Mémoire Online: Etude des composes chimiques de scrophularia sahara (deserti Coss.)

Sommaire: Etude des composes chimiques de scrophularia sahara (deserti Coss.)Etude des composes chimiques de scrophularia sahara (deserti Coss.)

INTRODUCTION
1 TRAVAUX ANTERIEURS
1.1 DESCRIPTION BOTANIQUE
1.1.1 Introduction
1.1.2 Classification
1.1.3 Aspects botaniques et répartition géographique du genre Scrophularia
1.1.4 Caractéristiques botaniques de l’espèce saharae
1.2 PROPRIETES BIOLOGIQUES ET PHARMACOLOGIQUES DU GENRE SCROPHULARIA
1.2.1 Introduction
1.2.2 Utilisation en médecine traditionnelle
1.2.3 Activités biologiques
1.3 ETUDES CHIMIQUES ANTERIEURES
1.3.1 Sur le genre
1.3.2 Sur l’espèce
2 ETUDE DES IRIDOIDES
2.1 Structure des iridoïdes
2.2 Classification des iridoïdes
2.2.1 Iridoïdes simples
2.2.2 Glucosides d’iridoïdes
2.2.3 Séco-iridoïdes
2.2.4 Bisiridoïdes
2.3 Activités biologiques des iridoïdes
2.4 Biosynthèse des iridoïdes
3 SEPARATION DES COMPOSES ET DETERMINATION DE LEURS STRUCTURES
3.1 EXTRACTION
3.1.1 Racines
3.1.1.1 Fractionnement de l’extrait chloroformique des racines et isolement des composés A – E
3.1.2 Parties aériennes
3.1.2.1 Fractionnement de l’extrait méthanolique des parties aériennes et isolement des composés F et G
3.2 Détermination de structures des composés A-E isolés de l’extrait chloroformique des racines
3.2.1 Détermination de structure du composé A
3.2.2 Détermination de structure du composé B
3.2.3 Détermination de structure du composé C
3.2.4 Détermination de structure du composé D
3.2.5 Détermination de structure du composé E
3.3 Détermination de structures des composés F et G isolés de l’extrait méthanolique des parties aériennes
3.3.1 Détermination de structure du composé F
3.3.2 Détermination de structure du composé G
CONCLUSION
BIBLIOGRAPHIE
4 PARTIE EXPERIMENTALE
4.1 Matériel et méthodes
4.1.1 Méthodes chromatographiques analytiques
4.1.1.1 Chromatographie sur couche mince (CCM)
4.1.2 Méthodes chromatographiques préparatives
4.1.2.2 Chromatographie sur colonne ouverte (CC)
a. Chromatographie d’adsorption
b. Chromatographie d’exclusion
4.1.2.3 Chromatographie liquide à haute pression semi-préparative (HPLC)
4.1.2.4 Chromatographie préparative sur couche épaisse (C.C.E)
4.1.3 Méthodes physico-chimiques
4.1.3.3 Spectres ultraviolets (UV)
4.1.3.4 Spectres de masse (MS)
4.1.3.5 Spectres infra-rouge (IR)
4.1.3.6 Spectres de résonance magnétique nucléaire (RMN)
4.2 EXTRACTION
4.3 CONTROLE CHROMATOGRAPHIQUE DES EXTRAITS
4.3.1 RACINES
4.3.2 PARTIES AERRIENNES
4.4 SEPARATION ET PURIFICATION
4.4.1 RACINES
4.4.1.1 Extrait chloroformique
a. Etude du lot 22
b. Etude du lot 25
c . Etude du lot 29
4.4.2 PARTIE AERIENNE
4.4.2.1 Extrait méthanolique
a. Etude de lot 1
a.1 Etude des lots 9 et 10
a.2 Etude du lot 11
4.5 Constantes physiques et données spectrales des composés isolés
4.5.1 Composé A
4.5.2 Composé B
4.5.2 Composé C
4.5.2 Composé D
4.5.2 Composé E
4.5.2 Composé F
4.5.2 Composé G
RESUME
………….

Extrait du mémoire étude des composes chimiques de scrophularia sahara (deserti Coss.)

1.2 PROPRIETES BIOLOGIQUES ET PHARMACOLOGIQUES DU GENRE SCROPHULARIA
1.2.1 Introduction
Depuis l’Antiquité, dans de nombreuses civilisations, les plantes ont joué un rôle  capital dans l’art de guérir. Il y a environ 500 000 plantes sur terre; 10 000 d’entre elles environ, possèdent des propriétés médicinales. La plupart de ces plantes sont bien connues et traditionnellement utilisées dans le monde entier. Les plantes Scrophulariaceae ne sont pas en reste et ont fait l’objet d’une utilisation appréciable en médecine traditionnelle. Le nom de la famille et du genre de cette plante dérive de l’usage que l’on faisait pour guérir la scrofule. Cette maladie est un ensemble de manifestations par lesquelles se révèle une infection tuberculaire chez les enfants sujets aux diathèses essudatives de la peau et des muqueuses, et qui souffrent souvent d’inflammation des premières voies respiratoires, de végétations adénoïdes et d’enflement des glandes du cou, des aisselles et de l’aisne.
1.2.2 Utilisation en médecine traditionnelle
La plante Scrophularia vernalis, plus communément appelée Scrofulaire jaune, est utilisée pour guérir justement la maladie décrite précédemment. Pour l’usage interne, l’infusion de sommités fleuries sert de purge et de diurétique, ainsi qu’à limiter les tremblements dus au mal de basedow. Par voie externe, les extraits des sommités ou mieux encore des racines, sont employés contre les enflures précitées, ainsi qu’en compresses et lavage contre les dermatoses (eczémas, démangeaisons,… etc).
Scrophularia sambucifolia L., espèce poussant en Afrique du nord et dans la péninsule ibérique, est utilisée par les bergers comme savon pour le linge. Usage laissant suggérer une présence accrue de saponosides, composés très présents au sein de la famille Scrophularia nodosa, appelée plus communément Scrofulaire noueuse en raison de ses nodosités, est utilisée pour soigner les scrofules citées précédemment. Elle était aussi autrefois utilisée comme remède contre les plaies, blessures, hémorroïdes et les ulcères.
Les parties aériennes de cette plante sont utilisées comme infusion pour éliminer les accumulations de toxines.
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