations syntaxiques, une fois conçues au niveau des représentations comme distinctes de la morphologie et du sens doivent être méthodologiquement définissables par critères. Sur ce point, l’innovation méthodologique la plus importante, à mon avis, a été le passage d’une analyse reposant sur un critère unique, emprunté à l’analyse des unités de deuxième articulation : la commutation, à une analyse multicritères fondée sur l’examen d’un ensemble de propriétés du segment analysé. Une relation syntaxique donnée doit être caractérisée par des propriétés particulières de forme observables sur les segments d’énoncés reliés par cette relation. Ainsi dire que A est régi par B devra se traduire par : A possède les propriétés a, b, c… observables dans la forme de l’énoncé. La notion de propriété syntaxique permet de conforter l’existence d’un niveau syntaxique autonome dans la description linguistique. Décrire les propriétés des unités soumises à telle ou telle relation complète donc le programme parfois un peu sommaire auquel certaines écoles structuralistes avaient réduit l’analyse syntaxique en la ramenant à des techniques de segmentation et de substitution, comme dans les versions caricaturales de l’analyse en constituants immédiats. Nous verrons cependant que cet acquis ne rend pas la tâche du descripteur triviale pour autant, car la notion de propriété syntaxique a un caractère encore largement indéterminé et ne permet pas toujours de définir de manière univoque et opératoire les relations syntaxiques.
L’ensemble de ces acquis constitue une forme de garantie de l’objectivité de la description. Si on les accepte, on se soumet par là même à une discipline descriptive très stricte et l’on peut avoir parfois l’impression que la description d’ensemble de la langue n’avance pas vite. Je voudrais rappeler que lorsqu’on veut prendre des libertés par rapport à ce cadre, on aboutit parfois plus rapidement à des résultats « intéressants », parce que parlants à l’intuition. Mais c’est le plus souvent au prix d’une régression vers les pratiques du cadre pré-structuraliste : nous le montrerons sur quelques exemples d’analyses de fonctionnements de que.

Représentations en syntaxe et forme de la composante syntaxique

Relations syntaxiques et catégories morphologiques

La relation syntaxe / catégorie morphologique est en principe clarifiée dans cette approche. La position du GARS par exemple désolidarise bien une place syntaxique du paradigme des catégories qui la réalisent. Aucune catégorie n’est en principe liée à une place comme sa réalisation « naturelle ». Il faut cependant signaler que dans les interprétations déductives, comme la grammaire générative-transformationnelle, ce principe de naturalité est souvent postulé, sans que le gain descriptif soit clairement établi. Seul le modèle s’en trouve simplifié. Parfois on peut se demander si le modèle de la grammaire générative n’a pas été construit, par souci de se démarquer de l’approche structuraliste, comme la formalisation des représentations grammaticales pré-structuralistes.
Pour ce qui est de la catégorie de « connecteur » comme marque d’une relation syntaxique particulière, c’est cette fois l’approche générative qui a été la plus soucieuse d’éviter de simplifier la question. Il n’y a pas de connecteurs en grammaire générative, à tout le moins on s’attache à préciser le rôle général de ces connecteurs comme constructeurs -recteurs de ce qu’ils introduisent. En revanche le lien syntaxique qui unit le connecteur au contexte est souvent traité de façon approximative quand on quitte le domaine de la valence ou des compléments proches du verbe. Dans ce domaine, un grand effort de clarté descriptive reste encore à faire si l’on veut éviter d’habiller de formalismes modernes des notions pré-structuralistes biaisant l’analyse. L’approche formaliste a vraiment achoppé dans la description des relations syntaxiques hors rection.

L’homogénéité de la syntaxe

On pouvait s’attendre à ce que le débat fût tranché à partir des résultats des descriptions. Mais il semblerait que, si c’est le cas pour certains avatars de la perspective inductive (GARS, Grammaire fonctionnelle type américain), certaines approches, en particulier la grammaire Générative Transformationnelle, aient érigé en dogme l’idée qu’une relation syntaxique ne peut être qu’une relation endocentrique. En deçà de la phrase, cela signifie que l’on va mettre au compte d’autres composantes que la composante syntaxique la description des relations dont les propriétés ne correspondent pas à celles d’une relation de rection : composante lexicale ou domaine des théta-rôles. Au-delà, cela signifie que le même formalisme est abusivement étendu pour figurer des relations explicitement présentées comme non endocentriques : Nœud E ou adverbes de phrase Chomsky-adjoints à la phrase.

La grammaire générative transformationnelle surdéterminée microsyntaxiquement

Compte tenu de l’importance de ce modèle, dans les études de syntaxe, il convient de donner les raisons qui me le font trouver inadapté à mon projet.
Il s’agit essentiellement de la volonté théorique des promoteurs de fonder leur syntaxe sur un modèle unique de relation de dépendance : une dépendance binaire associant les constituants dans des constructions endocentriques à travers des relations telles que : domine, être frère de. … Tant que les relations entre constituants peuvent être représentés par un arbre syntagmatique, on est dans le domaine de la syntaxe structurale ; au-delà, il n’y a plus matière à étude linguistique. Des modules nombreux et variés (forme logique, contraintes sur les anaphores, relations « thématiques » ou thêta rôles), permettent à cette syntaxe « pauvre », comportant un seul schéma canonique d’énoncé, de rendre compte des données. Et cela d’autant mieux que ces données sont plus proches du domaine de l’énoncé canonique minimal. On voit déjà que la masse d’énoncés non canoniques que j’ai à traiter nous prévient contre ce modèle.
Une autre conséquence de la volonté de respecter un minimum conceptuel qui me gênerait est la volonté d’homogénéiser la syntaxe. Les tentatives de description d’énoncés observés dans la langue spontanée (mon père je sors jamais sans lui) font ainsi apparaître des éléments tels que le nœud non récursif E. Les énoncés non canoniques de type phrase nominale ou disloquée recevront une représentation de base [s » [e mon père] [ s’ je sors jamais sans lui ] ], qui n’est pas différente dans son architecture profonde de la représentation de l’énoncé verbal minimal : [s’ [comp ] [ s ] ]. De même la dépendance d’un élément à l’énonciation d’un groupe sera représentée comme une dépendance syntagmatique classique.
Quant à l’intégration des indices dans la structure syntaxique, elle est a priori refusée par certains théoriciens (Milner), elle n’est possible pour d’autres qu’après traduction dans un système de purs symboles (explicitation par des verbes des valeurs performatives de l’énoncé).
On retrouve au fond la recherche d’une homogénéité syntaxique comparable à ce que proposait la tradition. Une analyse des présupposés sociolinguistiques des recherches menées dans ce cadre confirmerait l’incompatibilité avec notre démarche. Les chercheurs se situent pour la plupart dans un système opposant un noyau dur correspondant aux énoncés écrits les plus ordinaires et diverses périphéries dont le statut n’est pas défini : la notion de français «avancé» ou «populaire» est ainsi utilisée dans les analyses (Kayne , Godard , Zribi-Hertz ).
Il y a visiblement incompatibilité entre cette conception de la syntaxe et celle que je veux utiliser : l’intégration des indices et des symboles ne peut dans ce modèle qu’être artificielle, la notion de double syntaxe n’y a pas de sens. Voyons cela concrètement dans l’examen de l’exploitation de ce modèle que fait Ferrari pour traiter, à travers l’étude de parce que, le problème des emplois coordonnants des subordonnants. Je reprendrai, pour l’essentiel, la présentation de Debaisieux .

Table des matières

PARTIE I
LE CADRE THEORIQUE
L’APPROCHE MORPHOSYNTAXIQUE GLOBALE
HISTORIQUE DE LA FORMATION DU CADRE D’ANALYSE
OBJECTIF DU TRAVAIL : DESCRIPTION SYNTAXIQUE DE QUE EN FRANÇAIS CONTEMPORAIN
OBJECTIFS
1. Objectif général
2. Objectif particulier
CHOIX METHODOLOGIQUES
JUSTIFICATION DE L’ETUDE
PROBLEMES DE DONNEES : CONSTITUTION DU CORPUS
OPTIONS THEORIQUES ET METHODOLOGIQUES
CONSTRUIRE UNE MORPHOSYNTAXE GLOBALE DESCRIPTIVE
Chapitre 1 La tradition spéculative
1. Les axiomes
1.1. Limites du domaine de la syntaxe
1.1.1. Nature sémiologique des unités : il ne peut y avoir relation syntaxique qu’entre des éléments réalisés segmentalement
1.1.2. Extension des unités : il n’y a pas de relations syntaxiques entre les éléments constitutifs du discours
1.1.3. Les limites imposées par le domaine d’interprétation
1.2. La non-autonomie de la syntaxe par rapport aux autres composantes de la grammaire : l’axiome du parallélisme syntaxe morphologie sens
1.2.1. Les relations ont comme terme naturel une catégorie particulière
1.2.2. Les relations sont idéalement marquées par des éléments segmentaux
1.2.3. A chaque type de relation correspond une classe particulière de marqueurs
1.2.4. Les relations syntaxiques traduisent un rapport sémantique stable
1.3. Les relations syntaxiques
1.3.1. L’axiome de l’homogénéité : une seule syntaxe, la syntaxe de rection par une catégorie
1.3.2. Diversité des relations syntaxiques à l’intérieur de la syntaxe grammaticale
2. Conséquences méthodologiques de ces présupposés 
2.1. Inutile d’argumenter pour établir une relation syntaxique : il suffit de constater
2.2. La description est trop faible
2.2.1. Elle ne couvre qu’une partie des formes descriptibles syntaxiquement dans les énoncés attestés
2.2.2. Elle ne couvre qu’une partie des fonctionnements des morphèmes
2.3. La description est trop forte
2.4. La description est indéterminée parce que non argumentée
2.4.1. Raisonnement par analogie
2.4.2. Notions ad hoc inventées au coup par coup
2.5. Le dilemme fondamental
3. Bilan et mise en garde
Chapitre 2 L’approche structuraliste
1. L’acquis
1.1. On passe de la langue comme représentation du monde à la langue comme système de communication
1.2. Les unités doivent être définies selon le principe de l’association d’un signifiant à un signifié
1.3. On affirme l’autonomie du niveau syntaxique par rapport à la morphologie et au sens
1.4. Conséquences sur la méthode d’analyse : notion de propriété syntaxique
2. Les problèmes qui subsistent
2.1. Représentations pré-structuralistes limitant le domaine d’observation relayées sous une certaine forme dans le cadre structuraliste
2.1.1. La coupure sémiotique : exclusion des indices de la description
2.1.2. Les limites au domaine : prégnance de la phrase comme représentation de l’unité maximale
2.1.3. la représentation sociolinguistique des données
2.2. Représentations en syntaxe et forme de la composante syntaxique
2.2.1. Relations syntaxiques et catégories morphologiques
2.2.2. L’homogénéité de la syntaxe
2.2.3. Nouvelles représentations qui peuvent nuire à l’analyse
2.3. Une méthodologie qui se cherche
2.3.1. Version formaliste / fonctionnaliste de l’approche structuraliste et ses conséquences : possibles résurgences des attitudes onomasiologiques
2.3.2. La solution incomplète du formalisme
2.3.3. Les tentations du formalisme et son échec apparent : les difficultés à établir empiriquement les relations syntaxiques
2.4. Les questions théoriques et empiriques qui restent à résoudre
Chapitre 3 Les réponses possibles aux difficultés de l’approche structuraliste : rupture (appel à la pragmatique) ou continuité (approche morphosyntaxique globale)
1. Les positions réductionnistes 
1.1. Réductionnisme minimaliste : le champ de la syntaxe est limité au phénomènes de rection
1.1.1. Le modèle lexique-grammaire sous-déterminé microsyntaxiquement
1.1.2. La grammaire générative transformationnelle surdéterminée microsyntaxiquement
1.2. Réductionnistes maximalistes : le recours à la pragmatique
1.2.1. Le fonctionnalisme de Halliday
1.2.2. Théories de l’énonciation
1.2.3. Les réductionnistes sceptiques : le tout pragmatique de Ducrot
2. Les positions expansionnistes : vers l’hypothèse de la morphosyntaxe globale 
2.1. Les limites de l’expansionnisme non macrosyntaxique
2.1.1. Une position expansionniste fonctionnaliste sans macrosyntaxe : P. Blumenthal
2.1.2. L’ expansionnisme « matriciel » non macrosyntaxique : l’ approche de la « grammaire constructionnelle » (K. Lambrecht)
2.2. Morphosyntaxe globale et expansionnisme macrosyntaxique
2.2.1. Les précurseurs : Meillet et Bally
2.2.2. La première formulation explicite de l’hypothèse macrosyntaxique : Syntaxe de rection, syntaxe de l’énoncé comme message ( J. Perrot)
2.2.3. Une grille d’observation pour les approches macrosyntaxiques
2.2.4. Macrosyntaxe centrée sur l’analyse du signifié dans une extension du cadre structuraliste orthodoxe : A. Berrendonner
2.2.5. Macrosyntaxe a base prosodique et dialogique : Equipe de l’Université de Paris III (Marie Annick Morel)
2.2.6. Macrosyntaxe centrée sur l’analyse du signifiant au sein d’une conception modulaire de la morphosyntaxe (Blanche-Benveniste et alii [90])
3. Conclusion
PARTIE II ELEMENTS DE MORPHOSYNTAXE DE QUE EN FRANÇAIS CONTEMPORAIN 
SECTION A LE PROBLEME DU FONCTIONNEMENT SYNTAXIQUE DE QUE ET LES SOLUTIONS PROPOSEES
LIMITES DE L’ETUDE
Chapitre 1 LES EMPLOIS « MARGINAUX » DE QUE SELON LA TRADITION GRAMMATICALE FRANCAISE
Chapitre 2 CRITIQUE DES PRESENTATIONS TRADITIONNELLES
1. Subordonnant universel très insubordonne 
2. Relative ou conjonctive
3. Exemples litteraires exemples populaires
Chapitre 3 Les approches modernes de la morphosyntaxe de que 
1. Les fonctionnements paradoxaux de que 
2. Les principes des nouvelles analyses
3. Extension de l’analyse de que comme proforme
3.1. Catégorie de que
3.1.1. Proforme catégorielle : pro-nom ou pro-adverbe (Le Goffic)
3.1.2. pro-place (Moline)
3.2. Syntaxe interne de la que-Phrase
3.2.1. Relation entre morphologie et types syntaxiques dans les que-Phrases
3.2.2. Analyse en intégrative (relative sans tête) de Le Goffic
3.2.3. Analyse en relative continuative de Moline
3.2.4. Problèmes spécifiques de syntaxe interne des relatives
3.3. Syntaxe externe
3.3.1. analyse de Le Goffic : compléments non essentiels de verbe
3.3.2. analyse de Moline : subordination syntaxique / subordination pragmatique
3.4. Intérêt de l’analyse en proforme pour l’élimination de la locution conjonctive
3.5. Conclusion
4. Extension de l’analyse en Conjonction
4.1. Catégorie de l’élément que
4.1.1. Relateur
4.1.2. Nominalisateur
4.1.3. indique caractéristique propre de la CV
4.2. Syntaxe interne de la que-Phrase
4.3. Syntaxe externe
Chapitre 4 Esquisse d’une solution : introduction d’une composante macrosyntaxique
SECTION B CADRES MORPHOSYNTAXIQUES POUR L’ETUDE DE QUE
Chapitre 1 MICROSYNTAXE DE QUE
1. CATEGORIE MORPHOLOGIE DE QUE
2. Syntaxe interne des constructions introduites par que
2.1. QUE ( )CV
2.2. QUE CV saturée
2.3. Limite entre que ( ) et que CV
3. Relations microsyntaxiques entre ces unités l’extérieur 
3.1. Microsyntaxe et macrosyntaxe de que
3.2. Microsyntaxe des que CV : RELATIONS DE DEPENDANCE GRAMMATICALE qui peuvent les construire
3.2.1. Préalables
3.2.2. TYPES DE SYNTAXE EXTERNE DE RECTION DES que CV
3.2.3. . MICROSYNTAXE VERBALE DE QUE
3.2.4. MICROSYNTAXE NOMINALE de QUE
3.2.5. INTERRELATIONS ENTRE SYNTAXE EXTERNE ET SYNTAXE INTERNE (bilan provisoire)
Chapitre 2 MACROSYNTAXE DE QUE
1. COUPLAGES : QUE ARTICULANT DEUX ELEMENTS DE MESSAGE DONT UN SEUL COMPORTE UNE MODALITE D’ENONCE 
1.1. que CV apport dans structure support apport
1.1.1. distinction couplage – greffe
1.1.2. distinction couplage- période
1.1.3. restrictions sur les types de couplages support – que CV apport
1.2. que CV report dans une structure APPORT REPORT avec choix paradigmatique marqué
2. . PERIODES : QUE ARTICULANT DEUX STRUCTURES MODALISEES 
2.1. caractéristiques des emplois de que CV terme de période
2.1.1. LES DEUX ELEMENTS UNIS PAR QUE SONT BIEN DEUXSTRUCTURESMICROSYNTAXIQUEMENT INDEPENDANTES ET A LA REALISATION NON CONTRAINTE
2.1.2. Les deux unités articulées par que sont chacune un acte de langage
2.1.3. L’extension à que() CV
2.2. les périodes X QUE Y
2.2.1. Définition de l’unité période
2.2.2. Typologie des périodes X que CV saturée
2.3. les périodes X QU ( ) CV
2.3.1. contraintes liées à la forme
2.3.2. types de périodes
2.4. QUE COMPARE aux AUTRES types de CONNECTEURS de période
2.4.1. FORMES
2.4.2. syntaxe du message et interprétations
Chapitre 3 STRUCTURES MIXTES : QUE RELIÉ PAR RELATION MACRO ET RELATION MICRO
1. Que CV terme d’une segmentation fonctionnelle de construction (détachements)
1.1. segmentation avec un seul centre de modalités
1.1.1. . régis en support
1.1.2. . constructeur en support
1.2. deux centres de modalités : épexégèse
2. Intégration microsyntaxique de que CV supports, reports, apports (valences doublement marquées, emphases syntactisées)
2.1. extension lexicale support ou report d’une place micro : de ce que N, j’en parle S-A
2.2. marquage de C’est à X que ()CV ( Apport – Report)
3. Que CV greffée sur une construction
3.1. STATUT DE LA GREFFE
3.2. TYPES DE GREFFES
3.2.1. Que CV apport inséré dans une liste d’éléments d’un paradigme
3.2.2. Réalisation directe d’une place syntaxique
3.2.3. Création par greffe d’une rection « passe partout »
4. Constructions idiosyncrasiques à partir de relations micro et macro
4.1. Formes de prédications « simples » en : présentatif… que CV
4.1.1. Propriétés communes
4.1.2. Que ( )CV à place vide apport
4.1.3. La partie apport est que CV saturée ou une forme quelconque d’assertion assertion
4.2. Constructions « mixtes » à double prédication sur l’axe syntagmatique et l’axe paradigmatique
4.2.1. Apport exclusif et construction verbale : une autre forme élémentaire
4.2.2. Apport avec syncope
4.2.3. apport avec il y a et c’est « paradigmatisants »
CONCLUSIONS : Le statut de que
Que n’est pas un relateur universel
Que marqueur d’apport rhematique
Références

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