Élaboration et explication du mécanisme d’offre et demande La bourse est un marché qui englobe tout participant ayant des besoins de financement. C’est une institution qui facilite l’affichage de prix d’actif d’entreprises, et d’en faciliter l’échange. Les titres échanges en bourses sont des actions. Un titre de bourse représente une portion infini du capital d’une firme (Coipeaux, 2013). Pour un investisseur l’achat d’une actions d’entreprise represente, la possibllite pour cettre entreprise de faire des profits. L’agent achete une prime de bourse pour maximiser son cout d’opportunité par rapport à la dépense initiale. On distingue 2 types de marchés :
– Le marché où les titres sont proposés pour la première fois appelés marché primaire. Les titres sont vendus à un prix appelé prix d’émission.
– Le marché où les titres s’échangent entre l’investisseur appelé marché secondaire, « le prix de ces titres dépend alors de la confrontation entre l’offre et la demande »( (Mishkin (2007). Les actions des acheteurs et des vendeurs amènent possiblement à un équilibre. Ceci est le marché au sens strict.
Offre et demande
Selon Adams Smith, la théorie néoclassique est définie dans le comportement des agents Économique. Le rationnel de ces agents se retrouve dans la conception du modèle individualiste de pensée basée sur la plus-value transactionnelle. Les objets d’échange sont, pour une large part, des produits (Boncoeur et Thouement, 2004). La fonction de l’offre est la relation qui existe entre le prix et le nombre d’objets offerts sur les marchés. La fonction de demande est le rapport dans le temps permettant d’évaluer le prix et le nombre d’articles demandés sur les marchés. La fonction de la demande augmente (la fonction se déplace de gauche vers la droite) lorsque pour chaque niveau de prix les quantités demandées augmentent. On dit que l’offre augmente (la fonction se déplace de gauche vers la droite) lorsque pour chaque niveau de prix des quantités offertes augmentent (Stiglitz et Walsh, 2007).
Mécanisme : Comportement des acteurs champs financier ; à la recherche de
l’équilibre Comme le terme d’équilibre reviendra à plusieurs reprises, il est aussi important de la décrire. L’équilibre est la situation dans laquelle, aucune force ne pousse au changement (Stiglitz ; Walsh et Lafay, 2006) ; Au prix d’équilibre du marché, la quantité offerte est égale à la quantité demandée. C’est-à-dire, ni le prix, ni la quantité consommée ou produite dans le temps ne poussent au changement. La physique nous explique le sens de l’équilibre dans le cas d’un objet suspendu à un ressort. Deux forces s’exercent sur ce poids : la gravité le tire vers le bas et le ressort vers le haut. Une fois statique, le poids est dit « en équilibre », les deux forces se compensant exactement. Un corps est en équilibre statique lorsqu’il est maintenu complètement immobile par l’ensemble des forces qui agissent sur lui. Un équilibre économique met en relief une condition selon laquelle, les consommateurs et les producteurs ne font de compromis. À l’équilibre, ni le consommateur ou le producteur ne sont incités à modifier le prix ou la quantité échangée. Dans les économies de marché concurrentielles, les prix effectifs tendent vers le prix d’équilibre (Wiskin 2007). Ces définitions prennent comme base que l’équilibre est soutenue sur le long terme par certains vecteurs que l’on ne peut forcément contrôler. Elles ne font pas mention du pôle de cet équilibre. Selon Joseph Schumpeter, le processus de production et de reproduction de la nouveauté, chasse sans cesse l’expansion des marchés de consommation. L’acquisition des biens et matériels semble être le but des acteurs économique. L’équilibre n’est pas la question mais plutôt satisfaire nos envies.
Le taux d’épargne des ménages au Canada a diminué à 3,90 pour cent au premier trimestre de 2016 de 4 pour cent au quatrième trimestre de 2015. L’épargne personnelle au Canada a été en moyenne 7,52 pour cent de 1981 à 2016, atteignant un niveau record de 19,90 pour cent au premier trimestre de 1982 et un niveau record de 0,90 pour cent au premier trimestre de 2005. L’épargne personnelle au Canada est signalée par Statistique Canada.
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